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Résumé : Une argumentation en faveur de la théorie de la valeur-travail, démontrant l'égalité entre la somme des profits et celle des plus-values d'une part ; celle entre les valeurs produites et les prix de production d'autre part. La démonstration prend en compte différents montants de capital fixe dans chacune des branches de l'économie. ©Electre 2021

Résumé : En 1852, Aristide Boucicaut, fils d'un chapelier de l'Orne, investit quelques économies dans le capital du magasin Au Bon Marché et pose les bases de ce qui allait devenir le 1er grand magasin du monde. Il y met en pratique une vision moderne du commerce : l'entrée est libre, sans obligation d'achat, la clientèle peut toucher la marchandise exposée, il y a un prix fixe pour chaque produit.

Résumé : L'auteur, réfugié en France en 1939, photographe amateur, a fixé sur sa pellicule les evénements marquants de la vie des réfugiés espagnols à Toulouse, capitale de la République en exil. Certains des futurs dirigeants de l'Espagne démocratique ainsi que des figures emblématiques figurent sur ces clichés, dont deux cents sont repris ici en un témoignage vivant.

Résumé : Un écrivain se rend en Amérique à la recherche de Glitter Faraday, un Afro-Américain jadis lié aux Black Panthers, à qui un certain manuscrit a été confié quarante années auparavant à Alger. Devenu sans domicile fixe à San Francisco, Glitter ignore ce qu'est devenu ce document, mais il conserve des souvenirs précis de son séjour dans la capitale algérienne. ©Electre 2023

Résumé : Brassaï, c'est le nom que s'est choisi à Paris le Hongrois Gyula Halász pour signer ses premiers tirages, en hommage à son village natal de Brassó, dans les Carpates. Celui que rien ne destinait à la photographie y arrive sur le tard, d'abord pour illustrer ses articles – il écrit pour des journaux hongrois et allemands –, puis pour immortaliser les nuits parisiennes qui le fascinent. Dans les ruelles sombres, les cafés, les bals, les maisons closes, Brassaï, « l'oeil vivant » de la photographie comme l'a si bien qualifié son ami l'écrivain Henry Miller, traque la beauté partout. À l'aise dans les soirées mondaines comme dans les bals populaires, fréquentant les artistes de Montparnasse et les canailles du quartier Italie, il a fixé pour l'éternité le Paris fiévreux des années trente. Pour autant, Brassaï ne saurait être réduit à ces instantanés du Paname interlope. Comme on le sait, son objectif se braque aussi sur les travailleurs qui exercent, comme il le dit lui-même, des « petits métiers », sur les graffitis qui dévorent les murs de la capitale et qu'il élève au rang d'oeuvres d'art, ou sur ses amis peintres, poètes, sculpteurs et écrivains. Enfin, des photographies choisies parmi les archives familiales présentent une facette moins connue de Brassaï, qui a voyagé pour la presse internationale aux États-Unis, au Maroc, en Espagne… Des images rares, dont certaines sont ici rééditées pour la première fois depuis plusieurs décennies.

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