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Résumé : Le don d’organes à travers quatre témoignages de receveurs, de donneurs vivants et d’une famille de donneur mort. Les récits s’articulent les uns aux autres dans un montage classique et clair ; l’image d’une sculptrice aux prises avec la glaise pour façonner un buste faisant lien poétique entre les propos tandis qu’une philosophe et un néphrologue apportent un point de vue plus distancié. L’intérêt du film réside dans les significations de donner / recevoir. Comment gérer un don ? Grâce aux témoignages la transplantation/greffe apparaît comme un grand moment d’humanité puisqu’il s’agit de la transmission de la vie sous une forme très paradoxale : dans un cas un mort transmet la vie, dans l’autre, le donneur vivant transmet une partie de sa vie qui arrache l’autre à la mort.

Résumé : "Carina, Cathy et Nicolas sont atteints d'un gliome, une tumeur infiltrante du cerveau. Mêlée au cerveau sain, elle est particulièrement délicate à enlever, avec un risque majeur de créer des séquelles irrémédiables. À travers leurs témoignages, nous découvrons les enjeux d'une opération du cerveau qui requiert la participation active donc éveillée du patient. C'est lui, soumis à des tests tout au long de l'intervention, qui guide par ses réponses à des stimulations électriques sur son cerveau, le geste du chirurgien. Avec les plus grands spécialistes de cette pratique, le Pr. Duffau au CHU de Montpellier, le Dr Laurent Capelle de la Pitié-Salpêtrière, aidés de toute une équipe (neuropsychologue, orthophoniste, anesthésiste) c'est une approche pluridisciplinaire de la médecine qui se dessine, dans le but de permettre au patient de vivre le plus longtemps possible avec la meilleure qualité de vie possible." (film-documentaire.fr)

Résumé : Mon beau miroir propose une immersion dans le service de chirurgie plastique, reconstructrice et esthétique du Professeur Maurice Mimoun, ouvert depuis décembre 2010 à l’hôpital Saint-Louis. Pendant plusieurs mois, on suit le parcours de différents patients qui se font opérer du visage pour gagner une réparation, au sens propre ou figuré, et se (ré)concilier avec leur image. Et vivre cette transformation, c’est se confronter à sa part d’humanité, sa capacité d’endurance, mais aussi passer par le bloc opération et les mains d’un même chirurgien. Il s’agit d’un voyage dans ce service mais aussi d’une traversée intérieure où on est renvoyé aux souffrances intimes, à la maladie et aux accidents de la vie. Sans hiérarchie ou jugement moral, se pose la question du passage à l’acte, et sa nécessité, pour s’accepter et avancer dans la vie.

Résumé : A l'Hôpital de La Timone à Marseille, une équipe de neurologues, de neurochirurgiens et de chercheurs de l'INSERM accueillent des patients atteints d'épilepsies rebelles aux traitements médicamenteux et donc particulièrement invalidantes dans la mesure où les malades sont isolés et empêchés de mener une vie sociale et professionnelle normale. Le parcours de soins, pluridisciplinaire, s'appuie sur des technologies de pointe. L'épilepsie est une perturbation de l'activité électrique du cerveau : une décharge électrique anormale se propage dans le cerveau et touche un ou plusieurs centres nerveux (les troubles peuvent affecter entre autres, la motricité, le langage ou la vision). Certaines formes graves peuvent entraîner convulsions et pertes de conscience. Quand les médicaments n'agissent pas, la chirurgie, quand elle peut être pratiquée, est la seule solution. Mais avant d'opérer, il faut comprendre l'origine d'une épilepsie en observant le comportement du malade et en enregistrant l'activité électrique de son cerveau à l'aide d'éléctrodes implantées dans le cerveau lui-même. L'Hôpital de La Timone à Marseille est un des rares centres en Europe qui réunit les compétences et la technologie nécessaires aux opérations. Le documentaire entièrement tourné à l'hôpital montre différents moments de soins (pose d'électrodes et stimulations de celles-ci, dialogue avec les malades, réflexions du Pr. Patrick Chauvel, chef du service de neurophysiologie) où les patients nous donnent à entendre des fragments de leur histoire individuelle en particulier la première apparition de la maladie dans leur vie. Le Pr Chauvel concluera en disant que les progrès dans la connaissance et la lutte contre cette maladie sont constants, que chaque patient apporte dans le traitement du suivant mais que plus on sait, plus on avance, plus l'étendue de l'inconnu dans le fonctionnement du cerveau est grande.

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