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  •    Auteur : Schneller, Katia (1979-....)
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Résumé : Etude sur l'oeuvre de R. Morris, marquée par sa diversité en matière d'art conceptuel. Cet ouvrage est axé sur la notion de mémoire constamment présente dans la création complexe de l'artiste : mémoire physiologique, expérimentale d'une part ; affective, mélancolique, autobiographique d'autre part.

Résumé : Echanges d'historiennes de l'art, d'artistes et de curateurs lors d'une table ronde de novembre 2014 à Paris, sur la pratique théorique et académique d'artistes contemporains, sa portée politique mais aussi son apport dans la réflexion sur la recherche artistique. ©Electre 2016

Résumé : Une sélection d'essais publiés dans diverses revues culturelles américaines, et illustrant les visions artistique et politique de l'auteur (1909-1994), critique d'art qui fut un proche de J. Pollock et de L. Krasner. Ces essais sont précédés d'un ensemble d'écrits publiés entre 1940 et 1949. ©Electre 2017

Résumé : Contributions d'un colloque (2011) mettant en relief la complexité des voix qui sous-tendent l'élaboration des étiquettes qui ont marqué l'histoire de l'art contemporain. L'ouvrage aborde également le système de l'art et tente de trouver les liens entre la critique d'art, la diffusion, la présentation, l'institutionnalisation et la patrimonialisation des oeuvres et l'historiographie.. « École », « mouvement », « avant-garde » ou autres « ismes »: l'historien d'art contemporain se réfère constamment à des catégories qui, loin d’être neutres, sont porteuses de discours. L’historicisation des « courants », tels que l’expressionnisme abstrait, l’art minimal, le Body-Art, le néo-expressionnisme ou encore le néo-dada, peut laisser entendre une forme de reconduction du projet des avant-gardes historiques. Mais leur statut ambigu – un courant recouvre-t-il un style, une période, un projet esthétique, un label ou une technique de marketing? – est symptomatique de la mutation profonde, depuis les années 1960, du fonctionnement du système artistique (marché, institution, critique), tout comme de la nature des intentions créatrices. Ce phénomène d’historicisation des pratiques sous forme de courants se poursuit sur les deux dernières décennies du XXe siècle (avec Esthétique relationnelle, les Young British Artists, le bio-art…), tandis que de très nombreux groupes, collectifs, coopératives ou entreprises continuent d’apparaître sur la scène artistique. À l’inverse des étiquettes mentionnées précédemment, leurs noms signalent un projet ou une intention commune – de l’Internationale situationniste et du groupe ZERO à Présence Panchounette, des Yes Men à Société Réaliste –, sans nécessairement suggérer l’élaboration d’une nouvelle esthétique. Si ces configurations, en tant qu’identités collectives arbitraires et autodéterminées, semblent également s’inscrire dans le legs politique des avant-gardes, elles le redéfinissent radicalement. Dépassant le simple constat de ce double héritage, paradoxal, du phénomène avant-gardiste, les études rassemblées dans cet ouvrage proposent de réfléchir aux stratégies de dénomination adoptées par les différents acteurs du monde de l’art, aux divers types de coalition définis ou revendiqués par les artistes, enfin aux pratiques artistiques que celles-ci recouvrent. (Présentation éditeur)

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