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Résumé : Après une très lourde opération, Antonia, chanteuse et comédienne, développe, dans la clinique de soins de suite où elle séjourne, un atelier de chant qui associe les patients, des membres de leurs familles et les équipes médicales et soignantes. L'atelier de chant est, pour tous ceux qui y participent, un moment heureux et bienfaisant. Ils peuvent reprendre contact avec leur corps et la vie. Dans une touchante humanité, tous sont unis et renforcés, comme par enchantement.

Résumé : "Antennes, téléphones sans fil, Wi-Fi, les ondes électromagnétiques sont partout mais certains commencent à en souffrir. Devenus électrosensibles, ils doivent se calfeutrer ou fuir. Marc Khanne a mené l’enquête pendant trois ans auprès d’une soixantaine de victimes. Il livre ici un nouveau film qui pose question : entre la promotion de la 4G et la souffrance observée chez certains sur le terrain, que penser du monde toujours plus “rapide et interconnecté” que l’on nous promet ? Des champs électromagnétiques artificiels sont diffusés aujourd’hui massivement dans notre environnement. Pouvons-nous tous être touchés à des degrés divers ? Y’a-t-il d’autres effets à moyen ou à long terme ?" (Source Editeur)

Résumé : Le World Trade Center à New York, le Bataclan à Paris, un tremblement de terre au Népal, une noyade dans un lac gelé ou dans les rapides d'une rivière, notre quotidien est ponctué par des événements meurtriers durant lesquels s'illustrent parfois des héros ordinaires. Des hommes et des femmes ayant risqué leur vie pour sauver celles des autres. Nous nous sommes tous posés cette question : et si j'avais été là ? Aurais-je été capable de braver ma peur et de faire comme eux ? Ai-je moi aussi l'étoffe d'un héros ? Quelles sont les raisons qui ont permis à certaines personnes d'agir par altruisme, d'aider les autres ?"Face à des situations de danger extrême, certains n’hésitent pas à risquer leur vie pour sauver celle des autres. Outre les centaines de pompiers, policiers et médecins mobilisés, ces anonymes ont, à l’heure où chacune de nos actions semble dictée par l’instinct de survie, trouvé la force de penser à autrui. Ils ont fait demi-tour, tendu la main, transporté à l’abri ou protégé des tirs et de la folie une personne qu’ils ne connaissaient pas.Quel mécanisme humain permet à certains de basculer d’une attitude ordinaire à une posture extraordinaire ? Comment justifier ces actes soudains de bravoure héroïque ? Certains psychiatres parlent d’une “personnalité potentielle”, influencée par le passé et le quotidien de l’individu. D’autres évoquent la possibilité d’un “gène de l’héroïsme”, ou encore d’une éducation qui favorise cette aptitude à le devenir… Les pistes sont nombreuses, et les recherches ne font que commencer. Aux côtés d'Abigail Marsch, psychologue et neuroscientifique américaine, ce documentaire part à la rencontre de ces citoyens héroïques pour comprendre les origines de l’altruisme et de la compassion dans le cerveau humain. Attentats, séismes ou encore noyade… Des témoignages d’un jour qui a changé leur vie à jamais." (Film-documentaire.fr)

Résumé : "Le Cerveau en miroir" propose une synthèse des recherches les plus avancées en neurosciences. Que savons-nous de notre cerveau ? Qu'en est-il de la conscience? Est-elle liée au corps, à l'environnement physique et social ? Notre "cosmos intérieur" est-il aussi complexe que l'univers lui-même. Grâce aux techniques de l'imagerie médicale qui permet de voir le cerveau en action, un nouveau "moment-charnière" après ceux de Galilée et de Darwin s'inscrit dans l'histoire des sciences. Le cerveau considéré comme "une combinaison d'attention et de mémoire" est un "système dynamique en équilibre constant avec le monde extérieur". La mouvance des circuits neuronaux fonde son adaptabilité et sa plasticité. Pour faciliter la compréhension du propos, le film progresse selon des expériences (l'étude du bulbe olfactif du chat par Walter J. Freeman montre que l'odorat est la clé du développement du cerveau ; des expériences menées avec des personnes aveugles mettent en évidence un cortex visuel intact pouvant être stimulé par d'autres sens comme le toucher). Une place importante est accordée au mécanisme essentiel de l'attention qui sélectionne l'information utile afin de trier, d'anticiper, d'appréhender, de mémoriser. Pour certains scientifiques le cerveau, organe fait de réseaux neuronaux serait "capable de créer des simulacres du monde extérieur pour générer l'action qui convient." Cette plongée dans le monde de nos neurones interroge les mécanismes de la pensée en considérant finalement le cerveau comme un organe ordinaire : une vraie révolution pour l'espèce humaine qui, désormais délogée de son piédestal, ne peut prétendre à une quelconque supériorité sur le monde animal.

Résumé : Répondant à la décision du Général De Gaulle de doter l'hexagone de l'arme nucléaire, de 1960 à 1996 la France a procédé à plus de 210 essais nucléaires dans le Sahara algérien au début des années 60 et en Polynésie de 1966 à 1996. Le film de Sébastien Tézé est une enquête qui associe images d'archives, témoignages des vétérans, des populations locales et combat mené par les associations pour faire connaître et reconnaître la vérité des conditions dans lesquelles furent faits ces essais et les maladies dont les militaires, les nomades, les civils et la main d'oeuvre locale sont victimes ainsi que nombre de décès inexpliqués. L'histoire méconnue parce que tue et frappée du sceau de "secret défense" des essais nucléaires français et de leurs conséquences sur la santé et l'environnement sort du champ de l'omerta relayant le livre de Bruno Barrillot "Les irradiés de la République". Le réalisateur par son travail fait oeuvre de mémoire. En dévoilant les négligences, la corruption, les mensonges et en soulignant l'importance de la reconnaissance et de l'indemnisation des victimes (loi du 5 janvier 2010), Sébastien Tézé, nous engage comme les militaires et les îléens du Pacifique à faire nôtre cette histoire, ce secret masqué par la raison d'Etat.

Résumé : La parole est donnée à 6 octogénaires qui parlent de la vieillesse, de l'acceptation des changements physiques (la dégradation et le deuil du corps), la disparition du désir physique, la mort et surtout les raisons de vivre encore. Les personnes interrogées donnent à entendre et à voir une vieillesse somme toute en forme pour laquelle le détachement est possible et donc une certaine capacité à vivre pour soi le moment présent. Ainsi sommes-nous au plus près du ressenti de ces personnes dans ce film qui arrive à entrer en relation avec chacune d'elles en tant qu'individu unique et singulier.

Résumé : Le 26 avril 1986 l'explosion nucléaire de la centrale de Tchernobyl située dans le nord de l'Ukraine dégagea un nuage toxique qui déversa 70 % de sa charge de radionucléides sur la Biélorussie. En une semaine le nuage fit le tour de l'hémisphère nord passant de l'Europe au Moyen Orient, en Chine, en Inde jusqu'aux Etats-Unis. Le film tourné exclusivement en Biélorussie montre combien ce pays et ses habitants vivent en sursis du fait de l'ingestion de petites doses de radioactivité. Il témoigne de cette mort lente qui se révèle, entre autres, par les conséquences génétiques de la catastrophe qui "est comme un arbre qui pousse" dans l'invisibilité de sa matière même, l'atome. Les plans tournés à l'Hôpital des enfants malades de Gomel où des nouveaux-nés atteints de pathologies très graves et incurables sont éloquents. Le documentaire s'attache aussi à rompre , à "dénouer les fils de la conspiration internationale du silence qui accable ce pays" (chiffres et conséquences de l'irradiation minimisés, désinformation généralisée). Les personnes rencontrées par les réalisateurs sont des victimes négligées de la contamination, des médecins, des résistants de la science. Défiant toute logique de résignation ces savants s'acharnent à dire la matérialité et les significations de l'atome. Apparaît à l'écran, le Professeur Youri Bandajevski, démis dès 1999 de ses fonctions de Recteur de l'Institut de médecine de Gomel où il poursuivait des recherches qui indisposaient le lobby nucléaire. Soumis à des accusations fallacieuses de corruption et condamné à la prison en 2001 à l'issue d'un procès stalinien il fut libéré le 8/08/2005.

Résumé : A l'Hôpital de La Timone à Marseille, une équipe de neurologues, de neurochirurgiens et de chercheurs de l'INSERM accueillent des patients atteints d'épilepsies rebelles aux traitements médicamenteux et donc particulièrement invalidantes dans la mesure où les malades sont isolés et empêchés de mener une vie sociale et professionnelle normale. Le parcours de soins, pluridisciplinaire, s'appuie sur des technologies de pointe. L'épilepsie est une perturbation de l'activité électrique du cerveau : une décharge électrique anormale se propage dans le cerveau et touche un ou plusieurs centres nerveux (les troubles peuvent affecter entre autres, la motricité, le langage ou la vision). Certaines formes graves peuvent entraîner convulsions et pertes de conscience. Quand les médicaments n'agissent pas, la chirurgie, quand elle peut être pratiquée, est la seule solution. Mais avant d'opérer, il faut comprendre l'origine d'une épilepsie en observant le comportement du malade et en enregistrant l'activité électrique de son cerveau à l'aide d'éléctrodes implantées dans le cerveau lui-même. L'Hôpital de La Timone à Marseille est un des rares centres en Europe qui réunit les compétences et la technologie nécessaires aux opérations. Le documentaire entièrement tourné à l'hôpital montre différents moments de soins (pose d'électrodes et stimulations de celles-ci, dialogue avec les malades, réflexions du Pr. Patrick Chauvel, chef du service de neurophysiologie) où les patients nous donnent à entendre des fragments de leur histoire individuelle en particulier la première apparition de la maladie dans leur vie. Le Pr Chauvel concluera en disant que les progrès dans la connaissance et la lutte contre cette maladie sont constants, que chaque patient apporte dans le traitement du suivant mais que plus on sait, plus on avance, plus l'étendue de l'inconnu dans le fonctionnement du cerveau est grande.

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