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Résumé : Douze textes sur la théorie de la valeur de Marx, le problème de la transformation des prix de production et les rapports entre théorie marxiste et théorie néo-ricardienne : le point sur un débat actuel. ©Electre

Résumé : Bulles et crises financières ont mis à mal l'idée même de valeur fondamentale sur des marchés livrés aux " esprits animaux " et à une volatilité erratique. Il n'y aurait pas d'ancrage dans quelque valeur stable en soi et l'observation des prix le montrerait. Face à la tentation d'abandonner la valeur absolue pour la seule valeur relative d'échange, ce livre tente d'expliciter la valeur en tant que substance en articulant les deux dimensions distinguées par Ricardo. L'ouvrage montre que la valeur accordée au temps est ce qu'on appelle valeur économique. Tel est le nom donné au temps incorporé dans les objets, les faits et les événements qualifiés d'économiques. On y accorde de la valeur comme on se souvient et on oublie. La valeur comme substance est habitée par le temps et l'être de la valeur est durée pure. La valeur se rend présente par le prix dans l'action (utilité), le faire (valeur-travail) et pour un Sujet qui est sous le regard des autres (échange). Mais la valeur, assignée par la modernité à la seule mesure de l'action et de l'agir, se tient au-delà du prix, qui en est la manifestation.

Résumé : Dans cette publication, rédigée quelques jours avant sa mort, l'économiste anglais expose les fondements de sa théorie de la valeur, un sommet de l'économie politique classique.

Résumé : Au-delà de l'opposition entre propriété privée et publique, ces contributions pluridisciplinaires analysent les biens communs dans une perspective heuristique. La propriété, le travail et la monnaie, les trois principaux axes de l'économie capitaliste, fondent ces réflexions. Les évolutions de l'activité économique, du rôle de l'Etat, des structures de propriété et de copropriété sont examinées. ©Electre 2021

Résumé : Selon l'approche marxienne, la transformation de la valeur en prix correspond à la métamorphose de la marchandise. L'auteur revient sur la controverse née de cette théorie en levant les malentendus et des erreurs en réalité redevables à Ricardo. ©Electre 2021

Résumé : Une argumentation en faveur de la théorie de la valeur-travail, démontrant l'égalité entre la somme des profits et celle des plus-values d'une part ; celle entre les valeurs produites et les prix de production d'autre part. La démonstration prend en compte différents montants de capital fixe dans chacune des branches de l'économie. ©Electre 2021

Résumé : Rassemblées de manière chronologique et thématique, les considérations de J. Ellul sur le travail, habituellement dispersées dans l'ensemble de son oeuvre, sont ici mises en perspective pour mettre en avant l'importance grandissante de ce thème dans sa pensée et l'évolution de son analyse sur plusieurs décennies. ©Electre 2018

Résumé : L'auteur propose une sorte de philosophie opérationnelle pour apporter un éclairage nouveau sur les pratiques commerciales, montrant qu'il est possible de faire de l'honnêteté une force assumée. ©Electre 2022

Résumé : En abordant la théorie de la valeur et des prix dans son premier tome du Capital, Marx a engagé un débat sur la transformation des valeurs en prix de production qui ne s'est pas apaisé avec l'effondrement des régimes communistes à partir de 1989. L'auteur revient sur les controverses philosophiques, épistémologiques et économiques découlant de ce concept-clé du marxisme.

Résumé : La crise économique de 2008 a suscité un «renouveau» du discours critique sur le capitalisme. Mais pour les auteur-e-s de «La tyrannie de la valeur», cela n'a pas pour autant donné lieu à un approfondissement de la théorie critique, si bien que la crise actuelle du capitalisme s'accompagne d'une «crise de l'anticapitalisme», prenant la forme d'une carence théorique. L'essentiel de ce discours critique, comme celui des mouvements de type «Occupy», demeure superficiel en se limitant à une approche subjectiviste dénonçant l'élite du «1%» et des «vilains» banquiers. Le grand mérite du courant dit de la «critique de la valeur» («Wertkritik») est d'effectuer un retour au texte de Marx afin d'en dégager une critique substantielle et de retrouver, par-delà le Marx économiciste et subjectiviste, le Marx philosophe et sociologue. Le capitalisme est ainsi abordé comme un «fait social total», et de sa critique ressort la nécessité d'instituer d'autres formes de médiations sociales et d'autres institutions que celles qui consolident la domination fétichiste du travail, de la marchandise, de la valeur sur la vie, la société, la nature. Le sujet du capital n'est dès lors plus identifié à la bourgeoisie ou au prolétariat eux-mêmes, mais plutôt au processus de valorisation capitaliste que bourgeois et prolétaires entretiennent mutuellement, sans toutefois en tirer les mêmes avantages. La tâche prioritaire de la théorie critique est donc double: d'abord comprendre de manière critique les médiations fétichisées du capitalisme, puis penser ce que pourraient être des médiations non aliénés. C'est à ce projet que «La tyrannie de la valeur» entend contribuer afin d'approfondir et de renouveler le discours de la théorie critique. ©Electre

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