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Résumé : A bientôt, j'espère: en mars 1967 à Besançon,une grève sans précédent éclata à la Rhodiacetta, usine de textiles dépendant du trust Rhone-Poulenc. Cette grève a favorisé la réflexion des travailleurs sur leur identité et sur la nature de leur lutte. Un avant-goût des grandes luttes de 1968. Les films suivants témoignent de l'existence de ces mêmes préoccupations chez les ouvriers et ouvrières d'autres usines de la région, les années suivantes. "Le Traîneau échelle" est la création cinématographique d'un de ces ouvriers, en 1971.

Résumé : A côté de la plupart des prisons françaises, il existe, avant et après le parloir, un lieu d'accueil pour les familles de détenus venues rendre visite à leur proche incarcéré. Mais même dans ce lieu d'attente, sorte de sas entre le dehors et le dedans, les règles de la prison sont souveraines et exacerbent les frustrations, les haines et les passions. La réalisatrice a tourné ce film en 2007, dans la petite maison de l'association Ti-Tomm, accolée au mur de la prison pour hommes de Rennes.

Résumé : Dernier film de la célèbre trilogie "Turkana Conversations" entamée en 1973, "Une Femme parmi les femmes" s'attache à comprendre comment les Turkana -éleveurs semi-nomades relativement encore isolés du nord-Ouest du Kenya, en 1981 - et en particulier les femmes Turkana-, voient le mariage. Le film mêle des conversations avec plusieurs femmes exceptionnelles, et les préparatifs d'un mariage dans le voisinage. Elles analysent avec perspicacité leur mode de vie et en donnent à voir un tableau complexe.Elles expliquent comment la polygamie est à la fois source de solidarité entre les femmes et mépris total des sentiments des individus.Tout en discutant des contradictions de leur propre culture, les Turkana sont bien conscients de leurs différences avec les cinéastes et n'hésitent pas, souvent avec un humour délicieux, à les renvoyer à eux-mêmes.

Résumé : Durant l'intervention soviétique en Afghanistan (1979-1989), Amir, musicien originaire de Hérat, a dû se réfugier au Pakistan. Entre 1973 et 1977, John Baily , le réalisateur, mène une enquête de terrain ethnomusicologique sur les musiques urbaines d'Afghanistan, en particulier à Hérat. En 1985, il se rend à Peshawar (Pakistan) pour filmer les musiciens afghans réfugiés et retrouve son vieil ami Amir. Le film dépeint la vie d'Amir en tant que réfugié, mais aussi sa vie de musicien professionnel. Les réfugiés afghans expriment leurs aspirations à travers des chansons politiques qui ont pour thème la guerre civile en Afghanistan, l'exil, le nationalisme et la révolution islamique.

Résumé : A Paris, rue de Lappe près de la place de la Bastille, le réalisateur découvre, en 1984, la vie dans les cafés populaires où se côtoient toutes les générations et immigrations, les histoires d'amour et de solitude.

Résumé : Tout à la fois histoire de l'Arbre et des arbres et évocation des similitudes et des différences entre l'Arbre et l'Homme, le film est un voyage aux origines et à travers le monde (Madagascar, Namibie, Californie, Europe) à la rencontre poétique des arbres, ces personnages extraordinaires nommés baobab, séquoia, platane mais aussi arbre étrangleur, arbre qui marche, arbre fou...

Résumé : Aymeric a trois ans et demi lorsque ses parents, Lydie et Marc, apprennet qu'il est atteint d'autisme sévère. On dit à Lydie et à Marc qu'il faut faire le deuil de leur enfant, qu'Aymeric ne parlera jamais, n'ira pas à l'école et ne vivra pas parmi les autres. Malgré ce terrible diagnostic Lydie et Marc luttent, s'informent et se forment aux thérapies comportementales importées des Etats-Unis et du Canada, comme le PECS, le TEACCH, l'ABA. Ils filment leur enfant. Huit ans d'archives, soit une matière exceptionnelle, nous permettent de suivre les progrès et les apprentissages d'Aymeric qui à dix ans, parle, écrit, est scolarisé en CM1 dans une école ordinaire. L'espoir est là, dans tout ce travail accompli au long des années malgré les difficultés. Le film s'attache à montrer que l'autisme qui toucherait un enfant sur 150 n'est pas une maladie mais un handicap dont on ne guérit pas. Par ailleurs la France est très en retard en ce qui concerne les thérapies comportementales sur lesquelles reposent les apprentissages qui améliorent la qualité de vie des autistes et peuvent réduire leurs troubles du comportement. Le parcours d'Aymeric est exemplaire. Pour décrire à la fois les difficultés et les raisons d'espérer, pédopsychiatres, psychologues, parents d'enfant et d'adulte autistes témoignent..

Résumé : Louis-Ferdinand Céline est un mythe. On ne compte plus les biographies, essais critiques et même fictions qui lui sont consacrés. Mais il existe fort peu de documents où Céline s'exprime directement. Voici rassemblés pour la première fois les entretiens qu'il a donnés à la télévision française. Ainsi que la lecture, inédite, d'un passage de "Nord" par Céline lui-même. "Lectures pour tous" : à l'occasion de la parution de "D'un château l'autre", Pierre Dumayet procède, dans les studios de la RTF, à la première interview télévisée de Céline (17 juillet 1957). "Voyons un peu" : en 1953, grâce à Marcel Aymé qui l'introduit à Meudon, André Parinaud obtient et publie (numéro 1 de "La Parisienne", janvier 1953) le premier entretien accordé par Céline à son retour d'exil, et en octobre 1958, il réalise un second entretien filmé par Alexandre Tarta. "En français dans le texte" : le 13 décembre 1949, Louis Pauwels publie un article sur Céline dans "Carrefour", et les deux hommes entrent alors en relation. En 1959, à Meudon, avec André Brissaud et le réalisateur Lazare Iglesis, il interviewe Céline pour la première chaîne de télévision. L'émission fut censurée après intervention du M.R.A.P. et d'une association des Anciens Combattants de la Résistance, et fut intégralement diffusée en 1987 sur la chaîne ARTE. "Céline au travail" : Céline, qui dicte à sa secrétaire Marie Canavaggia un extrait de "Nord", aurait été enregistré à Meudon par Renée, la sœur de cette dernière. Ce passage correspond aux pages 237-238 de l'édition originale de 1960 parue chez Gallimard.

Résumé : "En marge du prix Goncourt 1932" : Lucien Descaves (1861-1949), est écrivain et membre fondateur de la première académie Goncourt. En 1932, lorsque, à la suite d'une manœuvre, le prix promis à Céline pour "Voyage au bout de la nuit" échoit aux "Loups" de Guy Mazeline, il quitte avec fracas le jury. "Témoignage d'Elisabeth Cray" : Elisabeth Cray (1902-1989), dédicataire de "Voyage au bout de la nuit", fut sans doute la seule femme jamais aimée par Céline. Elle répond en 1988 aux questions de l'universitaire Jean Monnier. "D'un Céline l'autre" : avec les témoignages de Lucette Destouches, Marcel Brochard, Serge Perrault, Dominique de Roux, Jean Guénot, René Barjavel, l'acteur Jean Bonvilliers, le docteur Willemin, Michel Simon, Maître François Gibault, Gen Paul et Michel Audiard.

Résumé : Ce film est issu du programme "The Yirrkala Film Project", une série de 22 films documentaires réalisés par Ian Dunlop sur une période de trente ans, avec les Yolgus, peuple aborigène du nord-est de la terre d'Arnhem (Australie). Il révèle les luttes d'un homme face aux changements extrêmes induits par l'exploitation une mine de bauxite sur le territoire de ses ancêtres, par la création d'une ville minière et l'arrivée de l'alcool apporté par les Blancs.

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