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Résumé : Dix-huit mois durant les deux réalisateurs ont suivi la lutte contre la maladie (de l'annonce du diagnostic à l'issue du traitement) de quatre enfants, Axelle, Hugo, Kareem et Victor, atteints de cancer et soignés dans le service du Professeur Eric Sariban à l'Hôpital pour enfants Reine-Fabiola à Bruxelles. Sans commentaire ni voix off le film laisse affleurer l'émotion dans les regards, dans la lourdeur des traitements subis, dans l'espoir, le découragement des enfants comme des parents. L'humanité et le charisme du Professeur Sariban est le fil rouge de cette expérience humaine faite de révolte, de tendresse, du recours à une médecine de pointe, très sophistiquée et qui ne peut pas tout. Eric Sariban sait parler, trouver les mots pour dire le mal, sa complexité, les récidives toujours possibles et en même temps l'espoir. L'équipe médicale, les réunions de soignants, les débats autour des différents traitements avec les décisions à prendre, car le risque vital est toujours engagé, sont une part importante du film qui nous renseigne sur la difficulté de métiers à très haute responsabilité.

Résumé : "Yaoundé, Cameroun. Dans le service pédiatrique d'un hôpital, le Docteur Wamba répète inlassablement les mêmes conseils aux mamans. Dans la salle des prématurés, après deux mois de gavage, Samira donne pour la première fois le sein à son enfant. En néonatologie des jumeaux viennent d'arriver. Ils sont nés dans un taxi, l'un d'eux a besoin d'une transfusion mais les parents ont disparu. Avant toute prise en charge il faut payer. Ici pas de sécurité sociale, l'accès aux soins n'est pas un droit.Comment soigner avec peu de moyens, sauver des vies, des vies d'enfants alors que l'argent manque ? Infirmières et médecins se battent aux côtés des parents. Jours après nuits, dans les couloirs de la pédiatrie, ce sont les mêmes obstacles rencontrés, mais aussi les joies partagées de la guérison. La tension est présente, parfois la colère explose, souvent c'est le rire qui apaise." (Emmanuelle Lacosse)

Résumé : Méthode unilingue en anglais sur la profession d'infirmier

Résumé : Méthode unilingue en anglais sur la profession d'infirmier.

Résumé : Entre janvier 2001 et septembre 2003, François Chilowicz a suivi la vie quotidienne des cinquante infirmièr(e)s et aide-soignant(e)s du service des soins intensifs de neurochirurgie de l'Hôpital Rangueil à Toulouse qui compte une douzaine de box de réanimation où les patients sont tous alités, la plupart dans un coma profond. "Les hasards de mes repérages m’ont conduit jusqu’à Toulouse, à l’hôpital Rangueil, et plus précisément dans ce service... J’y ai rencontré une équipe soudée et forte, qui prend son travail à bras-le-corps, avec une joie de vivre très intense. Une équipe qui sait désamorcer toutes les tensions accumulées au cours de la journée par sa gentillesse, son humour et sa franchise. Bref, une équipe qui m’a considérablement impressionné et séduit. Aux soins intensifs de neurochirurgie, la détresse des patients ou de leurs proches est souvent immense, mais la bonne humeur des soignants l’est aussi, toute en empathie, comme pour repousser la tristesse en dehors des murs. Après un moment difficile qui aura fortement affecté l’ensemble de l’équipe, on peut assister à une "séance de décompression", faite de rires, de jeux, de batailles, le temps d’évacuer la peine et la pression... Puis tout le monde reprend son travail, détendu, complice. Les patients conscients apprécient ces moments de folies douces, qui insufflent un vent de joie et de vie dans le service. Ici, la terrible comédie de la vie bat son plein, autour de choses essentielles, pour le plus épouvantable comme pour le plus extraordinaire ! Le personnel soignant sait se protéger, non pas pour fuir la réalité brutale mais pour mieux l’affronter au chevet des patients.(…)L’administration des soins est une chose mais leur rôle est beaucoup plus vaste... Quelque chose d’immatériel qui repose sur de l’humanité. Une gageure qui a forcément ses limites, mais aux Soins Intensifs de Neurochirurgie de Rangueil, ces limites sont repoussées très loin.(…)Tout au long du tournage, semaine après semaine, j’ai assisté à des moments étonnants, bouleversants ou merveilleux. J’ai participé à des histoires humaines, toutes passionnantes et singulières, dans lesquelles soignants et soignés cheminent conjointement. Des moments très intenses, au cours desquels des personnes qui n’avaient a priori aucune raison de se rencontrer œuvrent ensemble autour d’une cause essentielle : la vie."François CHILOWICZ.

Résumé : A partir du geste médical d'une prise de sang dans un hôpital bordelais, le film remonte le temps, le fil de l'histoire du sida avec médecins, malades et soignants. Entre le souvenir des années 80 marqué par les multiples morts et la perception de l'épidémie aujourd'hui chacun s'exprime avec les doutes, les remises en questions, l'espoir et l'angoisse. L'accent est mis sur la prise en charge quotidienne depuis les traitements par trithérapies arrivés en 1996. Les relations malades médecins sont aussi au premier plan car c'est là que surgissent les tensions car les traitements ont des effets imprévisibles et les malades doivent parfois accepter la violence que la mécanique médicale exerce sur les corps, corps sans cesse sous la menace du sida, cette "histoire qui n'a pas de fin".

Résumé : Toronto, au coeur de l'hiver. Des infirmières engagées dans leur travail à la limite du sacerdoce suivent des femmes enceintes aux prises avec la toxicomanie. Le film est la chronique de cet accompagnement empathique entre aide sociale et thérapie.

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