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Résumé : Le film s'ouvre sur le colloque tenu en 2004 à l'UNESCO sur le cancer et l'environnement où des sommités du monde scientifique dénoncèrent les effets mortels de la pollution chimique en particulier dans l'agriculture. En contrepoint c'est dans les Cevennes, à Barjac, village du Gard que la camera va séjourner pendant une année pour montrer comment réagir dans la vie quotidienne et au niveau d'une collectivité. Ce qui fédère et les différentes séquences du film et les habitants est l'introduction en 2006 de la cantine bio dans les écoles( sans augmentation de prix) et de repas bio via une cuisine centrale chez certains particuliers : les personnes âgées. Dès lors avec ce fil rouge le réalisateur peut aller à la rencontre des différents acteurs locaux, enfants, parents, enseignants, agriculteurs (bio ou conventionnels), médecins, scientifiques, chercheurs. Le film se fait alors et la voix et l'écho de la prise de conscience de la nécessité du recours à l'agriculture bio pour enrayer l'empoissonnement des populations par les pesticides (76 000 tonnes déversées chaque année sur le sol français) directement mis en cause dans le développement de certains cancers et de troubles neurologiques entres autres. Se côtoient dans le film enthousiasme des enfants qui vivent l'expérience bio (aménagement et entretien d'un petit potager), échanges avec les villageois, allers-retours Barjac/ conférence de l'Unesco, témoignages parfois tragiques de parents d'enfants victimes et de personnes atteintes dans leur famille.

Contenu : Livres électroniques. Une collection en développement, à visiter régulièrement pour découvrir les nouveautés.

Résumé : Un hiver au cœur d’un hébergement d’urgence pour sans-abri à Lausanne. A la porte de ce souterrain méconnu se déroule chaque soir le même rituel d’entrée qui donne lieu à des bousculades parfois violentes. Le personnel a la lourde tâche de trier les pauvres : femmes et enfants d’abord, hommes ensuite – de tous horizons, et de plus en plus d’Europe… Alors que la capacité totale de l’abri est de cent places, seuls cinquante élus seront admis à l’intérieur et auront droit à un repas chaud et à un lit. Les autres savent que la nuit va être longue.

Résumé : Ce film nous plonge dans la vie d'un hôpital de pédopsychiatrie, au sein d'un groupe d'enfants présentant des troubles mentaux. Sans a priori, sans regard polémique non plus, nous partageons le travail inlassable, titanesque et profondément humain qui s'accomplit au jour le jour par les soignants et les éducateurs. Nous partons à la rencontre de personnes au destin hors du commun qui luttent au quotidien pour le bien-être des plus démunis. Le documentaire témoigne des joies et des douleurs de ces enfants malades et des défis de l'équipe médicale qui les accompagne.La Porte d’Anna nous invite dans le quotidien d’un hôpital de pédopsychiatrie, «La Fondation Vallée» à Gentilly, au sein d’un groupe d’enfants présentant des troubles mentaux. Nous poussons la porte du Pavillon Anna, du nom de la fille de Sigmund Freud, pour entrer dans un monde dans lequel les règles élémentaires de la communication sont chamboulées par des souffrances psychiques parfois situées aux confins du supportable. Mais grâce à la créativité des soignants et à la confiance que les jeunes leur accordent, la vie renaît, la parole se trouve, le partage peut exister...Sans a priori, sans regard polémique sur l’autisme, le documentaire salue le travail inlassable, titanesque et profondément humain qu’accomplissent au jour le jour les soignants et les éducateurs.Le film témoigne des joies et des douleurs de ces enfants malades et des défis de l’équipe médicale qui les accompagne. [Source : jaquette]

Résumé : En Sibérie, Yulia et Katia ont été transférées de l’orphelinat à l’internat neuropsychiatrique et ont été privées de tous leurs droits de citoyennes : pas de liberté, pas de travail, pas de famille.

Résumé : Le portrait d'un prêtre éducateur, Guy Gilbert, connu des médias pour avoir consacré sa vie aux délinquants... Sans misérabilisme, ni voyeurisme, nous suivons son combat quotidien pour ces jeunes en région parisienne : conférences, émission de radio, visites à la prison, accueil dans son QG...

Résumé : "De tout temps, les hommes se sont infligés les uns les autres des violences destructrices, individuelles ou de masse. Quand elle n'y perd pas la vie, chaque victime en est profondément traumatisée. Lorsqu'il est possible d'y recourir s'engage alors parfois une thérapie où chacun va tenter de comprendre, de surmonter cette violence qui est entrée en lui avec fracas... La violence extrême intentionnelle ou organisée provoque des effets qui vont au-delà de l'effroi et de la douleur. Les repères qui soutenaient jusque-là l'individu sont détruits, les fondements de l'humanité même sont touchés". Le film suit le travail de thérapeutes qui, face à des victimes et des agressions très diverses se retrouvent confrontés au visage universel du traumatisme. Ainsi assistons-nous à quelques moments des séances de musicothérapie de Mya, 14 ans, avant le procès qui doit reconnaître son statut de victime d'abus sexuels de la part de son demi-frère. Le recours au son et au rythme dans la thérapie est une aide pour accéder à la parole lors du procès et se reconstruire. Christian Lachal, psychanalyste et ethnopsychiatre, responsable des programmes de santé mentale de MSF (Médecins sans frontières) visite des enfants rescapés, Ahmed Ala et Barra, de Raffah dans la Bande de Gaza lors de séances de thérapies familiales avec traducteur. "Quelquefois on est surpris parce qu'on a l'impression que les gens sont souriants. On les voit dans des maisons et on a presque l'impression que tout va bien ; alors qu'il y a des tirs à côté, des trous dans le mur. Il s'agit déjà d'une hyperadaptation par rapport à une situation anormale qui est une situation de guerre. Dans de telles situations les gens tentent de maintenir coûte que coûte la vie quotidienne. Cette nécessité permet aux populations de supporter l'insupportable." Christian Lachal souligne et interroge le fait que les enfants puissent grandir avec la violence (sans cesse réactivée par les événements, la guerre) sans qu'elle devienne le noyau de leur être, de leur personnalité. Stéphanie, 29 ans, violée à Paris, une après-midi, a décidé de suivre une psychothérapie avec Carole Damiani de l'association Paris Aide aux Victimes. Ce travail de reconstruction repose également sur le corps, comment la victime a vécu l'agression dans son corps, comment le corps a réagi, comment retrouver du plaisir. "Le travail est non seulement intellectuel (la thérapie) mais aussi un travail de sensations (retrouver des émotions corporelles) pour ensuite pouvoir les lier à des mots" (Carole Damiani). Pour Jean, survivant du génocide du Rwanda, réfugié puis adopté par une famille québécoise en 1999, la thérapie s'est engagée à l'hôpital de Montréal avec deux psychologues, Cécile Rousseau et Déogratias Bagilishya d'origine rwandaise. Ces quatre témoignages et le point de vue des différents thérapeutes montrent qu'après un traumatisme le retour comme avant est impossible, qu'il y a perte et deuil nécessaires d'une identité antérieure et émergence d'une nouvelle identité qui peut être fragmentée. "L'histoire de la violence humaine dans ses formes les plus extrêmes porte le jamais plus et la répétition. La conscience de notre côté lumière et de notre côté ombre suppose un position d'ambivalence par rapport à nous-mêmes et aux autres et nous permet, je pense, de devenir de meilleurs humains." (Cécile Rousseau)

Résumé : "Mardi 7 décembre 1988. 11h41. Gyumri s'effondre. Il s'agit de la deuxième ville d'Arménie, et, en huit secondes, un séisme tue 30 000 personnes, balayant le pays sur vingt kilomètres. Je suis née dans cette ville morte qui a cessé de grandir, dans l'ombre oppressante de la catastrophe, où chaque enfant a clairement dû "remplacer" une victime de la nature. Ainsi, trente ans plus tard, la génération post-cataclysmique dont je fais partie se pose sans cesse la même question : rester ou partir ? Hakob et Taron sont mes amis depuis toujours. Chacun apprécie la vie à sa manière, entre tentatives de bonheur et désillusions. Mais un jour, Hakob décide de partir. C'est un nouveau séisme pour les gens autour de lui." (Sona Simonyan)

Résumé : Au coeur de ce film, des hommes et des femmes que l'on regarde avec difficulté. Ceux sur qui les enfants s'interrogent à voix haute sans retenue, ceux qui suscitent une curiosité malsaine et dont on se moque parfois. Ce sont pourtant nos semblables, ces personnes que l'on observe du coin de l'oeil faute d'avoir le courage de les regarder en face.

Résumé : Léonard de Vinci était enfant illégitime, homosexuel, gaucher, végétarien, distrait et parfois hérétique. Cette inadéquation aux moeurs de l'époque a décuplé sa créativité. À travers les milliers de pages de ses carnets et les plus récentes découvertes des historiens, Walter Isaacson dépeint l'émergence de son génie, alimenté par une curiosité passionnée, une capacité d'observation de tous les instants et une imagination sans limites. Sa capacité à combiner l'art et la science reste, aujourd'hui encore, la recette ultime de l'innovation. Son exemple nous rappelle l'importance, pour nous mêmes et nos enfants, de remettre en question nos connaissances, de faire preuve d'imagination et, à l'instar de tous les rebelles talentueux, de penser différemment.

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