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Contenu : Voir le jour. Femme endormie. Au fil de l'eau. Réminiscences. Dans la chambre obscure. Norma. La plage du passé. La maison de naissance. Manifestation. Gus. Ombres chinoises. Danser la vie. Chemin. En paix. Confidences. Embruns. Une mère, sa fille. Sauver des vies. Luna de oriente / Rona Hartner, chant ; Bartholo Claveria, guitare. Mon air c'est de l'eau

Résumé : Portrait du poète francophone et homme d'État sénégalais Léopold Sédar Senghor réalisé à l'occasion du centenaire de sa naissance. Le film se présente comme un récit biographique et raconte, par un tissage d'archives filmées et photographiées de lieux, de scènes et de personnages rencontrés aujourd'hui, le combat de Léopold Sédar Senghor, chantre inspiré de la négritude : sa naissance et son enfance à Joal, petite ville du pays Sérère, au bord de l'Atlantique, sa scolarité au collège Libermann de Dakar, puis ses années d'études universitaires à Paris, où en 1935, il est reçu à l'agrégation de grammaire. En février 1940, il est affecté dans un régiment d'infanterie coloniale, fait prisonnier au mois de juin de la même année, puis libéré en 1942 pour raison de santé. En 1945, il est élu député des campagnes sénégalaises. Il publie "Femme nue, femme noire" qui va devenir une sorte d'hymne de la négritude. En septembre1960, Senghor est élu président de la République du Sénégal. Il le demeurera pendant vingt ans jusqu'à ce qu'il quitte volontairement le pouvoir pour laisser sa place à Abdou Diouf. Il s'installe alors en Basse-Normandie : l'homme de pouvoir s'est effacé derrière le bureau du poète. Tout au long de ce parcours, et qui le jalonnera, les témoignages et les hommages d'artistes et d'écrivains qui l'ont connu, aimé et soutenu dans son combat. Tel le poète mauricien Edouard Maunick : "La négritude, c'est le retour à l'aube de l'homme, à l'initial de ce qu'il est". Ou Doudou Ndiaye Rose, virtuose de la percussion Sabar : "Pour être nègre, il faut aimer notre patrimoine er notre culture". Ou encore Amadou Lamine Sall, fondateur de la Maison africaine de la Poésie Internationale et l'un des plus importants poètes de l'Afrique francophone contemporaine. Quant à la jeune génération, elle aussi admiratrice du grand poète, elle sera représentée par sculpteur sénégalais Ndary Lo, le danseur Papa Sy et le chanteur Maïssa M'Baye. Visionnaire, Senghor aura exprimé mieux que personne les vertus du métissage, la vocation des cultures à s'interpénétrer et à s'enrichir les unes les autres.

Résumé : Six mois durant le réalisateur a suivi trois sages-femmes à Genève en Suisse, Sarah, Natalie et Odile, dans les relations privilégiées qu'elles instaurent avec les couples qui ont décidé d'un suivi différent pendant la grossesse, l'accouchement et le post-partum. Cette importance accordée à la sage-femme va de pair avec un accompagnement de la naissance moins médicalisé pour des femmes dont la grossesse ne présente rien de pathologique . L'accouchement cependant se fait avec la sage-femme en milieu hospitalier et le retour à la maison le plus rapidement possible.

Résumé : C'est l'histoire d'un enfant différent, toujours allongé, aux yeux noirs qui flottent, un enfant inadapté qui trace une frontière invisible entre sa famille et les autres. C'est l'histoire de sa place dans la maison cévenole où il naît, au milieu de la nature puissante ; de sa place dans la fratrie et dans les enfances bouleversées. Celle de l'aîné, qui, dans sa relation fusionnelle avec l'enfant, s'abandonne et se perd. Celle de la cadette, dans la colère et le dégoût de celui qui a détruit l'équilibre. Celle du petit dernier qui a la charge de réparer, tout en vivant escorté d'un frère fantôme. Comme dans un conte, les pierres de la cour témoignent. Comme dans les contes, la force vient des enfants, de l'aîné qui aime follement, de la cadette révoltée. Du dernier qui saura réconcilier les histoires. La naissance d'un enfant handicapé racontée par sa fratrie. Ce roman magnifique et lumineux sonne juste.

Résumé : Avant d'être un film d'images, c'est un film de voix, une polyphonie. Voix anonymes qui s'entrelacent, se superposent, se répondent et se contredisent. Plongée dans le corps de la ville, éclats de vie saisis dans les rues ou à travers les murs, lente errance entre les strates secrètes d'un quartier.Entre 2006 et 2010, Till Roeskens a filmé les transformations en cours dans le quartier de La Joliette à Marseille, situé près du port : progressivement, des pâtés de maison anciens disparaissent pour donner naissance au quartier "Euroméditerranée". Missionné par le Fonds régional d'art contemporain qui va s'installer là, le réalisateur prend le temps de brasser les paroles des anciens habitants expropriés, des nouveaux résidents, des commerçants, des acteurs du projet d'urbanisme. Ce film est une étude de cas exemplaire de la violence douce des transformations urbaines.

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