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Contenu : Always together with you. Best thing you never had (the D song). Let it bleed (for Iggy). Crazy. The mainline song. The A song (laid in your arms). I'm coming home again

Résumé : Portrait d'Edward Saïd, écrivain américain d'origine palestinienne. Ce film est composé de trois longs entretiens filmés pendant quatre semaines à New York. Ces entretiens ont été réalisés au rythme voulu par Edward Saïd, atteint d'une leucémie diagnostiquée en 1991. Le réalisateur donne la parole à cet intellectuel engagé et lucide, et cette parole résonne aujourd'hui plus fortement que jamais. Dans un entretien sur ses origines et la construction de son identité, Edward Saïd développe des thèmes contenus dans son autobiographie "Out of place" (À contre-voie). Éduqué en Égypte dans des collèges anglophones, il y découvre la suffisance de la culture occidentale à l'égard de sa culture d'origine. Parti étudier aux États-Unis, Edward Saïd fera de cette domination culturelle l'une des pierres angulaires de son œuvre, notamment dans son livre "L'Orientalisme" (1978). Un deuxième entretien s'organise autour des rapports entre Orient et Occident et a pour base "Culture et Impérialisme" (1993). Il y aborde la relation entre connaissance et humanisme. Un troisième entretien, le plus ancré dans l'actualité et les écrits politiques d'Edward Saïd, mais qui ne trouve tout son sens qu'après avoir mieux fait connaissance avec l'homme et l'intellectuel, traite de la Palestine et de sa lutte pour la reconnaissance de son identité et de son histoire. Il est très critique aussi bien à l'égard d'Arafat, avec qui il a coupé les ponts en 1992, qu'à l'égard des régimes arabes : le défi des Palestiniens n'est pas seulement une lutte pour la terre, mais surtout un défi social et politique à l'ordre établi par de très anciens régimes, en place depuis 30 ou 40 ans, répressifs, antidémocratiques et socialement très en retard. La musique enfin joue un rôle central dans la vie d'Edward Saïd. C'est un univers, un langage sur lequel il s'appuie souvent pour s'exprimer. Pianiste lui-même - il interprète dans ce film une sonate de Schubert - il est l'ami de Daniel Baremboïm avec qui il développe les projets qu'ils ont en commun.

Résumé : Tout commence avec l'enfance, c'est banal... mais celle de Coline ne l'est pas. Et elle mérite qu'on lui rende visite. La guerre d'Algérie bat son plein, y compris sur le sol français. La famille Serreau est mobilisée aux côtés des militants du Mouvement national algérien, un courant "minoritaire" qui rêve d'un pays libre, métissé, multiple. Ce n'est pas du goût de l'Elysée, ça exaspère la direction du Fln. Ses militants sont calomniés, persécutés, assassinés. Les Serreau font partie de leurs rares amis. Ils les cachent, les protègent, les défendent. D'où le danger, la menace, mais aussi l'enthousiasme et le sentiment de solidarité qui fait gonfler les cœurs... De cette enfance mouvementée datent les prémisses des révoltes ultérieures... De ce parti pris familial dépend l'ouverture d'esprit de Coline, son refus des dogmes, des contraintes, des diktats. Et de cela, Coline a envie de parler... Parce que c'est de cela que s'est nourrit son cinéma... "Dans Quelques notes de Coline, de Frédéric Sauzay, on apprend ou on se souvient à quel point, depuis quarante ans, Coline Serreau met son inaltérable énergie au service de tous les arts – théâtre, cinéma, musique à l'opéra ou en chorale. Rencontre avec une femme-orchestre de caractère."

Contenu : CD1-CD2 Pour me comprendre (best of) / Michel Berger : La groupie du pianiste. La fille au sax. Chanter pour ceux qui sont loin de chez eux. La bonne musique. A moitié, à demi, pas du tout. Laissez passer les rêves. On n'est pas seul. Mandoline. Pour me comprendre. Ecoute la musique. L'amour existe encore. Suis ta musique où elle va. Maria carmencita, sourde et muette. Mon fils rira du rock'n' roll. Diego, libre dans sa tête. Les élans du coeur. Où es-tu. Seras-tu là. Mademoiselle chang. Chanson pour une fan. Ca balance pas mal à Paris. Les princes des villes. Celui qui chante. Lumière du jour. Peut-être toi, peut-être moi. Voyou. Quand on est ensemble. Quelques mots d'amour. La minute de silence. Ca ne tient pas debout. Message personnel. Quand on danse. L'amour est là. Mon piano danse. Superficiel et léger. Tant d'amour perdu. Jamais partir. Déjà je suis loin. Le paradis blanc. Tout feu tout flamme. CD1-CD2 Evidemment (best of) / France Gall : Il jouait du piano debout. Résiste. Le meilleur de soi-même. Une femme, tu sais. Ca balance pas mal à Paris. Ce soir je ne dors pas. Besoin d'amour. Diego, libre dans sa tête. Quand on est enfant. Musique. Si l'on pouvait vraiment parler. Bébé comme la vie. Mais aime la. Si, maman, si. Tout pour la musique. Donner pour donner. Samba mambo. Amor también. Comment lui dire. Viens je t'emmène. La déclaration d'amour. Ella, elle l'a. Cézanne peint. La seule chose qui compte. Papillon de nuit. Laissez passer les rêves. Message personnel. Les princes des villes. Evidemment. Les élans du coeur. Calypso. La chanson d'azima. C'est bon que tu sois là. Babacar. Superficiel et léger. Hong-kong star. Jamais partir. Débranche. Plus haut

Résumé : "Ce film raconte mes tentatives de dialogue avec les défenseurs du régime iranien. Pendant trois ans j'ai cherché à les convaincre de venir vivre deux jours avec moi dans une maison pour leur poser une question fondamentale à mes yeux : comment faire concrètement pour vivre ensemble ? Comment partager l'espace public iranien pour qu'il appartienne autant aux athées comme moi qu'aux religieux qui ont le monopole du pouvoir ?" (Mehran Tamadon). Les intentions du réalisateur qui vit en France sont claires : il veut débattre avec des "défenseurs de la République islamique d'Iran" dans le cadre d'une maison familiale des environs de Téhéran. Quatre religieux, accompagnés de leur famille, vont accepter la proposition. Un salon réaménagé constituera l'espace commun, le lieu public de la réflexion et figure de l'utopie (la société idéale de M. Tamadon) où vivront les protagonistes selon une constitution rédigée d'un commun accord. Ce procédé, ce dispositif permettra de filmer et les échanges et des scènes de dîner où la pensée continue de s'exprimer. La patience du réalisateur soutenue par une écoute toujours active, un optimisme engagé et la volonté de ne jamais s'emporter permettront de mettre en évidence le radicalisme et la fermeture d'esprit de ses interlocuteurs. L'un d'entre eux qui apparaîtra comme le défenseur du dogme s'appuiera sur les possibilités et les ressorts du langage (changements de sujet, jeu sur les mots, retournements des problèmes) pour faire "triompher" par la mauvaise foi ses idées intégristes. Il n'empêche que "la méthode Tamadon" reposant sur la force de la parole démontera les rouages de la phallocratie islamique comme les contradictions de la charia. Quant à l'épilogue il dira le sort réservé à cet exercice de la parole et à ce désir d'une législation qui assure les libertés de chacun.

Contenu : [CD10] [Reggiani 95 (1995)] Quand je serai vieux je s'rai chanteur. Paris a rencontré la Seine. Ciné cinéma. Des souvenirs de l'avenir. Dieu me garde de mes amis. Le monde en récompense. Soixante-dix balais. Letizia. Ils grimpaient. Le temps perdu. Gladys. Il faut vivre. Petite fille aux yeux si grands. Au bar de l'arbre sec. Le lit de madame. Au numéro 103. Le 421. La cour des mirages. Lettre à Olivier. Les carabiniers. Amour sépia. Canard boiteux. Monsieur Baudelaire. La vie, madame. [CD 11] [Nos quatre vérités (1997)] Le vieux. Argentine. On n'en meurt pas mais ça vous tue. Les petits voisins du dessus. Cousin Julien. Y'a-t-il quelqu'un ?. Les demoiselle du déshonneur. Avenue Montaigne. Nos quatres vérités. Quand on y pense. T'aurais pas dû. Les miroirs se souviennent. Raymond joue-moi du jazz. [CD 12] [Les adieux différés (1999)] : Ivre. Le monde est femme. Jeune. Naturel. C'est dans combien ?. La gare de Bayonne. Planétarium. La dernière larme. Le prof. Jean des Brumes. Ballade pour une gardienne de musée. Les adieux différés. Ca va ? Ca va ?. [Enfants soyez meilleurs que nous (20000)] Enfants soyez meilleurs que nous. Acteur. Saint-Paul-De-Vence. Tovaritch. Un jour j'ai fermé la télé. T'as d'beaux yeux tu sais. Néon blues de banlieue. La brume. Tant bien que mal. La première fois que je suis né. Les quarantièmes rugissants. Le divin Mozart. [CD 13] [Autres titres] Prélude - Sarah. Prélude - le dormeur du Val - le déserteur. La vie c'est comme une dent. Les loups sont entrés dans Paris. Maxim's. Le petit garçon. Ma solitude. Ma liberté. Arthur... Ou t'as mit le corps ?. Prélude - extrait du pont Mirabeau - Paris ma rose. Gaspard. La ballade des pendus. La clef. France Lune. Parler d'amour. Un taxi passe. La chanson de Maglia. Et la fête continue. Hugo de Paris. Le temps qui reste

Résumé : Le portrait conçu par Jean Daniel et Joël Calmettes tente de déconstruire l’image négative, tragique ou, a contrario, « naïve » qui reste parfois accolée à ce grand nom de la littérature et de l'histoire politique de l’époque moderne. Essayer de s’approcher au plus près de « la joie de vivre de l’homme, tendre à faire passer ce bonheur simple qui l’habitait et qui coule dans ses phrases... un bonheur bien sûr entravé, blessé, bientôt perdu de vue », tels sont les objectifs et le fil conducteur du film. Au regard de cet axe, le parcours de Camus est découpé chronologiquement en trois phases. La première, consacrée à l’enfance et à la jeunesse, fait retour sur les lieux d’origine : la ville d’Alger et la terre algérienne. C’est avec l’écriture de "L'Étranger" et du "Mythe de Sisyphe" que s’ouvre le deuxième volet : « Un bonheur étouffé par la gloire, France, 1941 - 1952 ». La dernière partie substitue à la parole de « l' homme public » une figure plus intime qui apparaît dans la distance prise par rapport au cercle parisien et à l’idéologie communiste. Cette parole intime est mise en avant à travers la lecture d’écrits personnels, correspondances et journal. Avec des entretiens filmés ou enregistrés accordés par Albert Camus, des archives privées et les témoignages de Catherine Camus, sa fille, Edmond Charlot son premier éditeur, Jules Roy, Robert Gallimard, Catherine Sellers et le comédien Michel Bouquet. Le commentaire de Jean Daniel, marqué d’une dimension subjective explicite, est dit par Jean-Louis Trintignant.

Résumé : "C'est en forgeant qu'on devient forgeron, c'est en écrivant qu'on devient écriveron". Après cet inaugural proverbe quenellien, Dumayet expédie la biographie obligatoire — cahier des charges oblige — en deux minutes de montage photo enlevé sur un commentaire lacunaire jouant de l'œuvre ouverte par Queneau — entre deux guerres, son mariage et sa propre mort — œuvre dont il va être question dans la suite du film. Nous voici invités, en compagnie de Jacques Roubaud, compagnon de Queneau en l'Oulipo (Ouvroir de Littérature potentielle), à lire la vie de Queneau comme celle de ses personnages, art de la langue parlée écrite, art d'inventer des questions auxquelles tout le monde se fait un plaisir de répondre à côté, l'auteur le premier, par le calembour notamment qui permet de ne pas prendre les mots au mot mais de leur faire prendre la tangente. Le film est une lecture à la Queneau de Queneau. Y joue à plein, tout en déliés, l'affinité humoristique de Dumayet avec Queneau, qu'il interviewa par trois fois ("Zazie dans le métro", "Les Fleurs bleues", "Le Chien à la mandoline") à Lectures pour tous, régal ! Dumayet et Bober nous entraînent à la lecture des signes de vie et des livres de Queneau comme à un parcours énigmatique avec jeu de correspondances insolites ou amusantes : des signes se répondent qui balisent les histoires de Queneau et dont l'histoire de Raymond Queneau fut balisée.

Résumé : La Chine, deux ans avant les Jeux Olympiques de 2008 : au centre de Pékin, non loin de la place Tiananmen, derrière d’imposants panneaux à la gloire du progrès chinois, un immense chantier de démolition. C’est le vieux quartier ouvrier de Qianmen qui fait peau neuve. Ici, sous prétexte d’assainissement et de lutte contre la misère, on rachète tout un quartier populaire pour le démolir et proposer à la place une nouvelle image de Pékin : projet politique conçu dans l’urgence, pour lequel il faut mettre à la rue plus de quatre cents personnes qui habitent encore ces maisons. Sans un mot de commentaire, plongeant directement dans la réalité quotidienne, Olivier Meys va au devant de ces hommes et de ces femmes, réduits à vivre dans les décombres de leurs foyers, qui refusent de partir et mettent en cause un pouvoir qui se joue des hommes et de leurs vies. De longs plans-séquences montrent la colère des habitants, leur révolte contre le montant des indemnisations et la spéculation foncière, leur détermination à rester jusqu'au bout, leur angoisse parce qu'ils ne savent où loger et n'ont pas l'argent nécessaire, la tristesse des relogés dans des tours de banlieue où ils ne connaissent personne.

Résumé : La Chine, deux ans avant les Jeux Olympiques de 2008 : au centre de Pékin, non loin de la place Tiananmen, derrière d’imposants panneaux à la gloire du progrès chinois, un immense chantier de démolition. C’est le vieux quartier ouvrier de Qianmen qui fait peau neuve. Ici, sous prétexte d’assainissement et de lutte contre la misère, on rachète tout un quartier populaire pour le démolir et proposer à la place une nouvelle image de Pékin : projet politique conçu dans l’urgence, pour lequel il faut mettre à la rue plus de quatre cents personnes qui habitent encore ces maisons. Sans un mot de commentaire, plongeant directement dans la réalité quotidienne, Olivier Meys va au devant de ces hommes et de ces femmes, réduits à vivre dans les décombres de leurs foyers, qui refusent de partir et mettent en cause un pouvoir qui se joue des hommes et de leurs vies. De longs plans-séquences montrent la colère des habitants, leur révolte contre le montant des indemnisations et la spéculation foncière, leur détermination à rester jusqu'au bout, leur angoisse parce qu'ils ne savent où loger et n'ont pas l'argent nécessaire, la tristesse des relogés dans des tours de banlieue où ils ne connaissent personne.

Résumé : " Agriculteur, penseur, écrivain, précurseur de l'agroécologie, Pierre Rabhi fait partie de ces humanistes qui élaborent des utopies réalistes.Le film part à sa rencontre et retrace son parcours, depuis le Sahara algérien de son enfance jusqu'aux Cévennes ardéchoises. C'est là qu'il a choisi d'effectuer un retour à la terre avec sa femme, dès le début des années 1960, et qu'il va devenir un des pionniers de l'agriculture biologique, inventant le concept d'"Oasis en tous lieux".Portrait intime et personnel sur l'homme et son itinéraire, ce film témoigne de son combat incessant pour l'insurrection des consciences et des valeurs de ce qu'il nomme la "sobriété heureuse"". Le film est construit autour de la parole de Pierre Rabhi que celle-ci explique les faits marquants d'une vie (la perte de la mère à 4, 5 ans, être confié à un couple de français, être d'une double culture, être arrivé en France pendant la guerre d'Algérie, avoir pris le maquis physique et éthique dès 1957 quand la logique inhumaine liée à son statut d'OS fut intolérable) ou soit au contact des autres dans des conférences, des débats ou en visite en Afrique, dans cette Afrique où il travailla entre 1981 et 1989 . La parole de Pierre Rahbi est celle d'un sage qui s'exprime par la poésie où le songe (l'activité de l'esprit où le temps n'est pas fait que pour produire) est une nécessité absolue. Le film le montrera aussi au champ, plié sur les cultures de son jardin, dans son activité de paysan accroupi à même le sol. Une séance de travail éditorial ainsi que la visite d'un potager dans un gîte-auberge pédagogique sont également montrées. Des interventions de sa femme Michèle qui tapa tous ses premiers livres expliquent comment a fonctionné leur couple : elle (les enfants et la ferme), lui (très peu souvent là effectuant un travail très utile à l'extérieur). Un film qui montre une personnalité en marche, résistante qui lutte non seulement avec des mots mais surtout par ses actes en direction de la terre-mère. Un homme hors du commun qui défend la terre en étant à la fois son avocat et son thérapeute grâce à l'agrobiologie.

Contenu : CD 04 Popp songs 1 : Musique mécanique / Juliette Gréco. Grand-papa laboureur / Catherine Sauvage. La pendule / Les Frères Jacques. Les lavandières du Portugal / Jacqeline François. Pour bien la chanter / Catherine Sauvage. La rue s'allume / Cora Vaucaire. Chimère / Catherine Sauvage et Pierre Brasseur. La complainte du téléphone / Juliette Gréco. De fil en aiguille / Bourvil. De Pantin à Pékin / Juliette Gréco. Tique taque / Pia Colombo. Tom Pillibi / Jacqueline Boyer. Oui mon capitaine / Patachou. Kilimandjaro / Bourvil. Depuis qu'on est deux / Luis Mariano. Ping-pong / Marcel Amont. Les chants de l'été / Petula Clark. C'est ça l'rugby / Les Frères Jacques. Ma bohème / Isabelle Aubret. La rue s'allume / Barbara. Le chant de Mallory / Rachel. Les rubans et la fleur / France Gall. L'amour est bleu / Viky Léandros. Le coeur trop tendre / Nana Mouskouri. Manchester et liverpool / Marie Laforêt. Deux oiseaux / France Gall. CD 05 Popp songs 2 : Mon amour mon ami / Marie Laforêt. Je danse donc je suis / Brigitte Bardot. Portuguese washerwoman / Astrud Gilberto. Le lit de Lola / Marie Laforêt. I can sing a rainbow ; love is blue / the Dells. Years may come years may go / Herman's Hermits. Le coeur en fête / Les Compagnons de la chanson. Les jardins de Marmara / Dalida. Love maestro please / Sheila. Le temps de mon père / Dalida. Song for Anna (chanson d'Anna) / Herb Ohta. They never will leave you / Marianne Faithfull. My chérie Jane / Jane Birkin. L'amour c'est comme les bateaux / Sylvie Vartan. Le garçon que j'aimais / Nicole Croisille. El amor toca el violin / Jeannette. David / Nicole Croisille. La solitude c'est après / Claude François. Les oiseaux du bonheur / Céline Dion. Los tiempos de mi papa / Jeannette. L'amour dans les volubilis / Marie-Paule Belle. Du soleil au coeur / Céline Dion. Musique mécanique / Leticia Caura. CD 06 Piccolo, Saxo et compagnie forever : Piccolo saxo et compagnie (la petite histoire d'un grand orchestre). Passeport pour Piccolo, Saxo et compagnie. Piccolo, Saxo et le cirque Jolibois. Piccolo Saxo à Music city. Piccolo, Saxo - la symphonie écologique

Contenu : CD1 : LOADED (remastered) : Who loves the sun. Sweet Jane. Rock & roll. Cool it down. New age. Head held high. Lonesome cowboy bill. I found a reason. Train round the bend. Oh ! sweet nuthin'. I'm sticking with you. Océan. I love you. Ride into the sun. CD2 : LOADED (PROMOTIONAL MONO VERSION) (remastered) : Who loves the sun. Sweet Jane. Rock & roll. Cool it down. New age. Head held high. Lonesome cowboy bill. I found a reason. Train round the bend. Oh ! sweet nothing. Who loves the sun. Oh ! sweet nuthin'. CD3 : LOADED (DEMOS, EARLY VERSIONS AND ALTERNATIVE MIXES) : Rock & roll. Lonesome cowboy bill. Rock & roll. Sad song. Satellite of love. Walk and talk. Oh gin. Océan. I love you. Love makes you feel ten feel tall. I found a reason. Cool it down. Sweet Jane. Lonesome cowboy Bill. Head held high. Oh ! sweet nuthin'. Who loces the sun. Sweet Jane. Cool it down. Lonesome cowboy Bill. Train round the bend. Head held high. Rock & roll. CD4 : LIVE AT MAX'S KANSAS CITY (remastered) : I'm waiting for the man. White light white heat. I'm set free. Sweet Jane. Lonesome. New age. Beginning to see the light. I'll be your mirror. Pale blue eyes. Candy says. Sunday morning. After hours. Femme fatale. Some kinda love. Lonesome cowboy bill version 2. CD5 : LIVE AT SECOND FRET, PHILADELPHIA, 1970 (previously unreleased) : I'm waiting for the man. What goes on. Cool it down. Sweet Jane. Rock & roll. Some kinda love. New age. Candy says. Head held high. Train round the bend. Oh ! sweet nuthin'

Résumé : "Dix Israéliens issus de communautés orthodoxes rigoureusement fermées évoquent le cheminement personnel qui les a conduits à une rupture dramatique avec leur famille. À visage découvert ou caché, dans des plans fixes qui privilégient l’écoute, ils témoignent de leurs peurs – scandale, transgression, sanction sociale –, puis de leur apprentissage parfois difficile d’un monde plus ouvert, plus sensuel, mais aussi infiniment moins protecteur. Pour chacun, l’expérience personnelle qui a ouvert la brèche est différente. "J’ai envié ce garçon magnifique qui s’avançait en skate-board" ; "j’ai senti la caresse du vent dans mes cheveux qui, pour la première fois depuis mon mariage, n’étaient pas couverts d’une perruque." Expérience sensuelle pour les uns, expérience de l’absurde pour les autres. "J’ai dit à mon fils qu’il pouvait regarder l’arc-en-ciel sans crainte. Mon fils n’a pas supporté que je contredise la parole de son maître." Chacun, un jour, a violé une interdictions ; il l’a fait en tremblant d’être découvert, ou d’être puni par Dieu. La sortie de la secte se paie d’un véritable bannissement. Tous témoignent de cette solitude douloureuse. L’un d’eux se déguise en femme le jour de Pourim pour approcher un père qu’il n’a plus vu depuis trois ans et le filmer. La rupture se paie aussi de doutes : "N’ai-je pas agi égoïstement ?" Reste enfin à apprendre à vivre parmi les laïcs et à s’initier à d’autres codes amoureux." Cop. Eva Ségal, CNC-Images de la Culture.

Résumé : Sandrine Bonnaire filme sa soeur Sabine, 38 ans, autiste. Par un montage parallèle ce témoignage nous confronte, et c'est à chaque fois un choc, à Sabine avant (une jeune femme au regard noir intense, rieuse, pleine de vitalité) et après (une silhouette massive défaite par les neuroleptiques à hautes doses, la camisole) son internement durant cinq ans dans une structure psychiatrique inadaptée. Le contraste entre l'avant et l'après est constant dans le film marquant ainsi la nostalgie que ressent la réalisatrice et l 'actualité de la situation de Sabine qui depuis son entrée dans un foyer d'accueil en Charente a retrouvé petit à petit la parole, un goût de vivre même si ses capacités restent altérées. Ce va-et-vient entre deux temps séparés, cassés par l'internement ( l'un évoqué par des images d'archives personnelles et la narration en voix off de Sandrine Bonnaire, l'autre par le présent de moments de vie au foyer) montre combien un individu peut être broyé par un système de prise en charge défaillant. Cette dénonciation est renforcée par celle de la dramatique pénurie de centres spécialisés qui soient de véritabless lieux de vie pour des adultes en souffrance.

Résumé : René Vautier a 21 ans lorsqu'il part en AOF (l'Afrique Occidentale Française) pour tourner un film documentaire sur la vie réelle des paysans. Le film était destiné à être projeté dans les lycées et collèges de France. . "Je suis parti pour la Ligue de l'enseignement, où certains avaient senti la nécessité d'apporter des images neuves venant d'Afrique après le discours de De Gaulle : « La France se donne pour tâche d'amener les populations dont elle s'occupe à se gérer elles-mêmes ». On se disait : « Il faut voir. » Je suis parti, pas plus anticolonialiste que ça, et c'est là-bas, voyant les choses et discutant avec les gens que, sympathisant à leurs côtés au vieux sens grec "souffrir avec", je m'apercevais qu'effectivement le gars ne pouvaient pas me donner grand-chose, n'ayant eux-mêmes pas de quoi manger. Là, se fait la cassure avec ceux qui vis à vis des autres sont des nantis. Ils vous apparaissent de l'autre côté d'une barrière que vous avez franchie. Et vous êtes avec d'autres, qui s'accrochent aussi à vous pour vous dire "parles en notre nom ; fais-nous connaître". Une confiance à ne pas trahir, qui fait aussi la joie de vivre. Effectivement, autour de tous ces ennuis avec Afrique 50, j'ai vécu dans la joie", raconte Vautier. Le film sera censuré de 1950 à 1990 mais sera diffusé de manière illégale par des associations.

Résumé : "Aujourd'hui, à travers l'exemple de Sylt, je veux parler de cette terre que nous habitons tous, que nous transformons et parfois détruisons. Interroger notre devoir de culture envers la terre. Demander comment on peut préserver la nature sans la dénaturer, puisque la laisser vivre, c'est aussi peut-être la laisser mourir ? " Tel est le projet de Samuel Bester qui nous convie à faire le voyage vers Sylt, la plus septentrionale des îles d'Allemagne, rattachée à la terre depuis 1927 par une digue portant une voie ferrée, Sylt à la fois endroit de luxe pour touristes avides de nature et terre menacée de disparition car la mer du Nord, ses redoutables marées et ses tempêtes féroces la régissent et la façonnent. Quel présent et quel devenir pour cette île ? Divers intervenants (ingénieur, berger, guide du parc naturel,...) donneront leur point de vue et leur manière d'envisager la sauvegarde de ce patrimoine naturel (un des protagonistes dit même avec un brin d'amertume que Sylt est devenu un musée) dont le temps est compté, dont la mort, la disparition progressive sous les eaux semble programmée malgré les digues, magré le ré-ensablage. Sylt est un carrefour entre la puissance de l'océan et du vent et le désir de nature de ceux qui y vivent ou y viennent. Elle questionne notre rapport aux espaces menacés, elle nous ramène à notre précarité face à la réalité physique d'une nature complexe et exceptionnelle.

Contenu : Feeling. Fireflies. Nun. Sight seer. Sirens. Charger. Flying wig. Twin. May. The party

Résumé : "...la machine est l'étrangère ; c'est l'étrangère en laquelle est enfermé l'humain, méconnu, matérialisé, asservi, mais restant pourtant l'humain. " Il n'existe pas d'images de Gilbert Simondon, c'est pourquoi se film recueille la parole de Giovanni Carrozzini, biographe et traducteur en italien de G. Simondon ; Jean-Hugues Barthélémy, philosophe, directeur des Cahiers Simondon ; Jean Clottes, préhistorien, conservateur général honoraire du Patrimoine ; Gilbert Hottois, professeur émérite de philosophie à l’Université Libre de Bruxelles, membre de l’Académie Royale de Belgique ; Arne De Boever, California Institute of the Arts, traducteur en anglais de Gilbert Simondon ; Dominique Lecourt, philosophe, directeur général de l’Institut Diderot ; Anne Fagot-Largeault, philosophe, médecin psychiatre, professeur du Collège de France, membre de l’Académie des sciences. " Gilbert Simondon (1924-1989), philosophe français aussi mystérieux qu’important, est de ceux qui, selon la formule, "ont eu tort d’avoir raison trop tôt". Penseur de la technique et du devenir, il a créé dans les années 1960 des concepts pour dire notre monde. Son langage résonne avec les plus utopiques des propositions contemporaines en faveur d’un nouveau pacte entre nature et technologie. Lu à son époque par quelques proches seulement, dont Gilles Deleuze, il est désormais traduit à travers le monde. Comme personne, il apparaît seul, fragile, toujours au bord de la rupture, mais aussi attachant et intègre. De Lecce à Brest, du CERN de Genève aux grottes préhistoriques du Mas d’Azil, du Collège de France aux moulins des Flandres, des penseurs racontent comment leur parcours a été transformé par leur rencontre de Simondon. Vies et théories se nouent pour dire la singularité d’une démarche. En filigrane, une question revient, obsédante : quelles sont les raisons qui ont pu masquer à ce point une œuvre aussi magistrale dont la pertinence et l’humanité nous éclairent aujourd’hui ?" (Source Editeur)

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