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  •    Sujet : Guerre mondiale (1939-1945)
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Contenu : Panorama complet sur la Seconde Guerre mondiale à travers les actualités cinématographiques françaises diffusées de 1940 à 1946.

Résumé : La Deuxième Guerre mondiale vue d'après les Actualités diffusées en 1940-1945 à la radio ou dans les salles de cinéma. Celles-ci permettent de suivre le déroulement chronologique des évènements et de connaître la vie quotidienne des Français sous l'Occupation allemande. L'historien Marc Ferro présente, commente ces images d'archives, en révèle les omissions ou les mensonges, souligne la propagande nazie très présente dans ces Actualités. On peut discerner plusieurs périodes dans ces images filmées : la première, en 1940-1942, diffusée en zone occupée, "Les Actualités mondiales", sont entièrement produites par les Allemands et francisées. La deuxième (1942-1944), "France Actualités" est co-produite par les Allemands et le régime de Vichy. La troisième (1944-1945) émane de la Résistance ; il s'agit de "France Libre Actualités". Enfin, à partir de 1945; ce sont les "Actualités françaises"

Résumé : Modèle de cynisme et d'infamie, coup de théâtre aux conséquences abyssales, le pacte Hitler-Staline du 23 août 1939 n'est que le dénouement effroyable d'un vaste échec collectif. Lâcheté face à Hitler, répulsion viscérale entre l'Occident et l'URSS, choix absurdes, incompétence des uns et aveuglement des autres : une inexorable descente aux enfers que les plus lucides des acteurs ne réussiront pas à freiner.

Résumé : Le Train fantôme ? L'un des derniers convois de déportés, qui a mis deux mois pour parvenir à Dachau, pendant l'été 1944, au moment même où la France se libérait, où partout les gares étaient bombardées, les voix ferrées sabotées. Dans ce train, entassés dans des wagons à bestiaux, sept cent cinquante hommes et femmes, résistants de toutes les tendances, et de toutes origines ̧en majorité des immigrés, républicains espagnols, antifascistes italiens, juifs d'Europe centrale. Aucun train de déportation n'a mis si longtemps à atteindre sa destination. Aucun, non plus, n'a compté autant d'évasions. Signe de la persistance, chez ces déportés, d'un formidable esprit de lutte et de résistance. Le film évoque quelques-uns de ces combattants, ressuscite leurs actions, et rassemble de passionnants témoignages, anciens ou récents. En revenant sur les lieux mêmes, hantés, de ce terrible parcours.

Résumé : En 1942, Claude Weisz, alors âgé de trois ans, est arrêté à Paris avec ses parents, résistants et communistes. Son père est interrogé à la Préfecture de police de Paris, torturé pendant cinq jours et «suicidé» (officiellement défenestré). Sa femme et son fils, pour éviter une probable arrestation, passent la ligne de démarcation et se réfugient en Auvergne. Madame Weisz y continuera la résistance. Quelque quarante ans plus tard, le réalisateur emmène sa mère sur les lieux de leur exode et recueille ses souvenirs. Elle raconte d'abord sa fuite en zone libre, puis, l'arrestation à Paris et, enfin, la reconnaissance du corps de son mari défiguré. Le drame a marqué «la dernière année de sa vie», à laquelle elle n'a survécu que pour élever son enfant.

Résumé : Portrait de Jean-Pierre Vernant, philosophe, helléniste, anthropologue, historien de l'Antiquité, spécialiste de myhologie et résistant, à partir de films et de photos tirées des archives familiales, de collages et de montages. Le film permet de révéler une sorte d'archéologie de la mémoire pour celui qui n'a jamais cessé d'être confronté à la mort. Ainsi Vernant, dans cette "fabrique de soi" met-il à jour des liens cachés, parfois refoulés, entre son expérience dans la Résistance et son intérêt pour certains thèmes mythologiques. Pour cet homme d'exception mort en 2007, le monde et la vie n'ont aucun sens en eux-mêmes mais comme l'avaient compris avant lui les Grecs des cités antiques, c'est en fabriquant des images, en racontant des histoires, en créant des récits que la Gorgone, une des figures de la mort, peut être vaincue.

Résumé : Le système de la collaboration sous Vivhy a été longtemps passé sous silence.Ce film raconte le combat contre la falsification et le déni."Au-delà des archives, le documentaire donne la parole à des historiens, des avocats, des hommes et femmes politiques, des artistes."

Contenu : Le chant des partisans. L'Affiche rouge. Ce sont les juifs.... Prière pour les morts d'Auschwitz. Marche de la 2ème DB. Le chant des marais. Vorwärts internationale brigade. Liberté / Paul Eluard. Nuit et brouillard. Kampf gegen den Fascimus. La mitrailleuse. On se débrouille. Alle Waffen gegen Hitler. La Libération. La rose et le réséda.

Résumé : A partir de photographies commentées par des rescapés de camps de concentration nazis, le film évoque la mémoire de ces lieux : Auschwitz,Buchenwald, Dachau, Ravensbrück, Mauthausen...

Résumé : De 1941 à 1945, le camp de Theresienstadt, en Tchécoslovaquie, était considéré, selon les nazis, comme un "ghetto modèle" accueillant les Juifs du Grand Reich, parmi les classes privilégiées, les notables. En 1944, envoyé par le Comité International de la Croix-Rouge, Maurice Rossel visita le camp. Il n'y vit rien de répréhensible. Les nazis en avaient fait une sorte de vitrine dont, le lendemain de sa visite, il ne restait rien. M. Rossel fut-il vraiment dupe de cette mise en scène ?. Que savait-il de l'extermination en cours ?. Claude Lanzmann l'interroge longuement. Son témoignage unique révèle le climat d'ambiguïté qui régnait autour de la Shoah et la perversité nazie. Cet entretien fut réalisé en 1979 alors que C. Lanzmann tournait "Shoah".

Résumé : En suivant ces soldats qui ne sont pas revenus (Malaisie , Thaïlande) sont deux documentaires réalisés en1971. Le cinéaste réunit trois soldats installés en ThaÏlande dont un nationaliste et un autre devenu pacifiste.

Résumé : Le 10 juin 1944, le village d' Oradour-sur-Glane en Limousin, fut entièrement détruit par une division SS de la Wehrmacht. Le film évoque le massacre de ses habitants à travers le récit des rescapés et des familles de victimes. En Europe de l'Ouest, Oradour devint le symbole de la barbarie nazie. Le procès d'Oradour eut lieu huit ans après, en 1953 à Bordeaux. La seconde partie est une réflexion sur la mémoire de ce massacre: comment faut-il conserver ou restaurer ces pierres, présenter ces ruines ? Comment le village moderne a-t-il recommencé à vivre ? La population d'Oradour associe émotion et mémoire et ne souhaite pas que l'ancien Oradour détruit devienne un haut lieu touristique mais plutôt un espace du souvenir.

Résumé : "Port stratégique durant la Seconde Guerre mondiale, Saint-Nazaire va subir des bombardements alliés dès 1941. La situation de ses habitants devient vite difficile, et mettre les enfants à l’abri est une priorité… Comme René, qui avait neuf ans lorsqu’il est parti vers Oran, comme Yves, sept ans, et sa sœur de cinq ans, ou Françoise, dirigés vers la Suisse, une poignée d'entre eux racontent ces évacuations, la séparation d’avec leur famille et leur nouveau foyer. Et si cet accueil a pris des formes différentes, tous ont été fortement marqués. Soixante-dix ans plus tard, ils racontent... " (Source editeur)

Contenu : Fanfan la tulipe (1819). Le clairon. Le 113°de ligne (1883). Aux bat' d'af. En revenant de la revue (1886). Le père la victoire (1887). Le rêve passe (1906). Avec bidasse (1913). Quand Madelon (1913). Le cri du Poilu (1915). Verdun on ne passe pas. Mon légionnaire(1936). Le fanion de la Légion (1937). Ça fait d'excellents Français (1939). Mon petit kaki (1939). Où sont-ils tous mes copains (1941). Chant des partisans (1943). C'est vous ! (1944). La marche de la 2e DB (1945). Tell'ment je l'aime (1992)

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