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Résumé : Une étude de la villa Cavrois de 1925 à 2001 qui situe le contexte local de la commande, l'histoire de la conception et de l'édification, le processus de patrimonalisation et ses aléas politico-administratifs.

Résumé : Cet ouvrage retrace les points forts de la carrière de l'architecte R. Mallet-Stevens (1886-1945), notamment sur la construction de la Villa Cavrois à Croix, classée aux Monuments historiques depuis 1990. ©Electre 2014

Résumé : Une présentation à partir de documents inédits des années de formation de l'architecte français, de ses débuts à Bruxelles où il devint le disciple de Josef Hoffmann après avoir été converti à l'art graphique sévère de la Sécession viennoise, jusqu'à la construction de la villa des Noailles à Hyères en 1923, en passant par ses projets pour d'illustres couturiers ainsi que pour le cinéma à Paris. ©Electre 2016

Résumé : Résumé en 4ème de couverture: "Voici rassemblés pour la première fois tous les articles de Rob Mallet-Stevens écrits entre sa sortie de l'Ecole Spéciale d'Architecture à Paris en 1906 et le début de la guerre, fin juillet 1914. Le jeune architecte commence par écrire dans une revue anglaise, puis dans des publications belges, françaises et autrichiennes. Ses premiers articles sont des reportages sur des édifices parisiens et des comptes rendus des salons d'art. Puis, il s'attache à l'architecture traditionnelle japonaise et à l'art théâtral et à son évolution jusqu'aux créations d'avant-garde des Ballets russes et du Théâtre des Arts de Jacques Rouché. La maison-palais de sa tante, Suzanne Stevens-Stoclet, édifiée de 1905 à 1911, à Bruxelles sur les plans de l'architecte autrichien Josef Hoffmann avec la collaboration de Gustav Klimt et de la Wiener Werkstätte, l'introduit dans l'univers de la Sécession dont il devient le prosélyte. Mais bientôt les rumeurs de guerre l'incitent à prendre ses distances avec ce qu'on appelle en France "le goût munichois". Il apprécie alors les lignes simples du style Directoire et ses couleurs vives. Ses articles dans Comoedia illustré le font entrer dans le cercle de la mode où il côtoie des créateurs illustres dont certains deviendront ses clients: Jeanne Paquin, Jacques Doucet, Paul Poiret... A travers ses écrits de jeunesse on découvre un plumitif prolixe, cosmopolite et doté d'un oeil critique dans la lignée de ses illustres ascendants, les frères Stevens et sa grand-mère l'écrivain Jeanne Thilda dont le salon parisien a marqué les lettres françaises."

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