Recherche simple :

  •    Tous les mots : Vie en mer
  • Aide
  • Eurêkoi Eurêkoi

Documents en ligne : 73

Voir tous les résultats les documents en ligne

Résumé : "Un huis-clos à bord du chalutier Eon An Hent au large de l'Irlande. Epuré de toute information technique ou économique, le film impose peu à peu le rythme de la vie en mer. Ce sont d'autres repères, d'autres nécessités, un monde entre Sisyphe et Achab, où les mêmes gestes se succèdent, de jour comme de nuit, où l'amitié côtoie la solitude, un monde où le temps se dilue. Pour nous guider, quatre hommes qui m'ont accordé leur confiance, et qui s' interrogent sur leur vie de marin. Ils sont tout à la fois moqueurs et respectueux, rigolards et graves, fiers et désabusés. Et progressivement, on ressent avec ces destins de mer une étrange connivence." (Jean-Yves Legrand)

Résumé : Deuxième volet d'une trilogie relatant l'épopée de la pêche morutière de son apparition au 15° siècle à son déclin aujourd'hui. "En pêche" se passe en pleine mer, dans la "tripaille de la morue" (S. Druais). Le film est en effet consacré au travail sur les bancs de Terre-Neuve et d'Islande ainsi qu'aux conditions de vie des pêcheurs. A bord des navires, du plus léger aux quatre-mâts, le rythme des escales et du travail ne font jamais oublier les dangers de ces mers septentrionales.

Résumé : Réalisé par l'association "Paroles, images et sons", ce ce document regroupe quatre témoignages enregistrés entre 1969 et 1971, puis en 1999 par des enseignants praticiens de la pédagogie Freinet. On y retrouve les récits de Jean Morgan de Fécamp, mousse dès l'âge de 12 ans au large de Terre-Neuve et de Jean Chuinard, fils d'armateur à Granville qui revient sur les rapports sociaux entretenus avec l'équipage. Monsieur Gicquel de Genêts évoque les conditions de vie à Terre-Neuve et le commandant Georges Aubin se remémore son passé à bord des cap-horniers, sur lequels il vogua dès l'âge de 14 ans sur toutes les mers du globe.

Résumé : Premier volet d'une trilogie relatant l'épopée de la pêche morutière de son apparition au 15°siècle à son déclin, aujourd'hui. "Au pays des morues" dresse un tableau général du sujet avec cadre historique et introduction de données économiques et humaines : d'où viennent les pêcheurs ? Pourquoi partent-ils ?

Résumé : Co-réalisé en 1955 par Jacques-Yves Cousteau et Louis Malle, qui était alors un jeune étudiant de cinéma de 23 ans désireux de sortir de l'Idhec pour se confronter à la réalité et au cinéma, "Le Monde du silence" fut le deuxième film à montrer des images en couleurs du monde sous-marin et le premier à montrer des images tournées à 75 mètres de profondeur. Le film commence avec une voix-off : « À cinquante mètres de la surface, des hommes tournent un film. Munis de scaphandres autonomes à air comprimé, ils sont délivrés de la pesanteur. Ils évoluent librement. » La beauté des images réalisées grâce aux caméras conçues par André Laban est stupéfiante : Picasso lui-même en sera saisi à Cannes. Se déplaçant à bord de La Calypso, les équipiers/plongeurs/acteurs/cameramen explorent les fonds marins de la Mer Méditerranée, du Golfe Persique, de la Mer Rouge et de l'Océan Indien. Ils en ramènent des images qui, au fil du temps, sont devenues mythiques et archétypales non seulement parce qu'elles constituent des modèles, des principes de tournage sous-marin mais aussi parce qu'elles appartiennent à un inconscient collectif où vibrent les sensations de générations de spectateurs articulées autour de scènes emblématiques comme la découverte de l'épave, les jeux avec le mérou Jojo, la mort du jeune cachalot ou le massacre des requins. Les deux co-réalisateurs sont très complémentaires: l'un animé d'une volonté pédagogique de passeur, l'autre préoccupé d'esthétique et de son art en devenir. "Le Monde du silence" inaugure la méthode Cousteau, celle du documentaire animalier tourné autour d'une aventure humaine et révèle un cinéaste, Louis Malle, dont la carrière devra beaucoup à cette expérience hors du commun.

Résumé : De Bruay (Nord-Pas-de-Calais) à Marseille, de Charleroi (Belgique) à Genève (Suisse), dans les paysages de la désindustrialisation et des banlieues, le réalisateur a rencontré, en 1990, des jeunes, orphelins des rêves de leurs pères, des sidérurgistes sans lendemains, une sage-femme... qui parlent de ce qui les a faits, d'un monde perdu et d'une vie à s'inventer dans un monde qui soit désirable, en dépit des difficultés.

Résumé : Dans le silence de la mer émerge un chant, celui du monde sauvage, qui utilise le son pour communiquer et se repérer. Comment ce monde sonore peut-il coexister avec celui des activités humaines, de plus en plus envahissantes ? Une exploration de la côte méditerranéenne pendant la parenthèse du confinement jusqu'au "monde d'après" aux côtés de scientifiques cherchant à définir une cohabitation entre l'homme et la nature.

Résumé : Depuis la fin du 20ème siècle, notre monde, depuis toujours fait de travail manuel, de tradition, de poésie, a été balayé par le progès et la mécanisation. Voici comment était ce monde dans le sud de l'Italie, dans les années 1950. (Vittorio De Seta)

Résumé : Film-dossier sur la pollution des océans par les plastiques. Du président du syndicat Plastics Europe au scientifique le plus pointu en écotoxicologie en passant par des militants-activistes décidés à faire prendre conscience de l'impact de cette pollution dans les écosystèmes marins et ses effets sur la santé publique, ce documentaire dresse un état des lieux à l'échelle mondiale. Soixante ans de consommation, trois générations d'utilisateurs de plastique ont abouti à une contamination croissante des milieux marins (fonds, surfaces) et des animaux (de la baleine au plancton) ainsi que celle des plages du monde entier et ce à l'échelle microscopique. Le trash vortex (le tourbillon d'ordures) est désormais la plaie du Pacifique nord à la croisées des courants de cet océan. Les mers et les océans avalent de force le plastique dont nous les gavons et qu'ils ne savent pas digérer. De plus il tue, mutile et étouffe les animaux. Quant à nous, il semble qu'il agisse sur notre santé par le bisphénol A et les phtalates considérés comme des perturbateurs hormonaux et des entraves au développement sexuel. Alliés de notre vie quotidienne, les plastiques n'en demeurent pas moins les ennemis de la planète et les compagnons hostiles de notre espèce.

Résumé : Biologie et comportement de l'oursin." Oursins revient à un thème déjà traité dans les années vingt. Mais l'opérateur Claude Beausoleil utilise au mieux la couleur, pour filmer le ballet des pédicellaires autour de la coque. La structure de l'oursin est révélée par une coulée de gélatine qui, se refroidissant, permet d'ôter la coque sans que les organes vitaux en pâtissent. Painlevé signe là sa seule musique de film, en suivant les conseils de son ami Edgar Varèse. "(Hélène Hazéra, Positif, 1990.)

Résumé : Évocation de la vie et de l’œuvre du poète et marin grec, Nikos Kavvadias, devenu célèbre à vingt-trois ans avec la publication d’un recueil de poèmes. Officier radio, il passe la plus grande partie de sa vie hors de Grèce, sur les océans, échappant ainsi aux cercles littéraires. Il laisse peu de traces, trois livres de poèmes, trois nouvelles et un roman "Le Quart", publié en 1954. Un équipage de marins grecs s’apprêtant à embarquer sur le Madeleine, vieille carcasse rouillée destinée à être vendue quelque part dans le Nord de l’Europe, a accepté de participer au film d'Olivier Guiton, embarqué avec eux pour une traversée de trois mois. Filmés à leurs postes de travail, sur le pont, dans la salle des machines, ou pendant leurs moments de repos, ils disent des poèmes de Kavvadias et interprètent des dialogues extraits du "Quart". La distance entre l’œuvre de Kavvadias et la vie quotidienne des marins est pratiquement inexistante.Le bateau passe au large de Céphalonie, fait escale au Pirée, puis à Marseille, avant de partir pour sa dernière destination en mer du Nord. Toutes ces escales sont l’occasion de rencontrer ceux qui ont travaillé avec Kavvadias, l’ont connu ou croisé. Ces témoignages, ainsi que des photographies et des archives sonores, complètent le portrait de cet écrivain méconnu.

Contenu : Ile. Mords la vie. Colombine, Melusine et Cie. Pas en France. A Kernoa. Petite soeur des rivieres. New York. Ulysse 74. Dans la mer. Berceuse (Au pays ou l'on ne pleure jamais). Ma petite fille de reve. Ma solitaire. La ballade de McDonald. Au chateau des alouettes. La colline aux coralines. Une mandarine. L'atout coeur. Quand l'ecole est finie. Les oiseaux volaient a l'envers. Marie, Madeleine et Suzon

Résumé : La locomotion et la reproduction de l'hippocampe. "A travers l'observation des amours du seul poisson à se mouvoir verticalement, c'est des rapports amoureux que Painlevé parle (il disait que derrière le sujet de tous ses films s'en cachait un autre que lui-même ne découvrait souvent qu'une fois le film achevé). Comme tout syngnathe qui se respecte, le mâle hippocampe nourrit les oeufs que la femelle a déposés dans une poche patricielle. Emotion quand, avec ses allures de dragon d'Uccello (le contraire serait plus juste), l'hippocampe accouche en roulant des yeux en signe de souffrance : encore une des plus belles images de l'histoire du cinéma français, avec celle des accouchements multiples, queues entrelacées [...] soulignés par une musique inégale de Darius Milhaud. Pour des travellings au fond de l'estuaire de la Garonne, David, l'ingénieur des studios Pathé, avait bricolé une Sept (petite caméra qui ne permettait de charger que sept mètres de pellicule) dans un caisson étanche : la première caméra insubmersible mobile. Faut-il dire que "L'Hippocampe" a accouché de tout le cinéma de Cousteau..." (Hélène Hazéra, Positif, 1990)

Contenu : Nocturne. Suite pour piano en sol. Chanson à ma poupée. Naïades au soir. 3 petites inventions. Esquisses. Evocation. Le chant de la mer

Résumé : En embarquant sur un chalutier pour dresser le portrait d'une des plus vieilles entreprises humaines, Véréna Paravel et Lucien Castaing-Taylor témoignent, dans un flot d'images sidérant, de l'affrontement qui engage l'homme, la nature et la machine. Tourné à l'aide d'une dizaine de caméras numériques ballottées au gré du vent et des vagues, sanglées aux corps des pêcheurs, aux cordages du bateau, gommant tout repère, et où la mer et le ciel finissent par se confondre, ce documentaire nous avertit des menaces de la pêche intensive autant qu'il révèle la beauté foudroyante des entrailles de l'océan. Du bruit et de la fureur.

Résumé : Film tourné au bord de la mer dans un camping « chez les pauvres en vacances » : le réalisateur filme un petit groupe d'enfants et d'adultes, des grands-parents, qui viennent depuis plusieurs années passer leurs vacances sur la plage de Quiberville. C'est à la fois une description sensible de l'été, de la mer et de ses plaisirs - pêche, bains, soleil, vent - et une approche de personnages sur lesquels le réalisateur pose un regard tendre et fraternel. Par petites touches, en filmant les minuscules événements des vacances, les jeux, les visages, les silences, le réalisateur a su saisir le sentiment du temps, ce temps suspendu des vacances, mais qui s'écoule tout de même inexorablement. Les gens se racontent simplement. Leurs paroles, leur présence ont une force extraordinaire.

Résumé : Déplacement, respiration, nutrition et reproduction de la pieuvre."Les Amours de la pieuvre nécessiteront plus de dix ans de tournage, dix étés durant. Des orages en série adoucissant l'eau de mer éloignaient les pieuvres des rivages, un coup de froid stérilisait les oeufs, le laboratoire flambait... Scènes de séduction : une pieuvre mûre vampe un jeune timide, qui finit avec précaution par glisser son tentacule copulatoire dans l'orifice latéral de sa comparse. Scènes spectaculaires : la femelle dans son nid, avec les cordons d'oeufs accrochés aux parois qu'elle remue, brasse de ses tentacules. Quelques minutes sur le développement de l'oeuf de pieuvre nécessitèrent des heures et des heures de tournage. Il s'agissait de départager deux écoles de zoologues. L'une disait que les oeufs de pieuvre tournaient sur eux-mêmes dans un mouvement elliptique. L'autre que les oeufs tournaient, mais en se contractant dans un mouvement d'accordéon. Le film établissait que les deux hypothèses étaient bonnes successivement. La musique électro-acoustique de Pierre Henry suit les développements du film séquence par séquence, comme un piano de cinéma muet." (Hélène Haréza, Positif, 1990).

Résumé : A Vattetot-sur-mer (Seine-Maritime), Philippe, le personnage central du spendide film d'Ariane Doublet "Les Terriens" , devenu veuf et venant juste de prendre sa retraite , doit quitter la ferme où il a vécu pendant 45 ans car il n'en est pas propriétaire. Dans l'herbage juste à côté, où ses dernières vaches paissent encore, il fait construire une maison dotée du confort moderne. Ce sont des ouvriers turcs qui bâtissent son nouveau logis qui lui sera livré "clé en mains" par une société industrielle.A travers lui, c'est à l'observation des transformations du mode de vie paysan et à la mutation du paysage de la campagne française qu'invite le film.

Résumé : Douarnenez, cinq cents ouvrières travaillent dans les trois dernières conserveries de sardines. Quel est leur quotidien dans ce port de pêche en crise ?... Un regard respectueux sur un travail difficile..."C'est à Douarnenez qu'on pêche la sardine par milliers par milliers on la porte à l'usine !" A Douanenez, elles sont encore trois cents à travailler dans les trois dernières conserveries de la ville, qui en compta plus d'une vingtaine. Leurs conditions de travail ne sont pas toujours faciles, mais elles font face -c'est de haute lutte qu'elles obtiennent de la direction l'attribution d'une paire de ciseaux- les salaires sont justes pour une activité qui reste saisonnière, mais elles ont du temps libre... Thon, sardine, maquereau, les boîtes défilent : tandis que la caméra observe la routine des chaînes, la cadence et la précision des gestes, jeunes recrues ou ouvrières chevronnées racontent l'ambiance des ateliers, la camaraderie, la vie... dans l'usine et au dehors." extrait du catalogue de Cinéma du réel 2001

Résumé : Chef-d'oeuvre du cinéma vénézuélien et mondial, "Araya" a été tourné en 1957 sur une presqu'île du nord du pays où les habitants vivent de la récolte du sel et de la pêche artisanale, au large de la côte de la mer des caraïbes. A l'instar de l'"Homme d'Aran" de Flaherty ou de "India" de Rosellini auxquels il est parfois comparé, le film fascine toujours par sa force poétique.

Résumé : Les épisodes les plus marquants et tragiques de la guerre qui ravagea l' Asie de 1931 à 1945, se mêlant au deuxième conflit mondial sous le nom de "guerre du Pacifique". Les cinq films sont réalisés à partir de nombreuses images d'archives et des témognages de survivants. "Kwai" évoque la construction des 400 kilomètres de voies ferrées japonaises à travers la jungle thailandaise par des prisonniers anglo-américains qui, pour la plupart, y laissèrent leur vie.Dans "Saïpan", la 5ème flotte américaine du Pacifique s'empare, en juin 1944, de l' île de Saïpan , colonie japonaise à mi-chemin de l' Australie et du Japon, afin d'en faire une base stratégique. L'offensive américaine déclenche un véritable suicide collectif car des centaines de civils se jetèrent dans la mer du haut des falaises."Nagasaki" : après Hiroshima, les Américains firent exploser la deuxième bombe atomique sur la ville de Nagasaki. Dans "Kizu...", il s'agit de l'histoire la plus sombre du Japon impérial : à Harbin, en Mandchourie, dans le camp 731, les Japonais vont procéder à des expérimentations biologiques et médicales sur des prisonniers chinois, russes et probablement américains : ceux-ci sont envoyés pour "traitement spécial"."Tokyo, le jour où la guerre s'arrêta" raconte la capitulation du japon qui doit accepter le désarmement, l'occupation et la démocratisation. En 1945, c'est la signture de l'acte de reddition et la fin de la Deuxième Guerre mondiale.

Contenu : Cette exposition a été mise en ligne par le Centre des Archives d'Outre-mer, Aix-en-Provence. Elle permet de découvrir des documents qui sont conservés dans diverses institutions. Bibliographie, chronologie accompagnent cette riche exposition.

Résumé : Dans une petite ville en bord de mer, au japon, où les traditions shintoistes font partie de la vie quotidienne des habitants, le réalisateur, revenu au chevet de sa grand-mère mourante , lui rend, par ce film, un hommage d'une grande délicatesse et poésie.Le film montre comment la famille vit cette mort et organise des obsèques intimes, en respectant, pourtant dans un Japon ultra-moderne, tous les rites ancestraux que leur rappelle, au besoin, le maître de cette cérémonie traditionnelle.Le film commence et s'achève sur le plan fixe d'une porte "jinja" donnant sur la mer. Ces portes , pour les shintoistes, sont les lieux de passage des âmes.

Contenu : Tombe la neige. La nuit. Les filles du bord de mer. En blue jeans et blouson d'cuir. Le barbu sans barbe. Mes mains sur tes hanches. Pauvre Verlaine. Le ruisseau de mon enfance. F... comme femme. Oui la mer a bercé tant d'amours... A demain sur la lune. Valse d'été. C'est ma vie

Explorer les sujets liés :