Résumé : Recueil de textes sur l'évolution de la géographie humaine et la signification de ses transformations ; sur les conditions dans lesquelles se développe la discipline, différentes d'un pays à un autre ; enfin, parcours de quelques grandes figures qui ont façonné la discipline : Elisée Reclus, Henri Hauser, Lucien Febvre, Fernand Braudel, Pierre Gourou, Jean Gottmann.
Résumé : Série de chroniques sur les données économiques destinées à informer les géographes. L'auteur présente la théorie des lieux centraux. Il localise les lieux de production comme les activités agricoles, les industries et services, les transports, les ressources naturelles ou l'économie de la ville. Une nouvelle approche des rapports économiques de l'homme avec son espace.
Résumé : Ces études sur la géographie socio-économique espagnole abordent les territoires qui gagnent en Andalousie, les transformations dans l'industrie de projection cinématographique en Espagne, la mutation des marchés métropolitains du travail ainsi que la dépendance et la concentration de la grande entreprise en Espagne.
Résumé : Une histoire de la géographie et de l'aménagement de la fin du XIXe au début du XXe siècle qui permet une meilleure compréhension de la pensée sociale de l'époque.
Résumé : Le 21 juin 2003, le Parc national de la Vanoise soufflait ses 40 bougies à Rosuel, dans la haute vallée du Ponturin. Dans cet essai, le géographe, Lionel Laslaz, s'interroge sur la réussite de cette construction humaine, l'exceptionnelle attractivité de l'image Vanoise, mais aussi les difficultés, les tensions, les échecs et les paradoxes soulevés par la création du premier parc national français.
Résumé : Au XXe siècle, la technique est devenue une donnée essentielle de l'environnement, des activités productrices et mêmes des relations interpersonnelles. Son rôle est fondamental à la fois pour expliquer l'architecture actuelle du monde vécu et pour définir le milieu géographique. Ce livre insiste sur le rôle de la géographie parmi les sciences sociales et la définit face à la globalisation.
Résumé : Réflexion émanant de géographes, d'économistes et d'aménageurs sur l'organisation de la région métropolitaine, en particulier les modes de vie périurbains et les nouvelles formes urbaines. L'analyse porte aussi sur le processus de métropolisation et sur les villes comme productrices de richesse par la régénération urbaine et la reconstruction de proximités.
Résumé : Cette étude retrace, depuis la Rome antique, la capacité d'organisation géographique et politique de la ville dans l'aire méditerranéenne et européenne. Elle montre comment la dynamique d'engendrement, la morphogenèse de Rome, permet de mieux comprendre les origines et les racines des nations héritières de la civilisation romaine.
Résumé : A travers une analyse entièrement renouvelée de la géographie historique de Paris, l'auteur reconstitue la genèse de l'organisation spatiale de cette ville, depuis ses origines celtiques et gallo-romaines jusqu'à la Révolution française.
Résumé : Quelle est la part de nouveauté qu'engagent les préoccupations actuelles pour un développement durable ? Dans quelle mesure les approches scientifiques et opérationnelles sont-elles redevables de réflexions et d'expériences antérieures ? Cet ouvrage, issu de travaux d'une équipe de chercheurs, s'attache à revisiter certaines des approches scientifiques et pratiques expérimentées autrefois.
Résumé : Théories et principes du commerce équitable. A partir d'entretiens et d'enquêtes de terrain, l'ouvrage montre que l'économie équitable ne doit pas se réduire à rendre plus juste l'échange marchand mais permettre la réappropriation des opérations commerciales par ceux qui les réalisent. Les acteurs officiels du commerce équitable français ou les expériences dans les pays du Sud sont analysés.
par Frigant, Vincent (1970-....) ; Talbot, Damien ; Kechidi, Med
L'Harmattan
2006
-
Disponible
- 339.5 FRI
Niveau 3 - Economie
Résumé : En partant des processus institutionnels, organisationnels et industriels qui ont conduit à l'émergence du groupe aéronautique EADS, les auteurs présentent et analysent les activités qui composent ces systèmes industriels agglomérés. Ils retracent les cheminements qui ont abouti à la mise en relation des tissus productifs, interrogeant l'émergence de politiques industrielles régionales.
Résumé : En s'interrogeant sur la possible existence d'un Etat de surveillance totale, les auteurs montrent que l'assemblage cohérent des techniques de surveillance existantes (caméra, satellites, puce électronique...) relève plus du fantasme que de la réalité. Mais ils se demandent si la société n'a pas franchi un pas en abandonnant certaines de ses libertés fondamentales au profit d'une sécurité accrue.
Résumé : Ce manuel de préparation à la nouvelle épreuve orale du CAPES d'histoire présente une synthèse des programmes en mettant en avant les objectifs et les pratiques d'enseignement.
Résumé : Analysant les fondements sociaux et historiques du développement des régions, ce recueil présente la spécificité des territoires, l'organisation sociale locale, la proximité, la bonne gouvernance, premiers parmi les concepts clés utilisés par les tenants de la nouvelle géographie socio-économique.
Résumé : Les guerres de partisans traversent l'Histoire militaire. Les partisans ne sont cependant définis comme des combattants irréguliers, qu'à partir du XVIIe siècle. Durant toute la période qui précède la Seconde Guerre mondiale (guerres de Louis XIV, napoléoniennes et franco-prussienne de 1870-1871, en particulier), ils sont des civils ou des combattants issus des armées régulières qui mènent un combat conventionnel, discipliné, et sont dotés de puissants moyens. La Résistance française marque, entre 1939 et 1945, un tournant stratégique dans les rapports entre partisans et armées régulières. Les nouveaux conflits qui interviennent dans la deuxième moitié du XXe siècle et au début du XXIe : conflit de décolonisation (Indochine/Viêt-Nam/Algérie), montée en puissance de l'islamisme anti-occidental (Afghanistan/AQMI au Sahara et au Sahel), donnent aux partisans (guérilleros) un caractère de nouveauté spectaculaire. Les grandes puissances doivent s'adapter et calquer leur stratégie sur celle de leurs adversaires qui pratiquent la dispersion, le coup de main et l'esquive, en profitant d'une géographie physique (montagnes, forêts, espaces désertiques) et humaine (immersion dans les populations) qui les rendent le plus souvent insaisissables. Tout cela conduit à l'émergence de la contre-guérilla et à la mise en place des forces spéciales. On en arrive alors à un prodigieux décrochement d'échelle, au moment où les puissances majeures commencent à se défier jusque dans l'espace extra-atmosphérique.
Résumé : Ces essais examinent les pratiques de la mobilité et les usages culturels dont elles relèvent. Le capital de mobilité mobilisé par les individus, l'accessibilité aux réseaux, les potentiels et les valeurs accordés à ces potentiels sont considérés du point de vue de la liberté.
Résumé : L'auteure, rédactrice en chef de la revue "Art press", analyse à travers de nombreux exemples (mouvements, artistes, tableaux...) les rapports que l'homme entretient avec l'art et les rapports de l'art contemporain avec l'art moderne. Elle constate que le monde de l'art préserve sa liberté de pensée et d'action et exemplifie l'errance symbolique de son époque.
Résumé : Températures, PIB, mariage, religion ou encore liberté de la presse font partie des thèmes décrits dans cet atlas européen sans carte mais où les données sont présentées sous forme d'images, graphiques et symboles. L'auteure a puisé dans les sources statistiques des plus sérieuses et procédé à des enquêtes personnelles.
Les Productions de l'Oeil sauvage [prod.] ; Candela Productions [prod.] ; Rennes Cité Média [prod.] ; Télénantes [prod.] ; Images de la culture [distrib.]
Résumé : Napoléon Bonaparte entend remettre en ordre une vie théâtrale libérée et bouleversée par la Révolution. Puissant média politique et scène des passions, le théâtre simpose entre Consulat et Empire comme lespace privilégié du divertissement. À lécart de la capitale, lactivité dramatique est des plus riches. Cette enquête dessine une véritable géographie de la diffusion de la culture officielle.
Résumé : Pétaouchnok n'existe peut-être pas. Mais, dans les langues les plus diverses, de nombreuses expressions similaires renvoient à des lieux réels, même si les gens qui les nomment l'ignorent parfois. De Bab-el-Oued à Tombouctou, de la Conchinchina espagnole au Canicatti italien, du Podunk américain au Java chinois, des îles Mouk Mouk québécoises au Houtsiplou wallon : tous ces lieux désignent un espace flou, entre réel et imaginaire. À travers quatre-vingts entrées illustrées, ce livre propose un voyage à la recherche de leur sens idiomatique, sur les traces de leurs périples et détours, à la croisée de l'anthropologie, de l'histoire, de la géographie et de la littérature.Nommés comme s'ils étaient des lieux fictifs pour indiquer le bout du monde ou un trou perdu au milieu de nulle part, les Pétaouchnok(s) du monde entier recèlent, au contraire, la réalité tragique ou ironique de l'expérience humaine. De la brousse africaine aux steppes de Sibérie, en passant par la pampa argentine, ils rappellent les rapports de domination entre centre et périphéries des empires, et révèlent les visions racistes des prétendus civilisés sur les ploucs et les barbares. Destinations de purges ou villages perdus, instituts d'internement ou terres sauvages, ils sont le nom d'utopies ratées ou d'hétérotopies négatives. Pourtant, ils peuvent aussi être des espaces de liberté, ou du moins d'évasion. Ils sont surtout la métaphore de la vie de tout un chacun et les centres d'autres mondes en gestationDans une époque où la planète et l'imaginaire semblent verrouillés et exploités jusqu'à leurs frontières ultimes, ces Pétaouchnok(s) sont ce qu'il nous reste. Non pas pour partir sur Mars, mais pour revenir sur Terre.
Résumé : Cet ouvrage traite de la phase récente de décentralisation des ports d'intérêt national initiée en France par la loi du 13 août 2004 relative aux libertés et responsabilités locales. Il décrypte cette réforme institutionnelle en appréhendant ses logiques, ses modalités d'application et ses conséquences sur l'organisation des ports français.
Résumé : En mai 1968, la France s'embrase dans un mouvement de contestation inédit qui voit le jour dans les universités avant de s'étendre au monde ouvrier et de paralyser tout le pays. Cette agitation estudiantine et sociale s'inscrit dans une révolte beaucoup plus large qui enflamme toute la jeunesse mondiale qui, au nom des libertés, revendique une mutation profonde de la socièté. Figure emblèmatique du mouvement français, Daniel Cohn-Bendit demeure à jamais le symbole de cette contestation qui a changé de manière irréversible le visage de la France d'après guerre.
Résumé : Né à Grenade à la fin du XVe siècle, élevé au Maroc après avoir été chassé d'Espagne par la Reconquista, Hassan al-Wazzân voyagea en Afrique comme ambassadeur du sultan de Fès. Capturé par des pirates chrétiens en 1518, il fut libéré par le pape Léon X en échange de sa conversion au christianisme. Devenu Léon l'Africain, il écrivit des traités de géographie et enseigna l'arabe en Italie...
Résumé : Cet ouvrage unique sur les guérillas anti-franquistes de 1936 à 1960 comble un véritable vide historiographique. Une fois la guerre civile espagnole (1936-1939) terminée, des milliers d'hommes et de femmes républicains furent contraints de fuir et de se cacher dans les zones les plus inhospitalières d'Espagne. Au sein des montagnes se forgea une authentique organisation de résistance antifasciste : le maquis, qui fut le mouvement d'opposition le plus conséquent au régime de Franco.Considérés comme des héros en France, ces guérilleros furent traités en délinquants, assassins, criminels et bandits de grand chemin dans leur pays. Ils formèrent des foyers qui ont fait vaciller le régime. Ce dernier s'est chargé de les effacer de l'histoire officielle. Face à l'impossibilité d'en parler librement, la mémoire de ce mouvement a survécu grâce aux témoignages que ces protagonistes et leurs proches ont transmis à leurs enfants.Maquis reconstitue cette épopée en détail, assemblant pour la première fois tous les morceaux du puzzle. On y suit les premières guérillas autonomes, le rôle des services secrets anglais et américains durant la Seconde Guerre mondiale, les conséquences de la guerre froide, le retour de l'état de guerre dans plusieurs régions, la fabrication de faux maquis par le régime, les nouveaux massacres qu'il va déclencher et l'incompétence criminelle des partis républicains en exil. L'auteur évoque aussi les guérillas urbaines, dont certaines perdureront jusqu'aux années 1960.Secundino Serrano est l'un des meilleurs spécialistes en études anti-franquistes. Il s'est basé sur une documentation exhaustive pour recueillir ce legs, le nettoyant du mythe et des légendes. Il tire ainsi de l'oubli l'un des chapitres les plus méconnus de l'histoire espagnole : la guerre de « Ceux des montagnes » pour la liberté. Secundino Serrano est historien spécialiste de l'après-guerre d'Espagne et de l'exil républicain. Professeur agrégé de géographie et d'histoire, il a...
Résumé : Lorsque nombre d’historiens européens racontent l’histoire du monde, ils ont toujours tendance à donner à l’Europe le beau rôle : c’est ici que sont nés l’individualité, la démocratie, la liberté, le capitalisme, et c’est ici, et nulle part ailleurs, qu’ont prospéré des sciences en continuel progrès. Certains attribuent cette supériorité à son climat tempéré, à son comportement sexuel modéré, à sa famille nucléaire, à sa religion chrétienne ou à sa mentalité rationnelle. Les « autres », Chinois, Indiens ou Africains, seraient moins bien lotis : climat défavorable, sexualité débridée, emprise de la collectivité, « despotisme oriental », poids des superstitions, mentalité traditionnelle où domine le sens pratique. Et tant les manuels scolaires que les disciplines académiques ont leur part de responsabilité dans le récit de cette distribution inégale. Histoire, géographie, mais aussi anthropologie, démographie, économie, philosophie, psychologie et sociologie sont ainsi mises au banc des accusées. De nombreux intellectuels, comme Lévy-Bruhl, Piaget ou Jung, mais surtout Max Weber, dont l’influence est aujourd’hui si grande, n’ont cessé d’alimenter les préjugés et, ce faisant, ont contribué à l’effort colonial en le justifiant théoriquement. Or, s’il peut bien exister des différences de trajectoire entre les sociétés, elles ne ressortissent ni aux techniques, ni à la cognition, ni à la culture et encore moins à la civilisation, mais relèvent de part en part de l’histoire et de la politique coloniale et remontent, pour l’essentiel, à 1492, date à partir de laquelle les métaux précieux venus d’Amérique déferlèrent sur l’Europe. Blaut relit l’histoire du monde à l’aune de cet événement en instruisant méticuleusement chacun de ces dossiers. Ce faisant, il nous fait enfin comprendre les causes véritables de l’essor européen, en mettant à distance le narcissisme culturel avec lequel nous sommes d’ordinaire si prompts à envisager l’histoire du monde. - Note de l'éditeur
Résumé : Considérée comme un espace architectural, pédagogique, politique et social, la cour de récréation est étudiée par une vingtaine de chercheurs aux spécialistés variées (sciences politiques, histoire, sciences du langage, culture architecturale, science de l'éducation, géographie, sociologie). Parmi les sujets abordés : l'architecture des cours de récréation au 19e et 20e siècles, les cours d'écoles pré-primaires en Indedu Sud, la mixité dans les cours de récréation, la cour de récréation dans le cinéma français. (source : Archiscopie). La 4e de couv. indique : "Depuis plusieurs siècles, les élèves disposent d’un lieu particulier pour se détendre et pour jouer quand ils ne sont plus en classe : la cour de récréation. Cet espace, dans lequel nous sommes tous passés, est devenu tellement banal qu’on oublie qu’il a lui aussi une histoire. Dans cet ouvrage, les meilleurs spécialistes nous éclairent sur ce qui se joue dans les cours de récréation du XVIe siècle à nos jours. Historiens, sociologues, anthropologues, géographes ou pédagogues nous rappellent qu’en France, en Inde ou au Québec, les cours ont été pensées par les architectes et intégrées dans les réflexions et les pratiques pédagogiques. La cour est aussi un formidable espace social où les enfants se forment à la vie collective et où pénètrent les débats qui agitent la nation, comme ceux sur la mixité, les signes religieux ou la violence. C’est bien sûr un espace culturel spécifique, celui où se transmettent, de génération en génération, des cultures enfantines. Celles-ci doivent parfois lutter contre les représentations et les réglementations des adultes, qui peuvent les menacer. La littérature, la peinture, le cinéma se sont approprié cet espace. La riche iconographie de cet ouvrage donne à voir les multiples représentations de la cour de récréation et accompagne des textes documentés et accessibles à un large public. Le colloque qui l’a précédé s’est tenu à l’abbaye-école de Sorèze, lieu majeur d’éducation pendant trois siècles. Un texte de 1786 nous dit même que c’est dans la cour, loin des parents et des enseignants, que se formaient les caractères."Sommaire Avant-propos. La cour de récréation par Caroline Barrera, maître de conférences en histoire, institut national universitaire Champollion / FRAMESPA et Rémy Cazals, professeur émérite d’histoire, université Toulouse-Jean Jaurès / FRAMESPAL’architecture des cours de récréation par Anne-Marie Châtelet, professeure d’histoire et de culture architecturales, école nationale supérieure d’architecture de Strasbourg / ARCHE université de StrasbourgLa cour de récréation des lycées du XIXe siècle : entre vitrine d’établissements d’excellence et contraintes urbaines par Solenn Huitric, doctorante en histoire de l’éducation, école normale supérieure de Lyon / LARHRALa cour de récréation, sujet de carte postale (1900-1930) par Jean-Claude Lescure, professeur d’histoire contemporaine, université de Cergy-Pontoise / AGORALa cour de récréation révolutionnée (de la fin de l’Ancien Régime à l’Empire) par Côme Simien, doctorant en histoire moderne, université Blaise-Pascal de Clermont-Ferrand / CHECÉloge de la récréation dans le Dictionnaire de pédagogie (1882-1887) par Patrick Cabanel, historien, directeur d’études, École pratique des hautes études / GSRLDans la cour, hors la cour, entre contraintes et libertés éducatives par Hervé Terral, professeur de sociologie, université Toulouse-Jean Jaurès / LISSTLa cour de récréation des manuels d’apprentissage de la lecture (1880-1980) par Pierre Boutan, maître de conférences honoraire en sciences du langage, faculté d’éducation / université de Montpellier / DIPRALANGLa cour de récréation dans les pratiques Freinet par Ségolène Le Mouillour, maître de conférences en sciences de l’éducation, université catholique de l’Ouest / PESSOALa cour de récréation, lieu d’expression politique par Céline Piot, docteure en histoire, ESPE d’Aquitaine / CEMMCLa cour de récréation au Québec et les politiques publiques par Jean Bernatchez, professeur en sciences politiques, université du Québec / APPSOLes cours d’écoles pré-primaires en Inde du Sud par Émilie Ponceaud-Goreau, doctorante en géographie, université de Bordeaux III / PASSAGESL’apprentissage de la civilité dans les cours des collèges et des pensionnats du XVIe au XVIIIe siècle par Guy Astoul, professeur agrégé honoraire d’histoire, FRAMESPALa mixité dans la cour de récréation, un long cheminement par Anne Verdet, maître de conférences en sociologie, université d’Orléans / CEPOCLa cour de récréation et le genre dans la littérature de la Belle Époque par Fabien Knittel, maître de conférences en histoire contemporaine, université de Franche-Comté / LSHPar quoi la récréation est-elle menacée ? Représentations d’adultes, pratiques enfantines par Julie Delalande, professeure en sciences de l’éducation, université de Caen Normandie / CERSEPar quoi la récréation est-elle menacée ? Représentations d’adultes, pratiques enfantines par Yan Bour, docteur en anthropologie, université Nice Sophia Antipolis / LAPCOSLa cour de récréation dans le cinéma français. De l’espace partagé au lieu de pouvoir par Michel Cadé, professeur émérite, université de Perpignan Via Domitia, président de la Cinémathèque Euro-régionale – Institut Jean-VigoLa cour de récréation à l’écran. Une école de liberté ? par Yohann Chanoir, docteur en anthropologie, université Nice Sophia Antipolis / LAPCOSConclusions. De la cour aux cours de récréation par Antoine Prost, professeur émérite d’histoire, université de Paris I / Centre d’histoire sociale du XXe siècle