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  •    Sujet : ethnologie française
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Résumé : Françoise Héritier est renommée non seulement comme anthropologue, mais aussi par sa présence dans le champ politique et social.Maître de recherches au CNRS, dont elle a obtenu la médaille d'argent, puis Directrice d'études à l'EHESS, elle est élue au Collège de France en 1982 où elle succède à Claude Lévi-Strauss et inaugure la chaire d'étude comparée des sociétés africaines.Elle a toujours associé travail de terrain et réflexion théorique, ce dont rendent particulièrement bien compte ces entretiens filmés. Ses travaux sur la parenté ont nourri la réflexion sur l'accouchement sous x, l'adoption, la procréation médicalement assistée. Engagée dans la lutte contre les discriminations, au premier chef celles contre les femmes, elle a pris part, ces trente dernières années, aux réflexions institutionnelles sur les grands débats de société et a présidé le Conseil national du sida.

Résumé : Ce film est un voyage qui nous emmène du village dogon(Mali) à la grande ville, du sombre indigo accroché aux murs de banco à l'éclat des tissus multicolores pavoisant les rues de Bamako. Il trace en pointillés les similitudes et les différences entre ces femmes artisanes yéli, jam etc.., tant dans l'exercice de leur art qu'au niveau économique et social. Si leur savoir-faire est remarquable, il n'en demeure pas moins que toutes relèvent le même défi : assurer une vie digne à leurs enfants, en essayant, à chaque fois, de soulever le poids, paralysant, des traditions patriarcales.

Résumé : Sont réunis, autour de Jean Rouch, certains de ses propres films, mais aussi certains de ceux de son prédécesseur en pays dogon (Mali), Marcel Griaule, et de ses collaborateurs et amis.

Résumé : Tous les soixante ans, les Dogons de la falaise de Bandiagara (Mali) commémorent l'invention de la parole et célèbrent le culte des morts par les cérémonies du Sigui.

Résumé : Au Mali, dans les falaises de Bandiagara, les jeunes chevriers dogon apprennent les batteries traditionnelles sur les tambours de pierre de leurs ancêtres. Puis ils s'exercent sur les tambours de bois, troncs d'arbre creux qu'ils frappent avec deux baguettes de bois. Devenus hommes, ils battront les tambours de peaux des funérailles. Le film se termine par une danse de funérailles.

Résumé : Film ethnologique tourné entre 2005 et 2012 dans la forêt pluviale du Congo-Brazzaville où vivent depuis toujours les chasseurs-cueilleurs pygmées Aka. La réalisatrice - ethnologue, tout en partageant leur quotidien, recueille leurs récits mythologiques et enregistre les rituels accompagnant les événements forts de leur vie. Un des plus importants est celui de la naissance des enfants, témoins et garants de la persistance de la culture Aka. Car celle-ci est menacée, leurs voisins bantous, qu'ils appellent leurs "maîtres" les considérant et les traitant comme leurs esclaves qu'ils exploitent et vendent à l'occasion, s'appropriant sans vergogne leur domaine vital : la forêt, dont ils revendent des parcelles aux sociétés d'exploitation forestière. Le film se concentre sur le couple formé par Akaya et Kegole qui, bien que mariés depuis longtemps, n'ont pas rencore réussi à avoir d'enfants, les premiers mis au monde par Akaya étant morts-nés, le film s'ouvrant sur les rituels de la naissance , puis sur celui, poignant, de l'inhumation et du deuil du troisième enfant qui conduit la jeune mère, accusée d'être possédée par un esprit mauvais, à un état proche de la folie, tandis que l'entourage du couple pousse Kegole à divorcer. Il n'en fait rien, la santé d' Akaya s'améliore, si bien que son 4ème bébé a survécu. En sera t-il de même de la culture Aka?

Résumé : C'est au cours de trois expéditions le long du fleuve Niger, de 1946 à 1951, que Jean Rouch tourna les six films ici présentés. Mais c'est de la première expédition, qui le vit descendre en pirogue, de la source à la mer, les 4184 kilomètres du fleuve, qu'il rapporta les images de ce premier film "Au pays des mages noirs" tournées chez les Songhaïs du Niger, peuple vivant, à l'époque, de la culture, de la chasse et de la pêche. Les films suivants ("Les Magiciens du Wanzerbe", "Initiation à la danse des possédés"...) sont également presque tous consacrés aux Songhaïs du Niger: magiciens Sohanti de Wanzerbe, danse des possédés, pêcheurs Sorko de "Bataille sur le grand fleuve" qui chassent au harpon les hippopotames, ou les hommes qui font la pluie de "Yenendi'", sauf "Circoncision", tourné dans le village de Hombori au Mali.

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