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Résumé : Monographie consacrée aux natures mortes réalisées par le peintre cubiste français durant l'entre-deux-guerres. La spécialiste analyse la technique et les matériaux employés par l'artiste, puis replace ces oeuvres dans leur contexte esthétique, historique et social.. Edition française du catalogue de l'exposition "Georges Braque and the Cubist Still Life (1928-1945)" présentée aux Etats-Unis en 2013, à la Philipps Collection (Washington, D.C.) et au Mildred Lane Kemper Art Museum, Washington University (Saint Louis, Missouri).

Résumé : MAD a été fondée à Pékin en 2004 par l'architecte Ma Yansong. L'agence conçoit des architectures organiques et oniriques qui évoquent - on pourrait dire invoquent - le lien spirituel et émotionnel de l'homme avec la nature, le ciel et la terre. Une architecture de fiction, voire d'anticipation, où nature et architecture se confondent. Le Centre Pompidou (Mnam-Cci), a acquis, en 2018, pour ses collections permanentes, un ensemble de maquettes représentant les projets les plus significatifs de l'agence, de 2005 à aujourd'hui. À l'occasion de la présentation de ces œuvres dans les collections du Centre Pompidou MAD Architects publie aux Éditions HYX, MAD X - 10 projects by MAD Architects.Ce livre imaginé et conçu par Ma Yansong, propose un "parcours" parmi les projets les plus significatifs de l'agence, à travers des photomontages, des dessins, des maquettes, des photographies. Sont présentés notamment : le premier projet international de l'agence construit au Canada, les "Absolute Towers" (2006-2012) - également connues à Toronto sous le nom de "Marilyn Monroe Towers"- ; le "Harbin Opera House" (2010-2015) et le "Chaoyang Park Plaza" (2012-2017) en Chine ; la "Clover House" (2012-2016) au Japon ; le "Lucas Museum of Narrative Art" aux Etats-Unis (2016-2021) ; et "UNIC ", le premier projet, réalisé en France, qui sera livré à Paris en 2019. Une contribution de Frédéric Migayrou permet de découvrir et de mettre en perspective les enjeux esthétique et philosophique de cette architecture naturalisée. Un portrait de Ma Yasong par Frédéric Edelmann introduit les projets présentés.Si le chiffre romain " X " symbolise les dix projets emblématiques de l'agence, il revêt aussi, pour Ma Yansong, une toute autre signification. L'inconnu et une passion pour l'exploration de nouveaux territoires. Comment imaginer la ville du futur? Dans son travail, MAD Architects s'efforce de créer un équilibre entre l'être humain, la ville et l'environnement, avec une attention particulière aux besoins spirituels et émotionnels des habitants, à leur connexion avec la nature.

Résumé : Contributions d'un colloque (2011) mettant en relief la complexité des voix qui sous-tendent l'élaboration des étiquettes qui ont marqué l'histoire de l'art contemporain. L'ouvrage aborde également le système de l'art et tente de trouver les liens entre la critique d'art, la diffusion, la présentation, l'institutionnalisation et la patrimonialisation des oeuvres et l'historiographie.. « École », « mouvement », « avant-garde » ou autres « ismes »: l'historien d'art contemporain se réfère constamment à des catégories qui, loin d’être neutres, sont porteuses de discours. L’historicisation des « courants », tels que l’expressionnisme abstrait, l’art minimal, le Body-Art, le néo-expressionnisme ou encore le néo-dada, peut laisser entendre une forme de reconduction du projet des avant-gardes historiques. Mais leur statut ambigu – un courant recouvre-t-il un style, une période, un projet esthétique, un label ou une technique de marketing? – est symptomatique de la mutation profonde, depuis les années 1960, du fonctionnement du système artistique (marché, institution, critique), tout comme de la nature des intentions créatrices. Ce phénomène d’historicisation des pratiques sous forme de courants se poursuit sur les deux dernières décennies du XXe siècle (avec Esthétique relationnelle, les Young British Artists, le bio-art…), tandis que de très nombreux groupes, collectifs, coopératives ou entreprises continuent d’apparaître sur la scène artistique. À l’inverse des étiquettes mentionnées précédemment, leurs noms signalent un projet ou une intention commune – de l’Internationale situationniste et du groupe ZERO à Présence Panchounette, des Yes Men à Société Réaliste –, sans nécessairement suggérer l’élaboration d’une nouvelle esthétique. Si ces configurations, en tant qu’identités collectives arbitraires et autodéterminées, semblent également s’inscrire dans le legs politique des avant-gardes, elles le redéfinissent radicalement. Dépassant le simple constat de ce double héritage, paradoxal, du phénomène avant-gardiste, les études rassemblées dans cet ouvrage proposent de réfléchir aux stratégies de dénomination adoptées par les différents acteurs du monde de l’art, aux divers types de coalition définis ou revendiqués par les artistes, enfin aux pratiques artistiques que celles-ci recouvrent. (Présentation éditeur)

Résumé : Louis Cane / Marc Devade / André-Pierre Arnal / Jean-Pierre Pincemin / Claude Viallat / Vincent Bioulès / Daniel Dezeuze / Bernard Pagès. Le mouvement Support-Surface est souvent présenté comme « la dernière avant-garde » de la scène française, en raison d’une pratique radicale et expérimentale de la peinture, d’un important travail théorique, et de prises de position polémiques. Ses nombreuses manifestations au début des années 1970, dans des musées mais aussi en pleine nature, font apparaître Support-Surface – qui n’a jamais été un groupe fi xe, mais a plutôt suscité des affi liations, des compagnonnages – comme exemplaire d’un moment charnière. À travers l’évolution de ceux qui participèrent depuis une abstraction minimaliste et déconstructive, jusqu’à, pour certains, le retour à la figuration ou à une esthétique baroque, c’est toute la transformation de l’art de ces dernières décennies qui s’appréhende ainsi, de façon pertinente.Ce qu’ont bien compris de nombreux spécialistes et des institutions qui de plus en plus, de part et d’autre de l’Atlantique, se penchent sur sa contribution à l’histoire de l’art du 20e siècle.

Résumé : Le dessin aux confins de l'abstraction : première monographie, pensée comme un livre d'artiste, réalisée en étroite collaboration avec Léa Belooussovitch, au plus près de l'esthétique de ses dessins sur feutre. Cette publication rend compte de l'approche singulière du dessin de Léa Belooussovitch à travers une sélection d'œuvres réalisées à main levée et au crayon de couleur sur du feutre textile blanc. L'artiste réinterprète selon un long processus, des photographies de nature violente issues des médias. Cette démarche confère un nouveau souffle à ces photographies, en faisant ressortir la part d'humanité qu'il y reste. Les dessins de Léa Belooussovitch répondent à un même protocole. Elle commence par sélectionner dans la presse ou sur Internet des images qui nous assaillent quotidiennement, liées à des faits d'actualités dramatiques : attentats au Pakistan, scènes de guerre en Syrie... L'artiste se concentre sur la représentation de victimes anonymes blessées ou vulnérables. Léa Belooussovitch soumet ces images-sources à diverses manipulations (recadrage, agrandissement) avant d'entamer leur transfert sur le support du feutre. Ce travail lent et répétitif d'accumulation des traits du crayon de couleur altère l'aspect lisse de la matière et lui confère un volume duveteux.

Résumé : Se confronter à un paysage-catastrophe, c'est interroger notre relation à l'histoire et à la mémoire des lieux à l'épreuve des guerres et des massacres : comment un paysage d'après conflit peut-il offrir une visibilité à l'histoire ? Si la nature est elle-même meurtrie par un passé violent, comment témoigner de l'après coup des paysages ? Que reste-t-il de ces traces mémorielles dans notre présent politique ? Cet ouvrage rassemble des œuvres et des contributions scientifiques issues de colloques, d'expositions et d'ateliers-laboratoires, qui se sont tenus en France et au Cambodge. Artistes et théoriciens partagent ici leurs réflexions sur la représentation du paysage à travers l'esthétique, la littérature, l'histoire, l'anthropologie et la science politique. Leurs « paysages » établissent ainsi une cartographie de la mémoire où ce qui compte tient autant à ce que l'on voit qu'à ce qui se dissimule ou qui a disparu, volontairement effacé ou laminé par le temps. Le livre invite à « écouter » le paysage, à être attentif à ses forces invisibles, à ne pas seulement le considérer comme une image lointaine, mais à pénétrer ses couches mémorielles, à travers lesquelles se dessine un passé qui ne cesse de nous hanter

Résumé : Naturel, renouvelable, réutilisable et esthétique, le bois est le matériau de construction par excellence. Grâce à des avancées incroyables en matière d'application et de durabilité, il est utilisé dans le monde entier pour créer des styles nouveauxet surprenants. Cette enquête mondiale présente un large éventail de constructions du XXIe siècle dans des espaces résidentiels, publics, culturels, éducatifs et commerciaux. Du Centre du patrimoine mondial du Mont Fuji à Shizuoka, au Japon, à la mairie d'Eystur dans les îles Féroé, en passant par le Collège de foresterie de l'Université d'État de l'Oregon,chaque bâtiment est présenté sur deux pages avec de nombreuses images permettant d'apprécier les qualités incroyabledu bois dans différents contextes et applications.

Résumé : Sylvain Romieu Description de l'ouvrage Dans ce deuxième volume consacré aux jeux passionnants que sont les Souls et Bloodborne, nous vous invitons à poursuivre l'exploration de leurs histoires cryptiques, à approfondir l'étude de leurs approches esthétiques et de leur philosophie ludique. Bloodborne et Dark Souls III sont à la fois différents et complémentaires. Ce qu'ils nous révèlent des créations de From Software, de la démarche de Miyazaki, mais aussi du marché du jeu vidéo et de la nature du médium se montre des plus enrichissant. Alors que nous pensions avoir fait le tour du sujet dans le premier volume, ces deux jeux supplémentaires ont ouvert de nouvelles pistes de réflexion. Les coulisses des développements, l'analyse des scénarios, les thématiques et les bandes-son de chaque jeu seront traitées dans cet ouvrage. Une dernière partie sera consacrée quant à elle au décryptage des deux titres, à la fois au regard de la série et sous l'angle de sujets transversaux n'ayant pas été abordés dans le premier volume, des influences esthétiques au marketing, en passant par des mises en perspective sur l'évolution des jeux.

Résumé : Les journaux de la vie littéraire participent de la grande entreprise biographique du XIX°siècle qui a voulu faire vivre la littérature au quotidien en l'incarnant dans des auteurs de chair, personnages de plus en plus médiatisés à un moment où le champ littéraire gagnait en autonomie. Les Goncourt créent une forme nouvelle, héritière des mémoires, en écrivant leur fameux journal qui allait susciter tant de vocations de diaristes chez les hôtes du Grenier. Désormais la vie littéraire se reflète dans le kaléidoscope des journaux qui évoquent cénacles et réseaux avec leurs rites et leurs conversations, et qui croquent les portraits des grands et petits artistes contemporains. Les journaux d'une époque tissent entre eux de constantes, subtiles et passionnantes correspondances. Ce volume les fait se répondre, nous faisant entendre les voix alternées des Goncourt, de Rosny, Descaves, Primoli, Régnier, Matthieu Galey et Brenner. Les journaux prennent des formes plus ou moins abouties : cahiers, simples carnets de notes, journaux qui cultivent le style naturel ou l'écriture artiste. A côté des journaux devenus des classiques, nombre de témoignages essentiels restent encore à l'état de manuscrits. Cet ouvrage a voulu présenter plusieurs de ces grands textes non publiés et en donner des extraits significatifs : journaux de Descaves, de Rosny, de Maury, de Primoli, de Romain Rolland. L'étude de ces vastes corpus permet de dégager une poétique du journal de la vie littéraire. Ces oeuvres ont manifestement un intérêt esthétique qui ne doit pas faire oublier leur valeur documentaire pour des historiens de la littérature ou des représentations. Témoignage sur la vie littéraire, le journal est aussi une fantasmagorie, où réapparaissent les acteurs d'un monde disparu refaçonné par un diariste démiurge au gré de ses fantasmes.

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