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Résumé : Propose une lecture géographique des questions sociales : pauvreté, inégalités...

Résumé : La 4e de couv. indique : "La géographie sociale, qui s’inscrit dans l’organisation politique, idéologique et économique des territoires, établit l’unité du vécu spatial de chaque individu, entre ses représentations et ses pratiques. Cette introduction présente les concepts et les outils de la discipline ; elle les applique aux principaux modèles spatiaux (localité, région, aire urbaine ou métropolitaine, pays et campagne, géosystème, réseau, paysage...) auxquels se réfèrent les géographes. L’accent mis sur l’étude des spatialités du social permet ainsi d’investir de nouvelles questions (événements, conflits, crises, postures et pratiques sociales, etc.) et d’aborder les thèmes de la justice sociospatiale, de la mixité, du genre et du corps, du vivre-ensemble, de la ségrégation et de l’exclusion..."

Résumé : Les auteurs enquêtent sur la discipline, ses concepts et ses méthodes en un retour réflexif sur leurs pratiques de recherche et leurs terrains, visant la construction d'une épistémologie de la géographie sociale.

Résumé : Ces essais examinent les pratiques de la mobilité et les usages culturels dont elles relèvent. Le capital de mobilité mobilisé par les individus, l'accessibilité aux réseaux, les potentiels et les valeurs accordés à ces potentiels sont considérés du point de vue de la liberté.

Résumé : "Chemin faisant. Parcours en géographie sociale : estimant que le temps en est venu, l’universitaire retrace la démarche intellectuelle construite au cours de sa carrière. Il saisit les héritages et les contextes qui l’ont inspirée durablement et les événements qui en ont marqué le cheminement. Aussi le livre peut-il se lire de diverses manières. À chacun de choisir la voie qui paraît lui convenir pour s’y engager. Flâner, au gré des humeurs, entre le désordre des photographies initiales et l’essai de mise en cohérence des expériences successives à partir desquelles s’est élaborée la position du géographe. Ou emprunter le parcours en géographie sociale comme on s’attelle à la lecture d’un manuel d’initiation, mais un manuel qui voudrait inciter à s’écarter des sentiers convenus, pour tenter de mieux comprendre par leurs géographies les hommes en société. Ou bien s’interroger sur les complaisances que l’on ressent pour les terroirs de ses origines et sur l’obligation qui s’impose de se confronter aux crises qui, à l’échelle des banlieues ou à celle du monde, secouent les sociétés contemporaines. Ou encore, de confidences personnelles en essais théoriques, explorer les rapports entre ce qui relève de l’intimité et la nécessaire rigueur des savoirs partagés. Et ainsi préparer le regard et l’esprit à connaître les sociétés et se donner les moyens d’y tenir son rôle, aujourd’hui et pour les temps à venir. " [Source : 4e de couv.]

Résumé : Une étude de l'impact de la spatialité, du territoire à la nation, sur les identités. Privilégiés dans cet essai, les concepts de la géographie sociale autorisent une réflexion sur la refondation d'un vivre-ensemble qui doit désormais composer avec des identités plurielles, hybrides, fluides. ©Electre 2017

Résumé : Une étude géographique des mouvements sociaux populaires brésiliens, ruraux et urbains, depuis 1985, notamment de la mobilisation des sans-terre. Elle aboutit à l'élaboration de la notion de mouvements socioterritoriaux, qui s'appuie sur des travaux de géographes et de philosophes. Sont aussi présentées les conséquences économiques, politiques et institutionnelles des manifestations de juin 2013. ©Electre 2016

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