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Résumé : À Milan, en 1975, un homme d'une quarantaine d'années, mal dans sa peau et dans la société, décide d'entreprendre un voyage en Andalousie à la recherche de l'unique femme de sa vie, celle qui l'a à jamais fasciné, sorcière et fée, madone et putain, l'aimante, la belle et rebelle Aracoeli : sa mère. Entre l'agonie de Franco et l'assassinat de Pasolini, plus meurtri par son enfance que par la sanglante Histoire, Manuele reparcourt ainsi, à travers le temps et l'espace, dans ses lumières et ses ombres, ses sortilèges et ses mensonges, l'existence d'Aracoeli.

Résumé : Ce roman est un émouvant et authentique témoignage sur la condition des Noirs qui parviennent au bord de la «ligne de couleur» sans pouvoir la franchir. Une famille noire de la troisième génération depuis l'abolition de l'esclavage s'efforce vainement de s'intégrer dans la société américaine. Un professeur, aimé et estimé de tous, a une femme presque blanche : rejetée par les Noirs et par les Blancs, elle hait son mari et le rend responsable de sa couleur qui la condamne à ne pas dépasser un certain niveau social. Du début à la fin, une sorte de fatalité conduit les parents et les enfants au désastre.

Résumé : Depuis des siècles, les humains traitent les fées, dont ils redoutent les pouvoirs, comme des animaux dangereux. Lorsque la princesse Yuri reçoit une lettre de son père lui enjoignant de quitter le Japon pour le rejoindre, elle s'empresse d'obéir. Mais à son arrivée, elle découvre avec stupeur qu'elle a été promise à l'héritier du trône de France ! Dès lors, sa vie semble toute tracée... jusqu'à ce qu'une femme lui propose un choix : rester et devenir ce que la société attend d'elle ou partir avec cette seule promesse : « on vous trouvera, et on vous aidera. » Et si ce « on » était la dernière personne que Yuri pouvait imaginer ?

Résumé : Il faut lire ce texte d'une originalité et d'une poésie absolues, que Sôseki appelait son "roman-haïku". Au printemps, un jeune artiste décide de se retirer dans la montagne, loin des passions et de l'agitation de la cité, rencontre une jeune femme malicieuse et fantasque, rêve de peindre le tableau qui exprimerait enfin son idéal et ne réussit qu'à aligner poème sur poème ! Dans ce manifeste poétique et esthétique, profond, piquant, passionné, indigné, éblouissant, Sôseki approfondit sa méditation sur la création et la place de l'artiste dans la société moderne. "Je ne crois pas qu'un tel roman ait déjà existé en Occident. Il ouvrira de nouveaux horizons à la littérature", prédisait Sôseki en l'écrivant. Les délicates peintures qui l'accompagnent sont issues d'une édition de 1926 en trois rouleaux, où figurait aussi le texte entièrement calligraphié.

Résumé : Au cours d’un XIXe siècle fortement marqué par la porosité des relations entre les arts, le thème dionysiaque est un témoignage efficace des correspondances constantes entre champs artistiques. La bacchanale pénètre en particulier les mythologies voisines qui s’élaborent autour de l’Orient ou de l’Italie. Elle émerge dans un univers idyllique qui célèbre le retour à l’âge d’or, le culte de la fête champêtre et de la pastorale mais qui possède aussi un versant diabolique, dans les scènes de sabbat, de festin ou d’orgie des corps en tumulte. La bacchante côtoie de près l’image de la danseuse, de Salomé, en un mot, de la femme fatale. Simple prétexte iconographique souvent, occasion de dénonciation des tares d’une société bridée parfois, la figure de la bacchante n’a pas fini de livrer ses mystères. Protagoniste d’une mythologie particulière et secrète, ses travestissements sont en partie dévoilés dans les pages qui suivent. L’analogie de la bacchante et de la danseuse, particulièrement heureuse, révèle également le domaine où le dionysiaque trouve son parfait accomplissement à l’époque de la modernité : la danse. Cette publication cherche à nourrir les réflexions des chercheurs qui s’intéressent au champ du dionysiaque et à sa réception à travers les siècles, mais s’adresse également à ceux et celles qui souhaitent regarder la création dix-neuviémiste sous un nouveau jour. Contournant et détournant les mouvements, les courants et les catégories historiographiques traditionnelles, c’est à travers le prisme d’une inspiration commune, puisée dans les poétiques du vin, de l’extase et de la danse, que l’ivresse des arts du XIXe siècle est explorée. (éditeur)

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