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Résumé : Chronique d'un an de préparation de deux nageuses, Apolline Dreyfuss et Lila Meeseman-Bakir, de l'équipe de France de natation synchronisée en duo pour les Jeux olympiques de Pékin. Elles vont passer des centaines d'heures dans l'eau à s'efforcer d'atteindre leur rêve : godiller, rétropédaler, faire des spires, des vrilles, pour réaliser une performance de 3'30" dont elles se rappelleront toute leur vie.

Résumé : J’ai imaginé "Beau joueur" comme le roman d’un dépit amoureux et la chanson d’une reconquête. Une équipe de rugby qui a conquis la liste convoitée du Top 14 est une équipe qui a touché du doigt, dans un enthousiasme débordant, un Graal fragile, adoubée par un public dont la ferveur est réputée inégalable. Ainsi, l’Aviron Bayonnais Rugby entre en Top 14 sur les chapeaux de roue, emmené par un coach singulier, Vincent Etcheto. Ils sont au bas du classement dès le mois d’octobre 2016. C’est à ce moment-là que je les rencontre. Le maintien en Top 14 devient le maître mot. Une obsession. Les hommes qui ont vécu «l’ascension», comme ils la nomment, portent en eux le souvenir d’une étreinte. Laquelle précisément ? Je décide de les filmer seule pendant sept mois. Persuadée qu’ils préparent un casse.

Résumé : En 1952 Chris Marker avec une toute petite équipe part en train filmer les Jeux Olympiques à Helsinki. Peuple et Culture ainsi que la Direction Générale de la Jeunesse et des Sports financent le projet. Nous sommes en pleine guerre froide (les Soviétiques participent pour la première fois aux J.O) et Olympia 52 constitue la "première tentative" cinématographique de Chris Marker. Se référant aux préceptes du Maître : "Ce texte n'est protégé par aucune déclaration. Il est taillable et corvéable à merci, ..." (C. Marker, L'Homme et sa liberté), Julien Faraut procède à une relecture active du documentaire de Marker selon une dramaturgie qui vise à monter l'indépendance et l'originalité de Marker dans sa façon de filmer, son rapport à la liberté et sa lutte face à la critique, sa relation au sport et à l'effort avec, en particulier, la figure d'Emile Zatopek. Le regard neuf sur Olympia 52 se construit entre table de montage, recherche d'archives audiovisuelles comme papier, introduction d'éléments nouveaux et plus récents comme l'extrait de "Courir" de Jean Echenoz, envoi et réception de courriers électroniques, interrogations plus introspectives. A travers cette enquête / hommage se tissent les liens entre les cinéastes et leur objet faits de souvenirs lointains pour l'un et de travail de recherche et d'admiration pour l'autre.

Résumé : 2011. Eden Park d'Auckland. Le XV de France perd contre la Nouvelle-Zélande en finale de la septième Coupe du monde de rugby. Jacques Fouroux aurait fêté ses soixante-quatre ans et n'aurait manqué ce match pour rien au monde, lui qui fut l'emblématique joueur du Grand Chelem 1977, puis l'entraîneur de l'équipe de France lors de la première Coupe du monde. C'était en 1987, déjà en Nouvelle-Zélande. L'événement allait marquer pour le rugby le passage vers un nouveau monde, le professionnalisme. Surnommé le "petit caporal" en raison de son allant à mener son équipe, de son caractère bien trempé et de sa petite taille, Jacques Fouroux s'est battu pour imposer son style et mettre en place un rugby "compréhensible par tous et spectaculaire tout le temps", d'Auch à Auch, en passant par Cognac, La Voulte, l'équipe de France, le XIII même. "Conquête", "puissance", "impacts", "défense", ses maîtres mots et son style n'ont pas manqué de l'exposer à la critique... Raconter sa vie revient à cerner le destin tragique de ce Gascon visionnaire, tourmenté et querelleur, entouré d'une foison d'amis et d'encore plus d'ennemis. Décrié et blessé, il a fait front avec intelligence, se montrant magnifique et admirable, généreux et entier, à la manière d'un Cyrano de Bergerac : "Je sais bien qu'à la fin vous me mettrez à bas. N'importe : je me bats ! Je me bats ! Je me bats !" Il cherchait sans fin le pouvoir et la gloire pour épancher une inextensible soif de reconnaissance. C'est pourtant oublié de tous que cette figure charismatique a terminé ses jours, dans la solitude.

Résumé : "En juin 1924, George Mallory et Andrew Irvine grimpèrent vers leur mort, disparaissant de la vue de leurs camarades d’expédition sur le versant nord-est de l’Everest. Une des plus grandes controverses de l’histoire de l’alpinisme était née : avaient-ils réussi à atteindre le sommet avant de mourir ? Membre de l’expédition, le réalisateur et explorateur aguerri John Noel était spécialement équipé de caméras et de téléobjectifs conçus pour filmer à des altitudes jamais atteintes. Le documentaire étonnant qu’il tira de ces prises de vues si chèrement obtenues est un vibrant hommage à l’ambition des deux alpinistes ainsi qu’à l’invaincue et majestueuse montagne. Mais au-delà du compte rendu de l’exploit de ses compatriotes, John Noel fit preuve d’un talent exceptionnel en filmant les Tibétains et le monastère de Rongbuk, nous délivrant des images d’une rare valeur ethnographique. Un document exceptionnel en tous points. " (Source Editeur)

Résumé : Florence, berceau de la Renaissance, est depuis le 16ème siècle le théâtre de rencontres d'un jeu de ballon violent entre rugby, boxe et arts martiaux, le calcio storico fiorentino, qui se déroulent trois jours par an, en juin, entre les équipes des quatre quartiers florentins : les bleus (Santa Croce), les verts (San Giovanni), les rouges (Santa Maria Novella) et les blancs (Santo Spirito). Le documentaire va à la rencontre de joueurs et de spécialistes de ce sport nous expliquant les ressorts dramatiques de ce calcio où se concentrent l'attachement à sa ville et à son quartier. Des extraits d'un match (joué à 27 de chaque côté pendant 50 minutes sans mi-temps) entre les rouges et les blancs permettent d'entrevoir la rudesse de ce sport plusieurs fois centenaire.

Résumé : "Un unique terrain pour plus de six cents garçons, des vestiaires vétustes, mais une arrière-salle qui déborde de trophées… Le club de foot la Jeunesse d'Aubervilliers (l'ASJA) maintient son niveau d’excellence malgré des moyens dérisoires. Dans ce club comme partout en banlieue parisienne, les jeunes espèrent taper dans l'œil des recruteurs que les clubs de l'élite dépêchent chaque week-end dans les stades de la région. À l'image de Jonathan, Glen et Anas qui n'ont qu'une idée en tête : "passer pro". Mais même pour les plus talentueux le temps presse. Bientôt, ils seront trop âgés pour intégrer un centre de formation. Alors lorsque des recruteurs du SC Bastia proposent à certains un essai, il s'agit de saisir la chance de sa vie. Matchs, entraînements, déplacements, détections… : pendant plus d'un an, Xabi et Agnès Molia ont suivi les différentes équipes de l'ASJ Aubervilliers et leurs entraîneurs. Réussissant à faire oublier leur présence, les documentaristes sont parvenus à filmer l'intimité de ce club de quartier, devenu un acteur social incontournable dans l'une des communes les plus pauvres de France. Ateliers de soutien scolaire, sermons, conseils d'éducateurs à la bienveillance paternelle… : les abords du terrain font office d'ultime refuge pour des adolescents en échec scolaire et parfois en rupture avec leur famille. Le football est une école de la vie, mais représente aussi la principale perspective d'ascension sociale. Malgré les mises en garde des éducateurs face aux mirages du foot business, aucun n'envisage une autre carrière que celle de star du ballon rond." (film-documentaire.fr)

Résumé : Après un tragique incendie au Colectiv Club, discothèque de Bucarest, le 30 octobre 2015, de nombreuses victimes meurent dans les hôpitaux des suites de blessures qui n’auraient pas dû mettre leur vie en danger. Suite au témoignage d’un médecin, une équipe de journalistes d’investigation de la Gazette des Sports passe à l’action afin de dénoncer la corruption massive du système de santé publique. L’Affaire collective suit ces journalistes, les lanceurs d’alerte et les responsables gouvernementaux impliqués, et jette un regard sans compromis sur la corruption et le prix à payer pour la vérité.

Contenu : Deux poignards bleus. Ensemble. L'amour nest pas un sport individuel. Joy. Argentine. On meurt. Concours de circonstances. Jamais je taime. Puis-je vous offrir ?. Où es-tu ? / Charlotte Rampling. Le diable est une blonde

Résumé : "Le 9 janvier 1959, Pierre Lazareff, patron de France Soir, lance le tout premier magazine d'information télévisé, "Cinq colonnes à la une", sur l'unique chaîne de la RTF. A ses côtés, Pierre Desgraupes, Pierre Dumayet et Igor Barrère, deux journalistes de radio et de télévision et un réalisateur. "Cinq colonnes à la une" sera diffusé le premier vendredi de chaque mois, pendant 103 numéros, jusqu'à son arrêt en 1968." En mars 1961, Pierre Lazareff, analyse, pour les lecteurs des Cahiers du cinéma, l'esprit de l'émission : "Notre travail est un travail d'équipe.Je suis producteur de l'émission, au même titre que Pierre Desgraupes, Pierre Dumayet et Igor Barrère et nous nous entendons parfaitement. Notre méthode de travail s'apparente au grand journalisme. Nous choisissons un sujet et nous en confions la réalisation à un journaliste et un réalisateur. Ceux-ci effectuent leur travail, et ensuite nous y travaillons tous ensemble."

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