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Résumé : Cet essai contient les conclusions et la philosophie que Gunnar Myrdal a tirées des enquêtes qu'il a dirigées dans le Tiers Monde (elles ont été publiées dans Asian drama en 1968). Cette analyse lucide et précise prend souvent l'allure d'un réquisitoire. Pour la première fois un économiste progressiste ose dire aux sous-développés de prendre leur destin en main et il fait en même temps le procès des technocrates occidentaux. L'étude s'achève par le catalogue des réformes indispensables dans le domaine de l'agriculture, de la démographie, de l'éducation et aussi dans l'état d'esprit nécessaire à l'affrontement de ces problèmes.

Résumé : Ce n’est plus d’une crise que les économies occidentales sont victimes, mais de la crise. Le chômage et l’inflation, considérés naguère comme antidotes l’un de l’autre, cumulent dramatiquement leurs effets. Quelle est la cause de ces maux ? Le mauvais sort ? La fin des ressources du monde ? Non, il s’agit d’un contresens fondamental, d’un refus de créer, d’un refus de voir, et même de penser. Tournant le dos à la création de richesses, refusant aussi la création d’hommes pour survivre, les Européens et notamment les Français en sont venus à considérer l’emploi, le travail, comme un but en soi, alors qu’il n’est que le moyen. Recherchant éperdument l’improductivité, après avoir chanté pendant deux siècles les mérites de l’efficience et en avoir bénéficié, ils sont tout étonnés de trouver comme résultat la pauvreté. C’est l’économie du diable. Des solutions réalistes, fondées sur un examen approfondi de la situation actuelle en fonction de l’avenir, l’auteur de Croissance zéro ? et de la Fin des riches en suggère plusieurs dans ce nouvel et brillant ouvrage. Pour éviter la pauvreté et le recul économique, il faut, dit-il, donner toutes ses chances à la production de richesses, abandonner les pratiques malthusiennes, cesser d’encourager l’improductivité, et modifier l’enseignement afin de réduire les écarts tragiques entre les besoins des hommes et leur formation. Il faut par-dessus tout combattre le vieillissement sous toutes ses formes. L’Europe aspire, en fait, à la retraite. Mais à la différence des personnes, un pays peut revenir à la jeunesse.

Résumé : Une étude de la fondation du 20e siècle. ©Electre

Résumé : Qu'est-ce qu'un pauvre? Un homme qui n'a pas d'argent ou ne gagne point sa vie. Qu'est-ce qu'une nation pauvre? Un pays dont la production n'est ni abondante ni diversifiée. La réponse est trop simple ; elle prend parfois des allures savantes, mais elle n'est, en réalité, qu'une tautologie et parfois une erreur. La pauvreté des individus et des peuples révèle un manque de pouvoir, une position défavorisée dans le jeu des échanges sociaux ou internationaux. La pauvreté ne s'analyse pas seulement en termes d'économie ; elle est surtout marginalité et dépendance.

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