Recherche simple :

  •    Tous les mots : Sociologie de la mort
  • Aide
  • Eurêkoi Eurêkoi

Documents en ligne : 48

Voir tous les résultats les documents en ligne

Résumé : Claudio est né en Grèce, élevé à Venise, marié à Tarente, et c’est à New-York qu’il fut assassiné après y avoir poursuivi le rêve américain pendant vingt-ans. Giacomo Abbruzzese reconstitue l’histoire de son grand-père en nous plongeant dans le New-York des années soixante sur les notes de Billy Joel et une ambiance de film de gangster. A travers les témoignages et les souvenirs de ses proches, des deux côtés de l’océan, on découvre un personnage mystérieux, complexe, en perpétuelle fuite. C’est le portrait d’un homme que personne n’a jamais vraiment connu.

Résumé : C'est un film au service de la parole, qui, à la manière d'un poème sombre, recueille le récit épique de la traversée de l'Atlantique d'un jeune homme. ̕A travers les mots de Serigne et ses amis, le film dresse le portrait d'une jeunesse sacrifiée. Les personnages du film voyagent entre passé, présent et futur, flottent entre vie et mort, vont, viennent et se perdent entre histoire et mythe.

Résumé : Harald Friedl filme une journée dans la vie de quatre petits commerces traditionnels de Vienne : une maroquinerie, une droguerie, une mercerie et une boucherie. Pour deux d’entre eux, c’est la dernière. C’est la suspension du temps qui caractérise ces vieux magasins. Si dehors le temps file, ici la clientèle se raréfie, «nous sommes dans la main du temps», dit la maroquinière. «Mais si une même suspension du temps caractérise la maroquinerie, la droguerie et la mercerie, la mémoire qui s’y est déposée n’est pas de la même substance : rêve d’immortalité et d’immobilité absolue pour le maroquinier, elle est, pour le vieux droguiste, habitée par la mort, la tragédie : l’aryanisation de la boutique par les Nazis, la guerre, la mort de sa femme… La «reine du bouton» étouffe dans son royaume, symbole du ratage de sa vie, de l’échec de son mariage, de son déclassement. Cette mémoire n’est pas seulement une mémoire des hommes, elle est aussi une mémoire du capitalisme, d'un stade antérieur où les produits étaient des articles autant que des marchandises, où la valeur marchande ne primait pas sur la valeur d'usage, où la qualité des produits comptait plus que l’emballage ou la marque.» (extr. du Catalogue Cinéma du réel 2007)

Résumé : Le film est tourné dans la banlieue de Dakar, à Thiaroye-sur-mer, village de pêcheurs d’où part l’émigration clandestine vers les Canaries. Le film s’ouvre sur la construction d’une pirogue, que l’on suivra pendant tout le film, de la coupe de l’arbre jusqu’à la mise à l’eau, symbole d’un combat et d’un peuple : celui de pêcheurs que la concurrence des chalutiers européens, japonais ou chinois, prive de leur gagne-pain et pousse à s’engager sur la voie périlleuse de l’émigration. Deux récits courent en parallèle : celui d’un professeur revenu des Etats-Unis pour fonder une école et enseigner l’anglais, convaincu qu’il faut tout faire pour rester au pays, mais bien seul dans son combat, et celui d’un émigrant revenu après un périple de douze jours en mer où il a failli périr mais qui s’apprête à repartir. Ce dernier écrit et lit un e-mail où il relate l’horreur de son voyage, texte qui ressemble à une lettre d’adieu. Le film est dédié à la mémoire des 3 000 jeunes gens «disparus en tentant de réaliser leur rêve» entre janvier et octobre 2006.

Résumé : J'ai porté dix ans le voile. C'était le voile ou la mort. Je sais de quoi je parle. De treize à vingt-trois ans, j'ai été réprimée, condamnée à être une musulmane, une soumise, et emprisonnée sous le noir du voile.

Résumé : En novembre 2005, la mort de deux adolescents dans un transformateur EDF de Clichy-sous-Bois met le feu aux poudres : la révolte, la colère et l'indignation se propagent dans la France entière... En prenant Clichy pour exemple, ce film tente de sonder les raisons de la colère dans les banlieues...

Résumé : D'un côté, la mort d'Adama Traoré, la blessure grave infligée à Théo L., les violences à l'encontre de citoyens lors des manifestations contre la loi travail, les débordements, les bavures. De l'autre, les cocktails Molotov brûlant grièvement un policier, l'attentat de Magnanville et son couple de fonctionnaires assassinés à leur domicile et, au quotidien, les insultes, les crachats, la violence, la déconsidération, la hiérarchie qui, souvent, reste muette et le taux de suicides, de 36 % supérieur à la moyenne nationale... L'incompréhension grandissante entre les forces de l'ordre et les citoyens crée une fracture dangereuse pour l'tat. Brisant le devoir de réserve que la fonction leur impose, de nombreux policiers battent régulièrement le pavé depuis 2016 pour manifester leur colère. Sept d'entre eux sortent du silence et se livrent à François Chilowicz.

Résumé : Le film dresse le portrait de deux femmes, la réalisatrice et sa grand-mère. Voyant la maladie ravager le visage de celle qui l'a élevée, Laure Portier la filme, se préparant à la voir disparaître. Pour se préparer à l'inévitable, enfermées toutes deux dans ce huis clos familial, elles tentent de dépasser ce qui les attend en renforçant leur lien dans une tendresse partagée.

Explorer les sujets liés :