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Résumé : Ibrahim Mahama was born in 1987 in Tamale, a city in northern Ghana where he lives and works. He studied painting and sculpture at Kwame Nkurumah University in Kumasi, Ghana, earning a master’s degree in painting and sculpture in 2013. During his university years, he began working on installations reflecting on the theme of globalization, labor, and the movement of goods, with works made in collaboration with local communities. In 2019, Mahama opened the Savannah Centre for Contemporary Art (SCCA), a foundation run by a group of artists and curators active in Ghana, which was followed by the establishment of Redclay in the suburbs of Tamale. This large facility incorporates artist studios (including his own), research spaces, an artist residency, a permanent collection of artworks, workshop rooms (some set up inside old decommissioned airplanes), and large plots of land dedicated to various types of cultivation. All of this contributes to this visionary artist’s desire to take an active part in the economic, social, and cultural development of his country, providing powerful incentives and teachings to new generations, to make the local population as participatory and economically self-sufficient as possible.This volume, published to accompany Mahama’s inaugural exhibition at Eataly Art House, in Verona, is constructed as visual diary of artist’s impressive work in his native Tamale, a community-based project founded on the understanding of art as totalizing, reparatory experience: a catalyzer of energies directed for change and social progress. It features texts by the curator Eva Brioschi, Mahama’s professor and mentor karî’kachä seid’ou with Selom Kudjie, and Mahama himself with Bernard Akoi-Jackson. Voli-ni, which literally means “inside the hole,” is composed of individual particles with their own meaning: Vo, “to pull out,” “extract”; li, “to transfer,” “teleport”; and ni, “here and now.” Voli-ni therefore indicates an emersion from darkness, from a failed past of defeat, towards the possibility of redemption, regeneration, through a portal that is real (recovered architecture) or imaginary (art).

Résumé : "Throughout the history of political philosophy and politics more broadly a debate has raged about the proper place of idealism versus realism in our thinking about political principles and institutions. Within contemporary political philosophy, this debate has taken the form of what is called "ideal theory" versus "non-ideal theory." Non-ideal theorists have tried to shift the focus of political philosophy from theorizing about the nature of concepts like "justice" to questions about which feasible institutional and political changes would make a society, or the world, more just. But what if, the ideal theorist asks, justice is a standard that no society is likely ever to satisfy? Could we somehow even know this is the case before seriously considering what justice requires? And, if social justice were unrealistic, would that mean that understanding justice is without value or importance, and merely idle utopianism? In Utopophobia, David Estlund argues that the best reasons for thinking either that justice must be realistic, or for thinking that there is no point in understanding justice unless it could be realized, are not convincing. No particular theory of justice is offered or presupposed by Estlund in this book, nor is it argued that justice is indeed unrealizable-only that it could be, and that this possibility upsets common ways of proceeding in political thought. The book, thus, represents a critical engagement with important strands in traditional and contemporary political philosophy which suppose that a sound theory of justice, or even the enterprise of political philosophy generally, has the sole or overriding and defining task of contributing practical guidance toward greater social justice. Along the way, Estlund argues against several tempting views; that the "circumstances of justice," as understood by Hume and Rawls, imply that the very idea of social justice is grounded in unfortunate but realistic conditions of individual moral deficiency; that inquiry in political philosophy could have significant value only insofar as it guides to practical political action; and that understanding true justice would necessarily have practical value, at least as an ideal arrangement to be approximated"

Résumé : "Quand commence l’histoire de Rome ? Les auteurs antiques, comme Tite-Live ou Denys d’Halicarnasse, affirment que l’Urbs fut fondée le 21 avril 753 avant J.-C. par Romulus. Il aurait tracé ce jour-là sur la colline du Palatin le sillon fondateur. Au cours des sept siècles suivants, cette cité du Latium, qui connut tour à tour la royauté et la république, s’est imposée aux communautés voisines puis à l’Italie et enfin au monde méditerranéen. Marquée de manière continue par la guerre, cette période se clôt avec le recensement de 70 avant J.-C qui enregistra pour la première fois l’ensemble des hommes libres de la péninsule au nombre des citoyens romains. Par l’ouverture de leur statut civique aux communautés vaincues, les Romains affirmaient leur prétention à l’universalité et à l’éternité de leur domination. Les conséquences de la conquête furent profondes : le contrôle de vastes territoires offrit à l’économie de Rome et des régions conquises des possibilités de développement considérables, et elle exerça un rôle majeur dans l’évolution de l’ordre social, des institutions et des pratiques politiques républicaines. Des guerres contre les Étrusques aux affrontements avec Carthage, des premières heures de la royauté à l’institution de la république, Stéphane Bourdin et Catherine Virlouvet retracent les principales étapes de la mise en place de l’entité politique la plus durable de l’histoire. Elle reste, encore aujourd’hui, une référence dans la pensée contemporaine. Près de deux cents documents iconographiques et une quarantaine de cartes originales éclairent cette histoire des premiers siècles romains, nourrie des dernières découvertes archéologiques et des travaux les plus récents. Les volumes de cette série ont pour ambition d’embrasser, dans la très longue durée, les principales civilisations qui sont à la source de notre monde contemporain. En inscrivant l’histoire des hommes dans une temporalité de plusieurs millénaires, cette collection permet, par l’étrangeté et l’inattendu d’une immersion dans ce passé à la fois méconnu et lointain, une distance et un recul salutaires, face au flux permanent de l’information d’un présent de plus en plus coupé de ses racines profondes."

Résumé : De nombreuses études ont démontré l’importance des fascias dans l’organisation et la gestion du fonctionnement du corps : leur rôle mécanique est capital ainsi que leur interrelation avec les phénomènes physiologiques et biochimiques. Le fascia connecte toutes les structures du corps ; il se prolonge à l’intérieur de la cellule jusqu’au noyau grâce aux microfilaments et aux microtubules et, par leur intermédiaire, via les phénomènes de mécano-conduction, il gère l’organisation de la cellule. Nous sommes issus d’une cellule unique, possédant une mémoire héréditaire, qui va donner des milliards de cellules. Ce qui veut dire que chaque cellule est capable de mémoire et que cette mémoire est omniprésente y compris au niveau périphérique. Le fascia est aussi un support privilégié de la mémoire et un vecteur du psychosomatique et du somatopsychique. Les événements importants de notre vie sont mémorisés, notamment par des phénomènes épigénétiques qui vont les enregistrer et, dans certains cas, les transmettre aux générations suivantes. Une particularité de l’épigénétique est sa réversibilité, ce qui nous ouvre des possibilités thérapeutiques très intéressantes, notamment dans le traitement des bébés. Dans certaines circonstances, les techniques de datation lésionnelle nous permettent éventuellement de décoder ces mémoires. Le corps étant constitué d’environ 70 % d’eau contenue dans les fascias, nous devons considérer que l’effet de nos techniques induit des modifications dans la répartition, voire la composition des liquides. Le fait que les méridiens d’acupuncture circulent à travers le fascia, que les plexus, qui peuvent être assimilés aux chakras, sont également supportés par le fascia, ouvrent de nouvelles perspectives thérapeutiques. L’intention est un support très intéressant dans nos techniques : elle permet de les améliorer et de les renforcer, elle correspond à la quatrième dimension du traitement ostéopathique. Ceci est confirmé par la médecine quantique démontrant que l’intention permettrait éventuellement de modifier l’état de la matière, par des effets biologiques et physiologiques, que l’on retrouve dans le biofeedback ou l’effet placebo/nocebo. Enfin, le corps est incontestablement le siège de phénomènes électromagnétiques qui peuvent présenter un intérêt lors du traitement de certaines dysfonctions. Partant du principe que les fascias sont omniprésents, le traitement ostéopathique inclura de fait un support fascial. Toutes les techniques peuvent être efficace dans le traitement des fascias à condition qu’elles respectent une certaine chronologie notamment dans le choix de la technique, qui sera plutôt, en première intention, tissulaire pour tendre si nécessaire vers le structurel en passant auparavant par l’étape intermédiaire de la technique de désidération. Le décodage fascial explore ces nouveaux domaines et offre aux ostéopathes et thérapeutes manuels un nouvel ouvrage de référence, tant théorique que pratique.

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