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Résumé : En 1964, le jury de la Biennale de Venise décerna pour la première fois son Grand Prix à un artiste américain, Robert Rauschenberg. Une initiative que l'on interpréta communément comme une reconnaissance définitive de la migration de la scène artistique mondiale, de Paris vers New York. Néanmoins, s'il est indéniable qu'à partir des années soixante les artistes d'Outre-Atlantique triomphèrent, les créateurs européens ne furent pas en reste. Pour preuve, la pléthore de mouvements dont ils se révélèrent aux fondements : le Nouveau Réalisme, l'Abstraction lyrique, la Figuration narrative, la Nouvelle Figuration... Dix-neuf artistes majeurs, d'Adami à Zao Wou-Ki, en passant par Arman, Buren, Corneille ou Combas, témoignent ici pour nous et élucident le sens de leurs pratiques respectives. Réalisé à partir du fonds de l'Encyclopédie audiovisuelle de l'art contemporain (Imago), Michel Onfray a souhaité que la Galerie et les Éditions Frémeaux & Associés éditent ce document sonore incontournable sur l'histoire de l'art contemporain

Résumé : Tourné en Inde, au Bengale, ce portrait du grand écrivain bengali met l'accent sur la présence de son art dans la tradition populaire d'aujourd'hui. Des peintres-troubadours, colporteurs de récits et de mythes, chantent la vie de Tagore comme ils chantent la vie des héros du Mahabharata ou du Ramayana. Un récit de ce type sert de fil conducteur à l'évocation de la vie de l'écrivain et de son œuvre, ainsi que des extraits de films de Satyajit Ray et notamment du film que celui-ci lui a consacré. Sont évoqués successivement ses origines, une famille de haute caste, son éducation, son initiation à la musique, son attachement à la musique populaire des Bauls notamment, les débuts de l'écriture, sa participation active au soulèvement patriotique contre la partition du Bengale, la consécration par le Prix Nobel de littérature en 1913, le développement de l'école de Santiniketan, créée par son père et consacrée aux arts, conçue comme un creuset où fondre les races et les religions, les rapports avec l'Angleterre, l'Allemagne d'avant-guerre, la Russie, le goût plus tardif pour le dessin et la peinture. Sur des images magnifiques du Bengale d'aujourd'hui, sont lus des extraits d'œuvres de Tagore traduites en français. Avec des témoignages du poète Shanka Ghosh, d'une étudiante de l'école de Santiniketan, et du peintre K.G. Subramanyan.

Résumé : Portrait de Félix Fénéon (1861-1944), éditeur, journaliste et critique d'art. Éminence grise du Paris des arts et des lettres, il contribua à façonner le goût et à fixer les valeurs des générations qui ont précédé la Première Guerre mondiale. À sa mort, il laissait une prestigieuse collection de tableaux dont la vente devait permettre à sa veuve d'instituer comme légataire l'Université de Paris, à charge pour cette dernière de créer, sous le nom de Fondation Fénéon, des Prix qui seraient annuellement décernés à deux lauréats : un jeune écrivain et un jeune peintre ou sculpteur. François Nourissier, Jean Echenoz, Béatrice Leca et Henri Cueco, ayant reçu ce prix discret mais prestigieux, évoquent la personnalité de Fénéon et sa singulière perspicacité dans la découverte de nouveaux talents. Directeur d’une dizaine de revues, dont la "Revue blanche" et la "Revue indépendante", Fénéon publie Rimbaud, Laforgue, Gide, Claudel et Mallarmé. Critique d’art, il encourage et aide Seurat, Signac ou Matisse. Écrivain, il rédige pour les faits divers des grands quotidiens des "Nouvelles en trois lignes", où sont décrites avec une précision et une concision extrêmes, la violence et la cocasserie de son époque.

Résumé : Clouzot tente de montrer le mécanisme secret de la création picturale. Devant la caméra, Pablo Picasso dessine, peint, ajoute ou supprime un trait, pose une touche de couleur, bref élabore depuis sa naissance jusqu'à la fin une oeuvre d' art. Roland Lacourbe explique : "...Clouzot filme grâce à un procédé inventé par un graveur américain : le dessin se crée littéralement sous nos yeux, au travers d'une toile sur laquelle le pinceau de Picasso dépose une encre spéciale qui reproduit le trait sur l'autre face, sans bavures." Le film souligne aussi les rapports complexes entre cinéma et peinture. ce document exceptionnel reçut le prix spécial du jury au festival de Cannes 1956.

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