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Résumé : Le Pr Henry de Lumley nous raconte la saga de cet animal étrange : l'homme... Il retrace l'évolution de l'homme en mettant en corrélation évolution physique et intellectuelle, depuis la pensée conceptuelle des premiers hominidés jusqu'à la pensée associative des hommes modernes...Le film est l’exposé d’un préhistorien de renommée mondiale qui fut, entre autres, directeur du Museum national d’histoire naturelle. Il initia aussi la campagne de relevés des quelques 100 000 gravures et figures de la Vallée des Merveilles dans le parc du Mercantour autour du Mont Bégo. Cette rencontre filmée presque entièrement dans son bureau de l’Institut de Paléontologie humaine, face à la caméra, forme un exposé à la fois clair, didactique et vivant. L’austérité formelle privilégie la parole et met en valeur la compétence et le talent de conteur de l’intervenant. Les quelques images de la Caune de l’Arago, à Tautavel, sur le champ de fouilles, ainsi que celles d’autres sites en vue aérienne et les reconstitutions apportent une respiration au discours. Henry de Lumley, se servant de ce «livre ouvert» représenté par toutes les couches sédimentaires dans lesquelles se sont inscrites les traces de l’humanité, nous conte la saga de cet animal étrange : l’homme, des australopithèques (-7 000 000 ) à la révolution du néolithique (-7 000). Chemin faisant, il souligne les passages essentiels de l’évolution : la domestication du feu par homo erectus, la pensée religieuse chez Neandertal. Lumley établit chaque fois un lien entre évolution physique (en particulier le développement des lobes frontaux corrélés aux changements morphologiques de la boîte crânienne) et évolution de la pensée qui deviendra associative chez homo sapiens. Retraçant 7 millions d’années d’évolution, cet entretien est un préambule à toute recherche sur la préhistoire.

Résumé : Yassin est afghan, il a dix-sept ans, peut-être dix-huit, seul, sans famille, il est arrivé clandestinement en France et rêve d'obtenir des papiers pour régulariser sa situation... En attendant, il va à l'école chaque matin... Avec candeur et maturité, il raconte son histoire..."Ce qui m'a surtout poussé vers ce film, ce sont les adolescents réfugiés sans famille, les "mineurs isolés demandeurs d'asile", comme les nomme froidement l'administration française. C'est une problématique mal connue, et les chiffres disponibles sont inquiétants. Un mineur sur deux est refoulé dès son arrivée sur le territoire français, et il y a entre 2500 à 3000 enfants étrangers seuls en France sans aucun repère familial. Près de la moitié seulement est engagée dans un processus de demande d'asile, et pas plus de 26 % de statuts ont été attribués à ces mineurs en 2004. Près de 3000 enfants, ça paraît beaucoup, c'est certain. Mais, au regard de la capacité d'absorption d'un pays comme le nôtre, c'est finalement très peu. A mon sens, si le statut de réfugié doit effectivement se discuter pour des adultes dans le strict cadre de la convention de Genève, le refuser à des mineurs sans famille me paraît inacceptable. (...)"(Didier Cros)

Résumé : Première partie. En 1905, le service militaire devient obligatoire pour tous les hommes en âge de porter les armes. Des générations de Français vont découvrir les rituels qui font qu'"on devient un homme" : discipline, maniement des armes, parcours du combattant... mais aussi les corvées qui rythment la vie en garnison. La culture populaire s'en fait l'écho à travers chansons et films, et la figure du "bidasse" s'installe dans l'imaginaire. Loin de ce folklore naissant, les horreurs de la Première Guerre mondiale viennent tragiquement rappeler le sens premier du service militaire : la défense du pays. Le sacrifice des "citoyens-soldats" marque durablement la société. Malgré le dégoût de la guerre et le pacifisme des anciens combattants, l'histoire va se répéter, inéluctablement. En 1940, après des mois de "drôle de guerre", l'Armée française s'effondre. La République est balayée, le service militaire supprimé. Mais le citoyen-soldat n'a pas complètement disparu : il est ce résistant anonyme qui contribue, dans l'ombre, à libérer le pays aux côtés des Alliées et de l'Armée d'Afrique. ̕la Libération, le Général de Gaulle rend hommage à la "vraie France", celle qui se bat les armes à la main. La IVe République va bientôt rétablir le service militaire, gage de cohésion national. Cela suffira-t-il à effacer les fractures du passé, à affronter les défis qui s'annoncent ?

Résumé : Deuxième partie. En 1905, le service militaire devient obligatoire pour tous les hommes en âge de porter les armes. Des générations de Français vont découvrir les rituels qui font qu'"on devient un homme" : discipline, maniement des armes, parcours du combattant... mais aussi les corvées qui rythment la vie en garnison. La culture populaire s'en fait l'écho à travers chansons et films, et la figure du "bidasse" s'installe dans l'imaginaire. Loin de ce folklore naissant, les horreurs de la Première Guerre mondiale viennent tragiquement rappeler le sens premier du service militaire : la défense du pays. Le sacrifice des "citoyens-soldats" marque durablement la société. Malgré le dégoût de la guerre et le pacifisme des anciens combattants, l'histoire va se répéter, inéluctablement. En 1940, après des mois de "drôle de guerre", l'Armée française s'effondre. La République est balayée, le service militaire supprimé. Mais le citoyen-soldat n'a pas complètement disparu : il est ce résistant anonyme qui contribue, dans l'ombre, à libérer le pays aux côtés des Alliées et de l'Armée d'Afrique. ̕la Libération, le Général de Gaulle rend hommage à la "vraie France", celle qui se bat les armes à la main. La IVe République va bientôt rétablir le service militaire, gage de cohésion national. Cela suffira-t-il à effacer les fractures du passé, à affronter les défis qui s'annoncent ?

Résumé : L’armée américaine, présente dans cent quarante-six pays à travers le monde, doit convaincre chaque année quatre-vingt mille jeunes de rejoindre ses rangs. Pour susciter les vocations en l’absence d’un service militaire, elle a mis en place dans les écoles un programme très sophistiqué qui lui permet d’embrigader des milliers d’adolescents : les JROTC ou réserves militaires juniors. Ce programme concerne plus de trois mille établissements scolaires publics, et près de cinq cent mille enfants de quatorze à dix-huit ans. Ils portent l’uniforme à l’école, et leurs cours d’éducation physique sont remplacés par un enseignement dispensé par des militaires à la retraite : cours d’histoire des forces armées, d’instruction civique, de discipline, de préparation physique, et dans certains établissements, maniement des armes sur le campus. Le programme cible en priorité les lycées de banlieues défavorisées et les jeunes issus des minorités à qui l’armée promet une éducation gratuite pour les attirer dans ses rangs. C’est le Pentagone qui finance, avec un budget de plusieurs centaines de millions de dollars, officiellement pour contribuer au "développement de la jeunesse". (source Adavision)

Résumé : De la livraison de repas à domicile aux services de VTC, des millions de gens à travers le monde trouvent du travail à la tâche en ligne. La "Gig Economy" vaut plus de cinq mille milliards dans le monde, chiffre en évolution constante. Néanmoins, on ne prête que peu d'intérêt aux histoires de ces travailleurs qui pourtant nous révèlent les dessous de cette évolution technologique. Qui sont ces travailleurs de l'ombre ? Séduits par la promesse d'indépendance et de contrôle de leurs temps de travail et de leurs revenus, des travailleurs à travers le monde ont dû affronter la dure réalité de cette économie. Des conditions de travail dangereuses, l'instabilité de leurs revenus, et la précarité de leurs activités qui peuvent s'arrêter du jour au lendemain en cas de désactivation ou de mauvaises notes.

Résumé : Le 29 et 30 septembre 1941, l’armée allemande avec l'aide de la police ukrainienne exécute 33 771 Juifs dans le ravin de Babi Yar, près de Kiev. À travers des images d’archives inédites, le film reconstitue le contexte historique de l'un des plus grands massacres de la Shoah par balles.

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