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Résumé : Ce n'est pas parce que vous êtes immortel que vous vivrez pour toujours…Tous les quatre-vingt-dix ans ou presque, douze dieux se réincarnent dans le corps de jeunes adultes. Ils sont charismatiques et brillants. Ils se tiennent devant des foules immenses, qu'ils emmènent dans l'extase à travers des langues inconnues. La rumeur veut qu'ils soient capables de miracles. Ils sauvent des vies, que ce soit métaphorique ou concret. Ils sont aimés. Ils sont détestés. Dans moins de deux ans, ils seront tous morts...Fable de fantasy urbaine où les divinités sont des pop stars ressemblant étrangement aux icones de notre époque, The Wicked + The Divine forme une métaphore fascinante de la jeunesse d'aujourd'hui et de la gloire éphémère érigée en valeur suprême de notre société moderne. Véritable phénomène critique et public aux US, meilleure vente comics indé aux US derrière The Walking Dead et Saga, elle a été élue meilleure série aux British Awards 2014, a été nommée plusieurs fois aux Eisner Awards 2015 et va être prochainement adaptée en série TV.Créé par Kieron Gillen et Jamie McKelvie, le duo à l'origine du plébiscité Young Avengers, ce comics dopé à la pop-culture est garanti 100% génération « Y » : pour les gens qui aiment autant Bowie que Batman.

Résumé : Dans la première partie du film, Le Corbusier évoque son enfance et jeunesse, ses premières réalisations, de la villa Fallet en 1905 à la villa Savoye en 1929, son oeuvre picturale. Il travaille chez les grands architectes de l'époque, fonde la revue "Esprit nouveau". La deuxième partie montre ses grands projets architecturaux qui pour la plupart, ne purent être réalisés. Le film les présente matérialisés dans des images de synthèse. Le Corbusier participa à l'élaboration de la charte d' Athènes. La dernière partie présente les principales créations de l'architecte : la Cité radieuse à Marseille ; en Inde, à Chandigarh, la construction du Capitole et du Palais de l'Assemblée ; et des chefs-d'oeuvre d'architecture religieuse tels que Sainte-Marie-de-la Tourette ou la chapelle notre-Dame-du-Haut à Ronchamp.Tout au long du film, Le Corbusier raconte lui-même son itinéraire, ses combats, explique sa conception de l'urbanisme et de l'architecture qui, selon lui est "la mise en ordre d'un problème", son amour pour le béton. L'habitat doit être "l'écrin de la vie, la machine à bonheur". Architecte visionnaire, il aime aussi peindre, sculpter, écrire.

Résumé : C’est dans une salle sombre, au troisième étage d’une boîte de nuit fréquentée du quartier RedQ, que Zem Sparak passe la plupart de ses nuits. Là, grâce aux visions que lui procure la technologie Okios, aussi addictive que l’opium, il peut enfin retrouver l’Athènes de sa jeunesse. Mais il y a bien longtemps que son pays n’existe plus. Désormais expatrié, Zem n’est plus qu’un vulgaire “chien”, un policier déclassé fouillant la zone 3 de Magnapole sous les pluies acides et la chaleur écrasante. Un matin, dans ce quartier abandonné à sa misère, un corps retrouvé ouvert le long du sternum va rompre le renoncement dans lequel Zem s’est depuis longtemps retranché. Placé sous la tutelle d’une ambitieuse inspectrice de la zone 2, il se lance dans une longue investi­gation. Quelque part, il le sait, une vérité subsiste. Mais partout, chez GoldTex, puissant consortium qui assujettit les pays en faillite, règnent le cynisme et la violence. Pourtant, bien avant que tout ne meure, Zem a connu en Grèce l’urgence de la révolte et l’espérance d’un avenir sans compromis. Il a aimé. Et trahi. Sous les ciels en furie d’une mégalopole privatisée, “Chien 51” se fait l’écho de notre monde inquiétant, à la fois menaçant et menacé. Mais ce roman abrite aussi le souvenir ardent de ce qui fut, à transmettre pour demain, comme un dernier rempart à notre postmodernité.

Résumé : Série rassemblant des récits autobiographiques de B. Cendrars dans l'ordre chronologique de leur première publication. L'appareil critique fournit une orientation bibliographique recensant les principaux articles et ouvrages relatifs à chaque oeuvre étudiée.

Résumé : Cette « Histoire de lAlsace sous loccupation allemande » est lun des rares ouvrages à présenter une vaste synthèse de ces années noires (1940-1945) au cours desquelles lAlsace fut brutalement annexée à lAllemagne du IIIe Reich. Dans ce livre, Marie-Joseph Bopp retrace avec force documents cette période, remontant aux années davant-guerre et terminant son étude aux premières années de la réintégration dans la France. Lauteur évoque tous les aspects dune Alsace sous la domination allemande : la nazification de ladministration locale, les expulsions dAlsaciens et larrivée dAllemands et de populations des contrées de lEst, les organisations de jeunesse en Alsace, les nouvelles règles scolaires, la vie culturelle, les spoliations financières, lagriculture, la médecine et les questions raciales, les religions, la police et la justice, les camps du Struthof et de Schirmeck, le STO, la résistance, les combats en Alsace et la libérations des villes jusquau retour de lAlsace au sein de la France. Cest donc un vaste panorama qui est dessiné dans cet ouvrage où lérudition côtoie les anecdotes, les situations douloureuses et les tourments dune population qui avait déjà connu, 70 ans plus tôt, une annexion « légalisée » cette fois par le traité de Francfort de 1871.. L'auteur évoque tous les aspects d'une Alsace sous la domination allemande, jusqu'au retour de l'Alsace dans le giron de la France. C'est un vaste panorama qui est dessiné dans cet ouvrage où l'érudition côtoie les anecdotes, les situations douloureuses et les tourments de la population.

Résumé : Peu de lecteurs connaissent encore Erckmann-Chatrian. Appréciés de George Sand et d'Alphonse de Lamartine, défendus par Victor Hugo, ils ont subi le sort des auteurs édités par Hetzel : désignés comme des écrivains régionalistes s'adressant uniquement à la jeunesse, ils sont passés de mode. Après avoir paru dans la Bibliothèque verte et sous forme d'extraits dans les manuels scolaires, leurs romans ont été oubliés. Pourtant, Émile Erckmann (1822-1899) et Alexandre Chatrian (1826-1890), auteurs lorrains, figurent parmi les écrivains les plus lus du XIXe siècle. Avec pour cadre la vie quotidienne d'une campagne reculée, celle des environs de Phalsbourg puis des petits villages de Lorraine et des Vosges, leurs écrits abondent de menus faits recueillis auprès des villageois. Mais ce réalisme alors en vogue s'y trouve nettement infléchi par un idéalisme volontaire voire optimiste : « Il faut que tout soit un peu idéaliste, car la réalité plate, telle qu'on la comprend et qu'on la pratique aujourd'hui est trop assommante » confie Erckmann. Leur prose s'en trouve enrichie à la fois de considérations métaphysiques, du recours à l'étrange et au fantastique mais aussi d'un didactisme républicain. Leur devise pourrait être « édifier et instruire ». La présente édition annotée de leurs œuvres comprend trois recueils de contes – Contes fantastiques (1860), Contes de la montagne (1860) et Contes des bords du Rhin (1862) – et trois romans – L'Ami Fritz (1864), Histoire d'un conscrit de 1813 (1864), Waterloo (1865). Elle reprend la première édition de chaque oeuvre en volume et est accompagnée d'une introduction générale, de notices pour chaque partition, de notes explicatives, d'un dictionnaire des personnages, d'une bibliographie, d'une chronologie et d'index.

Résumé : Le vert, nouvel opus de cette précieuse série de dictionnaires. Avoir la main verte, se mettre au vert, émeraude, épinard, vert avocat, marécage, prairie, smaragdin, vert-galant, fée verte, Perrier, chlorophylle, feldgrau, Greenpeace, greenwashing...Entre héritage médiéval et révolutions, en tout lieu et de tout temps, le vert affiche ses ambiguïtés, décline sa palette entre jaune et bleu et multiplie les associations symboliques : renouveau du printemps, jeunesse et espérance, mais aussi acidité des fruits, virulence des paroles et des comportements.Le vert est la couleur du hasard, de la chance ou de la malchance, du maléfice et des êtres nimbés de mystère et dotés de pouvoirs inquiétants: nymphes, sirènes, fées, sorcières, dames vertes et petits hommes verts. Ce dictionnaire réunit l'ensemble des mots et expressions témoignant de résonances anciennes, mais aussi de bouleversements et d?une récente et extraordinaire valorisation du vert.Car nous vivons à l'heure d'une véritable explosion de ce vert qui incarne les préoccupations écologiques, la campagne, l'agriculture, la défense de l'environnement. Dans le désir idéalisé et nostalgique d'un retour à la nature. L'auteur Linguiste au CNRS, Annie Mollard-Desfour a notamment collaboré à la rédaction du Trésor de la Langue française. Les publications des premiers volumes du dictionnaire consacrés aux couleurs, Le Bleu, Le Rouge, Le Rose, Le Blanc, Le Noir ont fait d'elle la spécialiste reconnue du lexique des couleurs. Elle est présidente du Centre français de la Couleur.Arguments- Soutien de Patrice Blanc, botaniste, inventeur des mursvégétaux- Une série de dictionnaires renommée.- Une couleur d'actualité.. Ce dictionnaire réunit l'ensemble des mots et expressions témoignant de résonances anciennes, mais aussi de bouleversements et d'une récente valorisation du vert.

Résumé : New York, automne 1975. Bob Dylan est de retour a` Greenwich Village. Jeune journaliste pour Rolling Stone, Larry Sloman part en vire´e avec la bande a` Dylan dans les clubs et les fe^tes de la ville. Nous assistons gra^ce a` lui a` la session d'enregistrement de «Hurricane », la chanson racontant l'histoire de ce boxeur noir accuse´ d'un triple meurtre et luttant pour son inte´grite´ et son innocence depuis sa cellule. Dylan a lu son livre (Le 16e round a` paraître aux Fondeurs de Briques) et lui rend visite en prison. Le 45-tours est diffuse´ et Bob Dylan de´cide de reprendre la route, sous la forme ine´dite pour lui d'une caravane de multiples artistes, non seulement des musiciens mais aussi des saltimbanques, des poe`tes... Il veut retrouver la saveur des carnivals, ces fe^tes foraines de l'e´trange sillonnant l'Ame´rique du Nord pendant sa jeunesse. L'ide´e de de´part consiste a` se produire dans de petites salles du nord-est du continent, en annonc¸ant simplement les repre´sentations sur la radio locale. Ne´anmoins, tre`s vite, les cou^ts de production de la tourne´e, a` laquelle s'est adjointe une e´quipe de tournage (cf. le livre de Sam Shepard, The Rolling Thunder logbook ; les rushs seront re´cupe´re´s par Dylan qui en tirera son film, Renaldo & Clara), obligent les organisateurs a` se tourner vers des lieux plus vastes. D'abord blackliste´ par le tour-manager, a` force de perse´ve´rance passionne´e, Sloman gagne un surnom, “Ratso” et une place dans l'entourage des musiciens. S'ensuivent de multiples rencontres et sce`nes de la vie en tourne´e avec les prestigieux participants a` cette revue : Joan Baez, Robbie Robertson, Joni Mitchell, Allen Ginsberg, Bob Neuwirth, Roger McGuinn, et bien su^r avec Dylan luime^me lors de longues conversations. On de´couvre le beau-fre`re de Kerouac dans son bar a` Lowell, Ginsberg et Dylan se rendant sur la tombe de l'e´crivain pour y jouer et chanter un kaddish; a` Montre´al, on est convie´ à di^ner chez Leonard Cohen.

Résumé : Le changement dynastique n'est que l'un des effets de la révolution de 1830. Les Trois Glorieuses et la monarchie qu'elles engendrèrent, portées par les parties les plus dynamiques de la société gens de plume, artistes, entrepreneurs, jeunesse étudiante , par l'impressionnante galerie des hommes nouveaux , par la frange la plus éclairée de l'aristocratie et des catholiques, ne sacrifièrent guère à l'utopie. La volonté d'implanter en France des m‡urs et des institutions libérales était un projet solide, réaliste, conçu pour l'avenir. C'est lui qu'il faut créditer du progrès des libertés, du développement économique, du maintien de la paix au prix de quelques déconvenues et même de l'exceptionnelle floraison romantique.Si ces avancées, cette acclimatation au parlementarisme, cet enrichissement , certes bien inégalitaire, du pays ont fini emportés par le torrent de 1848, c'est en partie parce que les équipes dirigeantes, à l'épreuve du pouvoir, n'ont pas bien su accompagner le projet : défaut d'imagination devant l'événement, routine, rivalités personnelles, aveuglement ou sincérité douteuse du roi, scandales, résistance au changement, particulièrement en matière sociale, tout vint pervertir et gauchir une construction qui aurait peut-être assuré à la France un avenir meilleur. On aurait tort de condamner les idées et les aspirations des hommes de 1830 au motif que le régime a sombré dans le discrédit et a partiellement échoué à unir la nation.Nourri de l'intime connaissance que son auteur a de l'orléanisme, éclairé par de longs passages dus à d'illustres témoins de Hugo à Chateaubriand, de Tocqueville à Guizot, de Rémusat à Louis Blanc... , enrichi des recherches et des problématiques les plus récentes, ce livre offre la synthèse précise et vivante qui manquait. Un grand pan de notre histoire, longtemps négligé, nous est ainsi révélé.Membre de l'Académie française et de l'Académie des sciences morales et politiques, chancelier de l'Institut de France, Gabriel de Broglie est l'auteur de plusieurs biographies sur l'orléanisme et sur les grands représentants de ce courant : Guizot, Mme de Genlis, Mac Mahon, etc.. Cette étude montre comment la monarchie de Juillet de 1830 à 1848, en libérant les forces de modernisation, a permis de rattraper le retard sur l'Angleterre par le développement de la finance et de l'industrie. Cette période connaît aussi un développement artistique et intellectuel grâce au romantisme. Mais le politique ne suit pas et la transplantation du libéralisme en France est un échec.

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