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  •    Indice / Cote : 840"19" ROLI.O
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Résumé : Recueil d'impressions de voyage, passant sans transition ni dessein préconçu du détroit de Magellan à la mer Rouge, de la Gironde à Saïgon, d'une tombe égyptienne aux ruines de Kaboul, de l'archipel des Açores à La Havane. A chacune des escales, les mots choisis pour les décrire sont comme les fragments d'une géographie, autrement dit d'une écriture scrupuleuse de la terre.

Résumé : L'auteur, amoureux de la Sibérie, nous dévoile un pays à l'immensité sublime, un pays en déliquescence vivant dans l'ombre du passé communiste.

Résumé : Biographie romancée d'A. Vangengheim, créateur du service de météorologie de l'URSS, arrêté en 1934, déporté dans les îles Solovki et exécuté en novembre 1937. A partir d'archives et de dessins adressés par le détenu à sa fille, O. Rolin dénonce la folie stalinienne tout en rendant hommage au scientifique et au père de famille. ©Electre 2014

Résumé : Souvenirs de voyages à travers le monde dans lesquels le tragique, les guerres et les catastrophes voisinent avec l'anecdote. La description des visages, des voix et des paysages rencontrés composent un atlas subjectif. ©Electre 2019

Résumé : O. Rolin livre des souvenirs personnels et des pages d'histoire liés au logement qu'il a occupé la moitié de sa vie, rue de l'Odéon, à Paris, et qu'il a dû quitter entre le premier et le second confinements consécutifs à la pandémie de Covid-19. Il évoque également divers lieux du monde, désormais interdits, qu'a mis en relief le déménagement de ses objets personnels et de sa bibliothèque. ©Electre 2022

Résumé : Destins croisés de l'ex-officier de marine Frédéric Cournet et d'un jeune ouvrier partisan de Louis Blanc prénommé Barthélemy, de l'insurrection ouvrière à Paris le 23 juin 1848 à leur duel fatal à Londres. ©Electre 2024

Résumé : Un des premiers livres que je me rappelle avoir lu avec ferveur s’appelait Le Grand Cirque, c’était le récit des aventures d’un pilote de la France Libre (dans le même genre héroïque, il y avait aussi un livre anglais sur la bataille de l’Atlantique, La Mer cruelle). Ces lectures originelles disent assez à quelle époque je suis né, sur laquelle s’étendait encore l’ombre de la Seconde Guerre mondiale, et quelle fut la pente martiale de mes premières rêveries. En fin de compte, faute d’être pilote de chasse ou de commander une corvette (plus tard, j’envisageai une carrière de révolutionnaire), je devins écrivain, ce qui est, quoi qu’en aient dit certains, beaucoup moins dangereux.Et voici le résultat, ou au moins une partie : dans ce premier volume, près de vingt ans d’écriture en tout genre. Si j’ai choisi pour titre Circus, au-delà d’une allusion amusée à mes débuts de lecteur, c’est parce que l’idée de cirque me convient assez. Il y a du cercle dans le cirque, et le cercle (ou la spirale) est l’élément à partir de quoi s’engendre ma géométrie littéraire. La Terre est ronde comme une tente de cirque. Et baroque, aussi. Sous l’une comme sur l’autre se produisent acrobates, magiciens, bêtes fauves et dompteurs, clowns, hommes et femmes en maillot scintillant volant entre les agrès : et l’écrivain qui prétend dire le monde (et y échoue, naturellement, tel un jongleur laissant échapper ses balles) aspire à tous ces rôles.

Résumé : Circus 2 s’achève sur un salut à Homère, par qui tout commence dans les lettres de ce côté-ci du monde. Le cercle se ferme sur les funérailles d’Hector dompteur de cavales, et cette circonstance textuelle invite à une interrogation ironique : cette grande récapitulation de Circus 1 et 2, est-ce une cérémonie funèbre ? Ce serait mensonge de prétendre que la crainte ne m’en effleure pas. À vrai dire, il me semble qu’il n’y a presque pas un moment de la vie d’un écrivain (sauf lorsqu’il est emporté par le courant d’un livre : là, rien ne l’atteint) où il n’affronte cette angoisse de son effacement. L’aveu de cette faiblesse n’est pas une faiblesse. On travaille sans filet, avec la peur du vide. Les fauves n’ont pas les dents limées, leurs griffes ne sont pas coupées. C’est ce qui rend la chose excitante. On est sans cesse menacé d’être envoyé au définitif pilon. Pas de quoi pleurnicher. Il y a des vies plus dangereuses, tout de même.Pas plus mort qu’avant, donc. Mais alors, prenant la pose ? Oh non. Circus n’est pas non plus un monument, si c’était le cas il s’appellerait autrement. Ce n’est pas la vanité qui le soutient, mais plus banalement le souhait de dresser la carte d’un très long chemin parcouru, souvent en zigzags et à l’aveuglette. Désir de se retrouver, peut-être même de se rassurer, sentiment qui n’a rien de grandiose, je le reconnais, mais qui (qu’on me croie ou non) témoignerait plutôt d’une inquiétude que d’une infatuation.Voilà, on démonte ici le chapiteau, mais la tournée continue, on espère le remonter ailleurs, avec de nouveaux numéros.

Résumé : Sur le même principe que Le parti pris des choses de Francis Ponge, cet ouvrage présente des éléments naturels sous un angle attentif et poétique, par opposition avec l'utilitarisme ou le mépris qu'ils suscitent. Sont ainsi évoqués l'artichaut, l'asperge, l'huître, l'os de seiche, l'oursin, la cétoine, la girolle, la mouche, la noix, la patate germée, le galet, la plume et la pomme de pin.©Electre

Résumé : Dans une ville imaginaire, un huis clos dramatique entre trois hommes et une femme, à l'intérieur d'un palais en ruine, à l'approche d'un cyclone. Le récit alterne avec l'histoire d'une rencontre amoureuse dans la même ville.©Electre

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