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Résumé : Une analyse du film le replaçant dans le contexte de la carrière de son metteur en scène Akira Kurosawa. L'auteure explore le langage visuel de l'oeuvre et les étapes de sa production et de sa réalisation, sa place au sein de l'histoire du cinéma japonais, témoigne de son importance technique et esthétique. ©Electre 2017

Résumé : A partir des années 1930, le mot sérendipité, transposé dans le langage scientifique, désigne une pratique majeure de la recherche scientifique et technique. Des découvertes telles la vaccination ou la pénicilline sont des découvertes sérendipiennes, inattendues. Fait de médiation, d'oublis, de redécouverte, l'histoire de la sérendipité en dit long sur les sciences, les individus et les sociétés.

Résumé : Affrontant, avec les seules armes de son art, un monde en morceaux dont la représentation s'est perdue avec les attentats du 11 septembre, Don DeLillo donne à voir les rapports brisés de la belle machine humaine, psychisme, langage et corps impuissant confondus. Un voyage au coeur de l'ADN de l'histoire commune de l'homme.

Résumé : Une étude des romans de Toni Morrison, visant à montrer l'importance, dans l'histoire littéraire, de cette figure de la littérature afro-américaine décédée en 2019. L'auteure montre également comment les thèmes de la responsabilité, de la liberté, de l'imagination et du langage qui traversent son oeuvre sont susceptibles d'inspirer le continent européen. ©Electre 2019

Résumé : Née de parents sourds, l'auteure grandit aux Etats-Unis puis déménage en Italie à l'âge de 7 ans. Elle évoque l'histoire de sa famille ainsi que les difficultés du langage et de la communication conjuguées à sa propre quête d'identité oscillant entre les deux pays. Prix Transfuge du meilleur espoir européen 2021.

Résumé : Pierre Lafargue use, comme Saint-Simon, de l'art du contre-pied. Il s'approprie le langage de son glorieux aîné, et en même temps, le réinvente. Une écriture prise dans une histoire littéraire, celle du XVIIIe siècle, et qui, paradoxalement, parce qu'elle est singulière, apparaît aujourd'hui comme une langue nouvelle. Pierre Lafargue observe et écrit ce qu'il observe.

Résumé : Monographie dédiée à une oeuvre complexe et cohérente qui interroge, au travers de la photographie, du film et de l'installation, le langage et ses puissances de représentation. L'oeuvre de L. Montaron, imprégnée de l'histoire contemporaine, révèle les paradoxes qui accompagnent notre conscience de la modernité. Fait suite à l'exposition présentée en 2009 à l'Institut d'art contemporain.

Résumé : Rétrospective de l'oeuvre du peintre L. Gauffier (1762-1801), ami de François-Xavier Fabre et fasciné par l'Italie. Il développe un langage néoclassique singulier dans ses peintures d'histoire et peint des paysages originaux dans lesquels il représente l'aristocratie européenne à la découverte de la Toscane. Sa place sur la scène française et internationale est également examinée. ©Electre 2022

Résumé : Une histoire des représentations sociales de l'homosexualité depuis les années 1930. Le document montre que la folle, souvent cachée par l'homosexualité masculine, est présente dans l'espace social depuis des temps insoupçonnés. L'étude décrit une existence marquée par une culture spécifique et un espace singulier qui tient lieu de langage social, de résistance et de stratégie politique.

Résumé : L'auteure livre une réflexion sur les sources de l'histoire contemporaine à partir, en particulier, de l'Allemagne de l'Est, entre mémoire du passé nazi et mémoire du socialisme réel. Habituée à manier les archives, elle s'attache, dans une seconde partie, à observer le "tournant électronique" de la recherche documentaire à travers les usages du langage encyclopédique Rameau.

Résumé : Depuis vingt ans, de nouvelles hypothèses sont apparues sur l'apparition des mythes, des religions, de la morale, des cultures. Les facteurs clés de l'évolution humaine prennent en compte non seulement l'évolution du langage ou des techniques, mais aussi le pouvoir, l'imaginaire ou la cuisine. Présentation pédagogique des découvertes et hypothèses qui éclairent l'histoire de nos origines. ©Electre 2015

Résumé : Un commissaire plonge dans un labyrinthe de mensonges pour ne pas partir à la retraite, mais les crimes de son passé turbulent viennent frapper à sa porte. La truie de Taba a un regard énigmatique et de terribles pouvoirs qui expliquent peut-être pourquoi le méchoui des rues de Yaoundé est si succulent. Deux contes puisés dans le langage populaire, l'imagination et l'histoire du Cameroun.

Résumé : Au fil d'entretiens, l'artificier P.-A. Hubert raconte les origines de sa vocation, l'histoire de la pyrotechnie, l'évolution de sa carrière et de son langage artistique. L'ouvrage détaille les étapes de la conception d'un spectacle pyrotechnique : la forme de la commande, l'écriture technique, la scénographie, etc. Comporte de nombreuses photographies et dessins réalisés dans le monde entier.

Résumé : Ces contributions, aux frontières de la littérature, de l'histoire et de la politique, explorent l'écriture mallarméenne en son ambiguïté et retracent les différents destins d'un idéal porté par un rêve littéraire qui, dans le même temps, se heurte à l'impossible : le dire poétique bute contre le mur du langage. Cinq lettres de S. Mallarmé à M. Schwob complètent l'ensemble.

Résumé : La carrière de Germaine Richier (1902-1959) a duré à peine plus de vingt-cinq ans, de 1934 à 1959, mais elle laissé une trace importante dans l'histoire de la sculpture du XXe siècle. Cet ouvrage privilégie l'étude de certaines oeuvres pour montrer l'originalité d'une démarche artistique et la singularité d'un langage plastique mettant en place des repères tant thématiques que formels.

Résumé : Du visage observé par les médecins à l'âge classique pour y deviner l'âme, aux soldats américains posant avec des prisonniers nus, en passant par les spectateurs de curiosités au XVIIIe siècle, l'auteur dévoile l'histoire du corps, de la virilité, de la chair. S'appuyant sur le travail foucaldien, J.-J. Courtine analyse l'épaisseur sédimentée du langage et les déplacements du regards sur le corps.

Résumé : Ce petit livre a une double personnalité et une longue histoire. S'il résulte bien d'une conférence faite à la cité de l'architecture en 2012, il est composé de plusieurs strates. Tout d'abord une rencontre, celle d'un grand architecte paysagiste, Alexandre Chemetoff, habité par la question de « la souvenance » (ses plans pour Rennes, pour l'Île de Nantes font référence aux paysages humains et sociaux, il a obtenu, en l'an 2000, le Grand Prix national de l'urbanisme) et d'un grand écrivain Jean-Christophe Bailly, curieux de tout ce qui surgit, de toutes formes de vie pour peu qu'elles relèvent du langage ou du paysage. La deuxième strate est celle du voyage à Saint-Etienne, en décembre 2011 qui devint le matériau commun et la trame de la conférence. La troisième est la conférence elle-même et ce qui en revint, c'est-à-dire ce livre mûri dans la douceur de l'été 2014, à la campagne, en Saône-et-Loire – une des héroïnes de ce livre, nous diront les auteurs. Ces changements à vue sont donc un nouveau dépaysement et une nouvelle approche du territoire au sens le plus large, celui de l'inscription des traits urbains dans une géographie entière, dominée dans ce cas par la présence (même cachée) de l'eau. [source éditeur]

Résumé : Comme Dizzy Gillespie, Charlie Parker ou Thelonious Monk, Dexter Gordon (1923-1990) fut de ces jeunes musiciens qui, dans les années 1940, élaborèrent un langage qui bousculera presque tous les codes du jazz : le bebop. De ses premiers pas auprès de Lionel Hampton et Louis Armstrong à son apparition sur grand écran dans Autour de Minuit de Bertrand Tavernier, c'est ici la palpitante histoire du premier grand ténor du bebop. Maxine Gordon est historienne et archiviste. Ancienne collaboratrice de Gil Evans, Shirley Scott et Ahmad Jamal, elle fut aussi la dernière épouse du saxophoniste.

Résumé : Ce récit d’« un aveugle à Paris », comme son auteur s’apprêtait d’abord à l’appeler, était resté inédit. Le texte, réjouissant par ses trouvailles et enchanteur par son langage, est celui d’un observateur cherchant à comprendre un monde en mutation à partir de sa propre culture. Empreint de cette liberté et du désir de relever et de consigner qui caractérisent l’oeuvre de ce créateur encyclopédiste, l’ouvrage est un témoignage tout à fait unique d’un épisode marquant de l’histoire de l’art contemporain.

Résumé : On a pu dire qu'en demandant à un homme – ou à une femme – s'il préfère Tolstoï ou Dostoïevski, on peut « connaître le secret de son cœur ». Avec son érudition et sa verve coutumière, George Steiner explore ici les différences qui opposent le monde d'Anna Karénine et celui des Frères Karamazov. Ce sont deux interprétations du destin de l'homme, de l'avenir de l'Histoire et du mystère de Dieu que nous pouvons ainsi mieux comprendre. Car grâce au constant jaillissement des idées de l'auteur de Langage et Silence, le lecteur se trouve comme forcé d'entrer dans un dialogue passionné avec des thèmes aussi éternels que fondamentaux.

Résumé : Ce livre contient une série d'illustrations très visuelles et graphiques pour vous faciliter cet apprentissage. Découvrez les bases : les caractères clés sur lesquels le langage est construit. Apprenez à former des phrases plus complexes. Testez vos connaissances sur les 3 petites histoires : un conte de fées, une légende asiatique et une pièce de Shakespeare. En moins de 200 pages, vous aurez fait vos premiers pas dans l'apprentissage du chinois en vous amusant.

Résumé : "Khéops, Ramsès, Hatchepsout, Akhenaton, Néfertiti, Toutankhamon...?si ces noms résonnent aujourd’hui encore, c’est grâce aux vestiges que ces pharaons nous ont laissé. Des pyramides gigantesques abritant d’étincelants trésors, des sarcophages colorés qui protègent leurs précieuses momies, des sphinx colossaux, des fresques et reliefs taillés dans la roche, des statuettes si minutieuses… le tout orné de ce langage imagé et codé que sont les hiéroglyphes, déchiffrés il y a tout juste 200 ans par Champollion?: l’art égyptien renvoie au pouvoir des 350 pharaons – dont quelques femmes – qui ont régné sur l’Égypte pendant plus de 3?000 ans. Chacune de ces créations nous raconte leur histoire. Il était une fois, en Égypte antique…"

Résumé : Ces réflexions de N. Scott Momaday illustrent ce dont il est question dans ces dialogues : langage, littérature, esthétique, spiritualité. Elles reflètent le climat et la pertinence des échanges entre l'écrivain kiowa et Charles L. Woodard. La voix de Momaday résonne à notre entendement et nous met en contact direct avec son oeuvre. Nous sommes alors aux sources de sa création artistique, au coeur de son univers. De ces conversations vivantes et passionnées, riches et joyeuses, sérieuses mais jamais graves, viennent à nous les voix enfermées dans les livres, dans les replis de l'esprit et les ressacs de l'Histoire. En exprimant la quintessence de son monde mythologique, en nous faisant part de certains aspects de son histoire person - nelle liée à celle des Indiens d'Amérique du Nord, Momaday replace l'individu au centre du processus de création artistique, de son identité propre, dans son environnement originel et de son émotion unique.

Résumé : Recueil de nouvelles illustrant les moeurs du XVIIIe siècle et liées entre elles par une récurrence des personnages et une connexion entre les histoires.Des contes, des chansons et des saynètes au langage tour à tour soutenu ou populaire, qui mettent en scène les idées, les obsessions et les fantasmes de l'auteur. Au-delà des leçons de bonheur conjugal, c'est un tableau des moeurs de l'époque que dépeint l'auteur, fin observateur de son époque. Les différents récits, tissés entre eux, forment une cohérence narrative. ©Electre 2016

Résumé : Pour découvrir l'oeuvre de ce peintre qui explora les potentialités et limites de nouveaux langages plastiques à l'époque du cubisme et au moment de l'essor de l'abstraction. Cet ouvrage retrace son importance dans l'histoire de l'art du XXe siècle.

Résumé : Quand Marie d Ardillac reçoit dans sa classe un petit élève autiste, c est le déclic. En Simon elle reconnaît Gabriel. Un bout du voile se lève pour elle sur huit années d amour et de souffrance. Aspie je t M est avant tout une histoire d amour bouleversante s adressant à tout public. La rencontre d une femme « normale » et d un homme, autiste de haut niveau, désigné par le terme Asperger. Beaucoup d humour et de bonheur avec le récit de situations décalées mais aussi quelques épisodes plus difficiles qui donnent à l histoire sa profondeur et sa vérité. Les personnes concernées par l autisme et les troubles associés se sentiront quant à elles, avec ce témoignage, moins seules sur le difficile chemin de l amour. « Marie d Ardillac parle un langage d amour qui permet à la fois de nommer la différence et de la faire accepter comme particularité, diversité, richesse de la nature humaine, au-delà de la souffrance. » Claire Antoine, APAC Metz. « Une traversée du miroir, un voyage initiatique vers la différence, balayé par un amour sincère et poignant, un témoignage d'une extrême sensibilité et d'un courage jamais démenti », Maryse Maligne, chercheur en psychopathologie, Poitiers Les chercheurs, les enseignants, les étudiants trouveront ici comme une sorte de chaînon manquant dans la compréhension du TSA.

Résumé : Souvenez-vous...C'était la fin des Trente Glorieuses, la Guerre Froide battait son plein, Reagan menait la guerre des étoiles contre Brejnev, et la France de Giscard découvrait la crise. La campagne présidentielle de 1981 fut une joute politique comme le pays n'en avait pas connu depuis la guerre d'Algérie. Coluche se présente en candidat poil à gratter, l'écologie naissante balbutie avec Brice Lalonde « Votons pour la vie ! », Arlette Laguiller et Huguette Bourchardeau tiennent fermement l'aile gauche aux côtés de Georges Marchais. A droite, c'est la course à l'échalote : de Marie-France Garaud à Jacques Chirac en passant par le président sortant, chacun promet « le président qu'il vous faut », « le langage de vérité ». François Mitterand, qui ourdit depuis 5 ans son plan de conquête du pouvoir et d'union de la gauche, mène une campagne de rassemblement: « Le vrai risque serait de ne pas changer ». Le 10 mai 1981 à 20h00, les Français découvrent sous le choc que la France vient de voter rose et d'élire François Mitterand président. Alors que certains préparent leurs valises pour fuir la menace de chars russes aux portes de Paris, d'autres vont fêter à la Bastille cette alternance politique qui sonne comme une promesse de révolution. Christophe Bourseiller, témoin et déjà collectionneur à l'époque de tracts politiques, journaux, affiches et documents en tous genres, raconte ici pour la première fois, archives personnelles à l'appui, l'histoire de cette aventure et de ces quelques jours de folie qui ont fait trembler la France. Un livre d'histoire et de nostalgie pour revivre toute une époque et comprendre cette ferveur politique qui a bouleversé l'opinion avant de modifier en profondeur la société.. Illustré de tracts et d'images d'époque, cet ouvrage raconte l'histoire du basculement politique de la France à gauche avec l'accession au pouvoir de François Mitterrand.

Résumé : De sa jeunesse d'aspirante actrice, avant guerre, madame B. a gardé une grâce que ses amours contrariées et les difficultés n'ont jamais altérée; et quand elle arpente de son pas léger les rues de Rome le matin de bonne heure, on pourrait la croire éternelle. Aussi la radio des poumons qu'elle mentionne au détour de la conversation n'alarme-t-elle en rien sa fille, la narratrice, qui ne l'a jamais vue vieillir. Un simple examen de routine, que justifie une ancienne tuberculose. Mais il en va tout autrement. C'est le début d'un douloureux voyage à travers le monde hostile de la maladie, où tout, vocabulaire, codes, relations humaines, est à apprendre. La narratrice voudrait accompagner sa mère le long de ce chemin, mais elle ne sait comment s'y prendre, elle a peur, elle se perd. Et, peu à peu, un silence maladroit s'installe entre les deux femmes pourtant profondément liées. Car madame B. a également entrepris un voyage intérieur, parmi les souvenirs et au fond de son âme, où elle aimerait entraîner sa fille. Une fille écrivain à laquelle le langage fait soudain défaut. Elisabetta Rasy brosse avec pudeur le portrait d'une mère insoumise confrontée à la mort et aux fantômes de son histoire, et celui d'une fille, spectatrice épouvantée.

Résumé : Au regard d’un écrivain comme Michel Butor, la ville de Genève se présente tel un texte à déchiffrer. Rompu à cet exercice qu’il a pratiqué sur de nombreux autres lieux, Butor se livre ici à une promenade à travers rues et quartiers de manière à dégager les fils invisibles qui lient Genève aux autres villes, aux autres pays, ainsi qu’à son histoire. Mais cette ville est aussi pour l’écrivain un espace qu’il investit personnellement: tant par les lieux où il habite ou travaille (l’appartement des Eaux-Vives, l’Université) que par ses lectures et ses visites de musées. Ainsi s’opèrent des va-et-vient entre la topographie genevoise et celle imaginée par Rousseau dans La Nouvelle Héloïse, entre la rade où émerge aujourd’hui le Jet d’eau et le décor de La pêche miraculeuse de Conrad Witz, qui suscitent la nostalgie d’un bonheur perdu là même où se sont esquissées au XXe siècle, par l’implantation de l’Organisation des nations unies, des utopies à l’avenir incertain.Conscient de l’instabilité des repères, Butor introduit dans son parcours tel état des lieux pour le comparer avec celui qu’il a pu connaître lors de séjours antérieurs. Mises en perspective spatiales et temporelles rappelant au lecteur que lui-même (également promeneur), autant que le texte (la ville), est transitoire; et que seuls resteront, de la lecture à l’écriture, par-dessus tous les changements, comme ces arches enjambant le Rhône, les formes du langage sans cesse reconstruites, constitutives de la mémoire.

Résumé : « J observais le beau monde de la chanson, bien décidé à n imiter personne. Je n'avais pas envie, surtout pas ! d écrire des chansons dans le style de celles que j'écoutais à la radio à l époque. Ce qui m importait, c était de raconter la vie telle que je la voyais vécue autour de moi, sans fioritures, sans sertir l'ensemble d'une belle versification en alexandrins. Je voulais, d'une façon directe, naturelle, dire « je t'aime », « j ai envie de toi », « tu me fais du mal ». Exprimer des choses essentielles avec des mots simples me paraissait être le talent suprême pour un auteur de chanson. Et puis, surtout, je voulais que l'on se reconnaisse dans mes sujets et mon langage. Je n'ai d ailleurs jamais inventé une histoire ou une situation : l existence me les a offertes et je les ai transcrites. Ainsi, mes chansons me ressemblent, m habillent, et racontent ma vie. Mais elles racontent aussi la vôtre, lecteurs. Pourquoi le nier ? Sans honte, ni remords, je vous ai de tout temps atrocement pillés : vos amours, vos joies, vos tristesses, vos déceptions comme vos espoirs. Tout, absolument tout y est passé. » Charles Aznavour. Par la simplicité de ses thèmes et la poésie de ses textes, Charles Aznavour a inventé une nouvelle manière d écrire des chansons. Cet ouvrage, présenté et commenté par lui, rassemble toutes ses uvres.. Par la simplicité de ses thèmes et la poésie de ses textes, Charles Aznavour a inventé une nouvelle manière d'écrire des chansons. Cet ouvrage rassemble toutes ses oeuvres, qu'il commente ici et là.

Résumé : "Notre Dame de Paris, ouvrage mythique de Victor Hugo malgre son retentissement reste un livre inconnu. Cette uvre traduite dans le monde entier est devenu un mythe repris par le cinema et la bande dessinee. Pourtant la lecture de cet ouvrage de six cent quarante pages est demeuree, jusquÐa ce jour, superficielle et incomplete. Serge Pey nous livre dans cet ouvrage critique un nouvel aspect de lÐuvre hugolienne. Le jeune Hugo a redige a travers cette fresque reconstituee dÐun moment de la societe de la fin du Moyen Age, un livre souterrain. Pour Serge Pey, les heros de ce livre sont des personnages conceptuels et codes, repondant chacun a un moment du processus du Grand-uvre alchimique, avec en toile de fond le mythe de la Toison dÐor. La demonstration de cette etude, etayee par de nombreuses annees de recherche etablit une hypothese troublante sur lÐoeuvre hugolienne et une mise en perspective de la spiritualite de la societe du XIXe. Convoquant dans cette etude alchimie, esoterisme, histoire, sociologie, litterature comparee et ethnologie, ce livre decrit lÐaventure dÐun lecteur permettant de lire un livre mythique aujourdÐhui non lu par le public du XXIe siecle, mais qui a erige ses personnages en heros absolus de cinema. Notre Dame de Paris se transmutant en Notre Ame des Paris demontre eloquemment que cÐest toujours une epoque qui cherche ses yeux pour se lire et que toute uvre echappe en partie a celui ou celle qui lÐecrit. Ce livre est aussi une piste decryptant le langage de lÐalchimie et nous donnant une nouvelle definition de la Pierre-philosophale." -- [editeur]

Résumé : Histoires de femmes opprimées par les hommes, de voisinages, de jardins, de langages, ces nouvelles ont la vivacité et l'irrévérence malicieuse d'instants ordinaires saisis sur le vif.

Résumé : L'art minimal exprimé à travers les regards croisés de 27 artistes de danse, de musique, de vidéo, de textes, histoire collective de l'abstraction qui a bouleversé les formes de l'art. ©Electre 2017. Suggérant une histoire subversive de l’art minimal, l’exposition éclaire sous un nouveau jour les foyers communs et regards croisés où s’entremêlent les arts visuels, la danse et la musique dans les années 1960 et 1970 à New York.On reconnaît aujourd’hui dans le champ artistique les trajectoires radicalement innovantes tracées par les figures pionnières de la Postmodern Dance américaine - notamment Trisha Brown, Lucinda Childs, Simone Forti et Yvonne Rainer – dans le voisinage des recherches de l’art minimal. « A different way to move » envisage une histoire collective, mettant sur un pied d’égalité ces gestes concis, directs et sans artifice qui ont conjointement bouleversé les arts visuels et les arts de la performance. Yvonne Rainer en résume la portée : « il était nécessaire de trouver une manière différente de bouger ». L’idée résonne tant dans les nouveaux langages chorégraphiques et les environnements sonores que dans l’exploration du dialogue entre l’objet et le spectateur qui caractérise les œuvres de Carl Andre, Dan Flavin, Donald Judd, Sol LeWitt, Robert Morris, Richard Serra, entre autres. Elle a également partie liée avec la mobilisation politique et nourrit dans leurs travaux une critique profonde des rapports de pouvoir.. Artistes présentés : Vito Acconci, Carl Andre, John Baldessari, Robert Barry, Stanley Brouwn, Trisha Brown, Lucinda Childs, Dan Flavin, Simone Forti, Philip Glass, Eva Hesse, Joan Jonas, Donald Judd, Sol LeWitt, Alvin Lucier, Jackson Mac Low, Babette Mangolte, Gordon Matta Clark, Robert McElroy, Peter Moore, Robert Morris, Bruce Nauman, Charlemagne Palestine, Steve Paxton, Yvonne Rainer, Terry Riley, Richard Serra, La Monte Young.

Résumé : Depuis près de trente ans, Zoe Leonard jouit d’une reconnaissance internationale pour son œuvre qui, ancrée dans la photographie, prend également la forme d’installations et de sculptures. Son travail est avant tout le fruit d’une démarche d’observation dans laquelle se conjuguent une conception documentaire de la photographie et l’acte physique, corporel, du regard. Les migrations et les déplacements, le genre et la sexualité, le deuil et la perte, l’histoire culturelle ou encore les tensions entre monde naturel et environnement construit sont autant de thèmes récurrents dans son œuvre. L’exposition au Mudam présente pour la première fois Al río / To the River, un vaste projet photographique initié en 2016 qui a pour sujet le Rio Grande (le nom du fleuve aux États Unis) ou Río Bravo (son nom mexicain). Plusieurs années durant, l’artiste a photographié le fleuve le long des 2 000 kilomètres où il marque la frontière entre les États-Unis mexicains et les États-Unis d’Amérique, suivant son cours depuis les villes frontalières de Ciudad Juárez au Mexique et d’El Paso au Texas jusqu’au golfe du Mexique. Œuvre épique de par son envergure, Al río / To the River est le fruit d’une observation attentive de l’environnement bâti et naturel du fleuve, de ses paysages désertiques et montagneux jusqu’aux villes et villages qui le bordent, où la vie quotidienne se déroule en parallèle des activités liées à l’agriculture, au commerce, à l’industrie, et à la surveillance de la frontière. Les photographies de Zoe Leonard se concentrent notamment sur l’accumulation des infrastructures aménagées le long du fleuve pour contrôler le débit de l’eau et réguler le passage des marchandises et la circulation des personnes : barrages, digues, routes, canaux d’irrigation, ponts, pipelines, clôtures, postes de contrôle.« La nature changeante du fleuve – qui déborde périodiquement, change de cours et creuse de nouveaux sillons –, va à l’encontre de la fonction politique qu’il est censé remplir », commente l’artiste. Al río / To the River est structurée en trois parties, dont un Prologue et une Coda. Chacune d’entre elles engage une réflexion sur le langage photographique, passant, de manière fluide, de l’abstraction à l’image documentaire, puis aux images numériques de caméras de surveillance. Travaillant avec un appareil argentique tenu à la main, Zoe Leonard assume une position physique par rapport au fleuve. Bien que toujours subjectif, le regard qu’elle porte sur lui n’est jamais figé. Passant fréquemment d’un côté à l’autre du cours d’eau (et donc d’un pays à l’autre), l’artiste évite d’adopter un point de vue unilatéral au profit d’une suite de perspectives mobiles et changeantes. Dans Al río / To the River, Zoe Leonard va à l’encontre des images réductrices de la frontière véhiculées par les médias. Elle rend au contraire tangible la multiplicité des forces et des influences qui traversent le fleuve, qu’il s’agisse des intérêts commerciaux et industriels, des histoires culturelles, ou des liens familiaux qui se tissent par-delà la frontière. Elle s’intéresse aussi aux animaux et aux plantes de la région, qui subissent une pression accrue en raison de la sécheresse et du changement climatique, mais aussi des conceptions humaines souvent contradictoires appréhendant le fleuve tout à la fois comme un cours d’eau « sauvage et pittoresque », un réservoir d’eau et une frontière politique.

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