Recherche simple :

  •    Sujet : film documentaire
  • Aide
  • Eurêkoi Eurêkoi

Documents en ligne : 3220

Voir tous les résultats les documents en ligne

Résumé : Dans "A la Petite Roquette", Marguerite Duras interroge la directrice de la prison pour femmes de la Petite Roquette, aujourd'hui fermée.

Résumé : En Irlande, l'internat de Headfort semble tout droit sorti des livres d'Harry Potter. Excentriques et passionnés, John et Amanda Leyden y forment depuis plus de quarante ans un duo d'enseignants à l'humour so british. Leur mot d'ordre : littérature, mathématiques et rock'n roll ! Ici, on apprend à aimer l'école et à partager autre chose que des résultats scolaires. Mais il est bientôt temps pour le couple vedette de partir à la retraite, peut-être la leçon la plus difficile à apprendre.

Résumé : A côté de la plupart des prisons françaises, il existe, avant et après le parloir, un lieu d'accueil pour les familles de détenus venues rendre visite à leur proche incarcéré. Mais même dans ce lieu d'attente, sorte de sas entre le dehors et le dedans, les règles de la prison sont souveraines et exacerbent les frustrations, les haines et les passions. La réalisatrice a tourné ce film en 2007, dans la petite maison de l'association Ti-Tomm, accolée au mur de la prison pour hommes de Rennes.

Résumé : "Le pédagogue, tout en étant convaincu que tout individu peut apprendre et grandir est aussi convaincu que nul ne peut contraindre un individu à apprendre !" (Philippe Meirieu, Leçon inaugurale de l'Agrégation, Ecole Supérieure des Arts, Bruxelles, 19 septembre 2008.)Depuis 40 ans, Philippe Meirieu se bat pour l'école : penseur, enseignant et militant engagé pour la réforme du système scolaire. Filmé dans un théâtre, ce portrait s'offre le temps d'entretiens en profondeur, rythmés par l'avancée d'un train électrique et la lecture d'une "Lettre à une maîtresse d'école"... Ce que l'on apprend à l'école dessine la société de demain ; la manière dont on l'apprend modèle les futurs citoyens. A travers la personnalité singulière de Philippe Meirieu apparaissent les enjeux fondamentaux de l'éducation." [Source : jaquette]. Philippe MEIRIEU, Leçon inaugurale de l'Agrégation, Ecole Supérieure des Arts, Bruxelles, 19 septembre 2008.

Résumé : La caméra de Mariana Otero filme des moments de vie au Courtil, Institut Médico Pédagogique à la frontière franco-belge hors du commun, où depuis 1984, Alexandre Stevens, psychiatre et psychanalyste forme des intervenants et des cliniciens soucieux de la singularité subjective. L'accompagnement des enfants psychotiques se fait au jour le jour selon une éthique qui vise non à contraindre les enfants mais à aider chacun d'eux à trouver une place dans le monde et dans le langage en étant à chaque seconde à l'écoute de ce qui le constitue comme sujet. Cette éthique en action et en propositions essaie pour chacun d'eux de trouver des solutions particulières, singulières qui pourront aider Allysson, Amina, Evanne, Jean-Philippe, Mattéo... à vivre plus apaisés. S'intéressant aux enfants comme aux thérapeutes Mariana Otero, avec ce film qui semble progresser du tâtonnement vers une sorte de lumière, réussit à ouvrir une brèche dans l'énigme vivante qu'est chaque enfant psychotique et par là-même nous aide à comprendre un peu ce qu'est la folie.

Résumé : Vie et travail du compositeur, saxophoniste, clarinettiste John Zorn. Avec des extraits de concerts : Masada, Naked city, Cobra.

Résumé : Dans la région du lac Naivasha, au Kenya, pullulent les fermes horticoles produisant chaque année pour plus de 400 millions (chiffres de 2009, indiqués dans le film) d'Euros de fleurs vendues ensuite aux enchères aux Pays-Bas, employant , dans le pays de production, plus de 300 000 personnes.Mais à quel prix le Kenya est-il un des maillons les plus productifs de la filière de l'industrie mondialisée des fleurs? Sur place, en 2009, le réalisateur découvre des conditions de travail d'un autre âge : la plupart des directeurs et chefs d'équipe sont des hommes, la plupart des employés sont des femmes, travaillant de 7 h du matin parfois jusqu'à 11 h du soir, recrutées pour leur jeune beauté , et contraintes de coucher avec leur supérieur si elles veulent garder leur emploi, quant elles ne sont pas licenciées dès qu'elles tombent malades, contaminées par les produits chimiques employés sans protection dans les fermes. Les petits pêcheurs locaux souffrent de la pollution du lac dans les eaux duquel se déversent directement les eaux usées des fermes, faisant se raréfier les ressources halieutiques, tandis que les employés revendicatifs de l'application de la législation du travail ne voient pas leurs contrats renouvelés et sont contraints soit au chômage non indemnisé, soit à la pratique de rudes travaux dans le secteur informel, comme celui de founir de l'eau (du lac!) , transportée en bidons à dos d'ânes, à la population locale, l'Etat n'assumant pas ce devoir de service public.Et , comme l'indique un des employés , ce ne sont pas les films publicitaires tournés par les sociétés propriétaires des fermes pour attirer les touristes et les investisseurs qui rendront compte de cette réalité cachée. Le film , lui, y parvient admirablement.

Explorer les sujets liés :