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Résumé : Nous survolions le Mont Blanc. Là, penchés au-dessus du pilote, au milieu du bredouillis de mots, des radios, nous avons regardé le Mont Blanc. Ces creux, ces bosses, ces arêtes, ces abîmes, cette lumière blanche, ce monde sans une âme et sans âme, c'était déjà ce que nous allions vivre, ces arêtes dures, froides et coupantes, c'était déjà notre amour, ma Creezy, notre amour nu, aride et furieux. Je ne le savais pas alors. Je le sais maintenant. Sur le dossier du fauteuil du pilote, j'ai pris ta main. Tu l'as retirée. Puis ta main est revenue.

Résumé : Si le livre de petit format, à faible prix et grande diffusion a existé dès le XIXe siècle, c'est bien à partir de la création de la collection du "Livre de poche" en 1953 qu'on date la mise en place d'une formule commerciale qui s'est ensuite généralisée à l'ensemble des domaines éditoriaux. Etudes sur le "poche", ses collections (du "Que-sais-je ?" à "10/18") et leurs évolutions.

Résumé : " La nuit, dans le Sud, quand je me lève, je sais qu'il ne s'agit ni du proche, ni du lointain, ni d'un événement m'appartenant, ni d'une vérité capable de parler, ce n'est pas une scène, ni le commencement de quelque chose. Une image, mais vaine, un instant, mais stérile, quelqu'un pour qui je ne suis rien et qui ne m'est rien - sans lien sans début, sans but -, un point, et hors de ce point, rien dans le monde, qui ne me soit étranger. Une figure ? mais privée de nom, sans biographie, que refuse la mémoire, qui ne désire pas être racontée, qui ne veut pas survivre ; présente, mais elle n'est pas là ; absente, et cependant nullement ailleurs, ici ; vraie ? tout à fait en dehors du véritable. Si l'on dit : elle est liée à la nuit, je le nie : la nuit ne la connaît pas. Si l'on me demande : mais de quoi parlez-vous ? je réponds : alors, il n'y a personne pour me le demander ? "

Résumé : 25 chansons composées par Jean-Jacques Goldman pour des chanteurs qui ont donné lieu à des rencontres avec Céline Dion, Patricia Kaas, Lorie, Florent Pagny, Roch Voisine, Khaled, Marc Lavoine, etc. En plus des textes et des partitions, cet ouvrage contient une interview avec ce chanteur populaire devenu auteur compositeur au service d'autres artistes.

Résumé : Christian Gailly, né le 14 janvier 1943, a manqué sa naissance, ses parents, enfance et adolescence, études, service militaire, mariage, enfants et tous ses premiers romans. Moi, lui dit sa femme, à ta place, je donnerais des nouvelles. De qui ? dit-il. De toi, dit-elle, la vie et la mort, l'impuissance à vivre et à mourir, l'amour de la lumière, la beauté, en peinture, musique, et littérature, lecture et écriture, édition, que sais-je encore ? Et moi donc ? dit-il. Non, il a dit non, mais c'est comme s'il avait dit oui. Il s'y est mis et voilà ce que ça donne. Rien d'important, dit le livre. Reste le plaisir d'être tenu sous un regard.

Résumé : En juin 2012, j'achète à un brocanteur sur Internet un lot de 250 photographies d'une famille dont je ne sais rien. Les photos m'arrivent dans une grosse enveloppe blanche quelques jours plus tard. Dans l'enveloppe il y a des gens, à la banalité familière, bouleversante. Je décide de les inventer puis de partir à leur recherche. Un soir, je montre l'enveloppe à Alex. Il dit : « On pourrait aussi en faire des chansons, ce serait bien. » Les gens dans l'enveloppe, un roman, une enquête, des chansons.I. M. Un tourbillon de sens et d'émotion. Un dispositif renversant. La preuve que la littérature est bien un art vivant. Hubert Artus, Lire.Difficile de dire laquelle des deux parties est la plus émouvante. Isabelle Monnin a une plume, et de l'humanité. Sophie Delassein, L'Obs.Un grain, une poésie, une gravité rares. Juliette Einhorn, Le Magazine littéraire.

Résumé : Ce catalogue présente l'oeuvre photographique de l'artiste du XXe siècle. Il met en scène l'anodin ou des artefacts à travers des expérimentations qu'il nomme mélanographies, reproduisant le saisissement survenu à l'apparition de l'image. En 1933, son travail soutient une étude anthropologique de l'habitat vernaculaire en réaction aux théories racialistes sévissant dans le monde architectural. ©Electre 2017La quatrième de couverture indique : "L'oeuvre photographique de Raoul Hausmann est restée longtemps méconnue. De cet artiste-clé du XXe siècle, la postérité a d'abord retenu le rôle majeur au sein de Dada Berlin, les assemblages, les photomontages, les poèmes optophonétiques, quand les vicissitudes de l'Histoire ont effacé cette autre facette, à tous égards prééminente, de son rayonnement. À partir de 1927, en Allemagne, Hausmann devient un photographe prolixe, notamment lors de ses séjours sur la mer du Nord et la mer Baltique. Réfugié à Ibiza après l'accession des nazis au pouvoir, il s'intéresse à l'architecture de l'île et à ses habitants avant de devoir s'exiler à nouveau en 1936. Au cours de cette intense décennie, il aura beaucoup réfléchi à la photographie et développé une pratique profondément singulière du médium, à la fois documentaire et lyrique, indissociable d'une manière de vivre et de penser. Ses amis avaient pour nom August Sander, Raoul Ubac et László Moholy-Nagy, lequel déclarait à Vera Broïdo, l'une des compagnes de Hausmann : « Tout ce que je sais, je l'ai appris de Raoul. » Écrit par l'historienne de l'art Cécile Bargues, le livre révèle l'ensemble de l'oeuvre photographique de Hausmann dans l'entre deux-guerres et propose une chronologie détaillée de sa vie. En fin d'ouvrage, l'écrivain Nik Cohn raconte, dans un texte inédit, les souvenirs que sa mère Vera Broïdo gardait de Hausmann."

Résumé : Pourquoi la mort de quelqu'un est-elle toujours une sorte de scandale ? Pourquoi cet événement si normal éveille-t-il chez ceux qui en sont les témoins autant de curiosité et d'horreur ? Depuis qu'il y a des hommes, comment le mortel n'est-il pas habitué à ce phénomène naturel et pourtant toujours accidentel ? Pourquoi est-il étonné chaque fois qu'un vivant disparaît, comme si cela arrivait chaque fois pour la première fois ? Telles sont les questions que pose ce livre sur la mort.Dans chacun de ses ouvrages, Vladimir Jankélévitch a essayé de saisir le cas limite, l'expérience aiguë : à son point de tangence avec ces frontières, l'homme se situe à la pointe de l'humain, là où le mystère, l'ineffable, le "je ne sais quoi" , ouvrent le passage de l'être au néant, ou de l'être à l'absolument-autre. Il s'attache ici à analyser un événement considéré dans sa banalité et dans son étrangeté à la fois, dans son anomalie normale, son tragique familier, bref, dans sa contradiction."Si la mort n'est pensable ni avant, ni pendant, ni après, écrit Jankélévitch, quand pourrons-nous la penser ? " Et il entreprend cette tâche périlleuse : conter l'inénarrable, décrire l'indescriptible.

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