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Résumé : Peintre de l'Ancien Régime, cet artiste a étudié à l'Académie de France à Rome, Italie, de 1735 à 1740. En 1741, il est agréé à l'Académie à Paris, reçu académicien en 1742 et élu professeur en 1748. Il répond aux nombreuses commandes d'amateurs, des Bâtiments du roi et de l'Eglise. Avec le marquis de Marigny et le comte d'Angiviller, il exerce une forte influence sur les artistes de son temps.

Résumé : S'il ne fait plus aucun doute que le régime de Vichy était demandeur d'une collaboration avec l'occupant, l'implication personnelle de Hitler dans cette relation a été largement occultée par les historiens. Or, comme le prouvent ses Propos, il était obsédé par cette France vaincue rapidement. Une conquête encombrante mais dont il avait un besoin vital pour nourrir l'effort de guerre allemand  : il s'agissait de la contrôler avec peu de personnel, de la mettre au travail et de la piller, en tendant la corde à l'extrême sans la casser.Biographe de Hitler, François Delpla se concentre ici sur la relation particulière entre les deux hommes, détaillant le rôle paradoxal du Führer dans le maintien de Pétain, contre vents et marées, le maréchal s'étant mué en professeur de résignation.La correspondance de Hitler avec le maréchal, les comptes rendus de ses rencontres avec lui, Laval et Darlan, les directives données à Abetz et à d'autres intermédiaires sont passés au crible à partir de sources en grande partie nouvelles. L'auteur les inscrit dans une perspective de longue durée en considérant la place de la France dans le projet nazi et les moyens mis en œuvre dès 1933 pour la soumettre définitivement. Quant à Pétain, plus soucieux d'honneur et d'intérêt national qu'on ne le dit souvent, il se débat avec impuissance dans les pièges et les ruses d'un homme à tous égards plus fort que lui.Une vision scientifique renouvelée non seulement de la France des « années noires », mais de Hitler et du IIIe Reich.  Ancien élève de l'École normale supérieure, docteur en histoire et habilité à diriger des recherches, François Delpla étudie depuis trente ans le Troisième Reich et la Seconde Guerre mondiale. Il a publié une biographie de Hitler (Grasset, 1999) et la première édition scientifique de ses Propos intimes et politiques (Nouveau Monde éditions, 2018). 

Résumé : Sous le Consulat, la Monnaie de Paris devint le centre des ambitions du Premier Consul en matière monétaire. Sa venue au quai de Conti le 21 Ventôse an XI (12 mars 1803) fut un des temps forts de l'histoire du Franc germinal. Le personnel scientifique et technique, les artistes et artisans qui évoluèrent dans cet atelier, érigé sous l'Ancien Régime, conjuguèrent leurs talents pour produire un monnayage exceptionnel dans le but ultime de construire une France nouvelle. L'ouvrage se décline en cinq focus : Le premier met en lumière les principaux artistes graveurs qui ont travaillé sous la direction de Dominique Vivant Denon. Le deuxième aborde l'évolution stylistique de l'effigie de Napoléon Bonaparte sur ses monnaies et médailles, pour en comprendre l'importance du point de vue de la propagande impériale. Le troisième se concentre sur la figure héraldique et symbolique de l'Aigle impérial. Le quatrième révèle l'importance diplomatique des visites de souverains et des membres de la famille de Napoléon Ier à la Monnaie de Paris. Enfin le cinquième met en scène la création de l'ordre de la Légion d'honneur et la manière dont l'art de la médaille illustra son impact sur la société de l'époque.

Résumé : Parmi ces « foutus curés qui ont fait la Révolution », l'abbé Grégoire se révèle comme l'une des personnalités les plus originales de cette période qu'il traversera sans jamais renoncer à sa foi et à son rêve de bonheur pour l'humanité. En un temps où la religion subit les attaques les plus virulentes, le curé lorrain se rallie à l'idéal révolutionnaire et y associe le message évangélique, qu'il conçoit comme expression d'un même programme d'égalité et de fraternité. Il échappera à l'obscurité d'une carrière ecclésiastique provinciale en devenant député aux États généraux de 1789, ralliant rapidement le tiers état, membre de l'Assemblée constituante puis de la Convention, évêque de Loir-et-Cher enfin – huit ans d'exaltation révolutionnaire qui précèdent une longue retraite de trente années. Défenseur des Juifs, anti-esclavagiste, partisan du suffrage universel masculin, il est de tous les combats humanistes visant à abattre les barrières entre « les hommes de toutes les couleurs » et entre les religions. Celui que Napoléon nomme « Tête de fer » devient à la fin de sa vie sénateur et comte d'Empire. Il meurt en 1831, au début de la monarchie de Juillet, sans jamais s'être renié.Reconnu par la République comme un Juste, l'abbé Grégoire a retrouvé les feux de l'actualité en 1989 avec l'entrée de ses cendres au Panthéon et demeure le porteur d'un idéal de fraternité toujours actuel.Conservateur général honoraire du Patrimoine, Françoise Hildesheimer est spécialiste de l'histoire politique, religieuse et sanitaire de l'Ancien Régime. Elle a notamment publié les biographies de Richelieu (Flammarion, rééd. 2021) et de Descartes (Flammarion, 2010), ainsi que Des épidémies en France sous l'Ancien Régime (Nouveau Monde, 2021).

Résumé : Considérée comme un espace architectural, pédagogique, politique et social, la cour de récréation est étudiée par une vingtaine de chercheurs aux spécialistés variées (sciences politiques, histoire, sciences du langage, culture architecturale, science de l'éducation, géographie, sociologie). Parmi les sujets abordés : l'architecture des cours de récréation au 19e et 20e siècles, les cours d'écoles pré-primaires en Indedu Sud, la mixité dans les cours de récréation, la cour de récréation dans le cinéma français. (source : Archiscopie). La 4e de couv. indique : "Depuis plusieurs siècles, les élèves disposent d’un lieu particulier pour se détendre et pour jouer quand ils ne sont plus en classe : la cour de récréation. Cet espace, dans lequel nous sommes tous passés, est devenu tellement banal qu’on oublie qu’il a lui aussi une histoire. Dans cet ouvrage, les meilleurs spécialistes nous éclairent sur ce qui se joue dans les cours de récréation du XVIe siècle à nos jours. Historiens, sociologues, anthropologues, géographes ou pédagogues nous rappellent qu’en France, en Inde ou au Québec, les cours ont été pensées par les architectes et intégrées dans les réflexions et les pratiques pédagogiques. La cour est aussi un formidable espace social où les enfants se forment à la vie collective et où pénètrent les débats qui agitent la nation, comme ceux sur la mixité, les signes religieux ou la violence. C’est bien sûr un espace culturel spécifique, celui où se transmettent, de génération en génération, des cultures enfantines. Celles-ci doivent parfois lutter contre les représentations et les réglementations des adultes, qui peuvent les menacer. La littérature, la peinture, le cinéma se sont approprié cet espace. La riche iconographie de cet ouvrage donne à voir les multiples représentations de la cour de récréation et accompagne des textes documentés et accessibles à un large public. Le colloque qui l’a précédé s’est tenu à l’abbaye-école de Sorèze, lieu majeur d’éducation pendant trois siècles. Un texte de 1786 nous dit même que c’est dans la cour, loin des parents et des enseignants, que se formaient les caractères."Sommaire Avant-propos. La cour de récréation par Caroline Barrera, maître de conférences en histoire, institut national universitaire Champollion / FRAMESPA et Rémy Cazals, professeur émérite d’histoire, université Toulouse-Jean Jaurès / FRAMESPAL’architecture des cours de récréation par Anne-Marie Châtelet, professeure d’histoire et de culture architecturales, école nationale supérieure d’architecture de Strasbourg / ARCHE université de StrasbourgLa cour de récréation des lycées du XIXe siècle : entre vitrine d’établissements d’excellence et contraintes urbaines par Solenn Huitric, doctorante en histoire de l’éducation, école normale supérieure de Lyon / LARHRALa cour de récréation, sujet de carte postale (1900-1930) par Jean-Claude Lescure, professeur d’histoire contemporaine, université de Cergy-Pontoise / AGORALa cour de récréation révolutionnée (de la fin de l’Ancien Régime à l’Empire) par Côme Simien, doctorant en histoire moderne, université Blaise-Pascal de Clermont-Ferrand / CHECÉloge de la récréation dans le Dictionnaire de pédagogie (1882-1887) par Patrick Cabanel, historien, directeur d’études, École pratique des hautes études / GSRLDans la cour, hors la cour, entre contraintes et libertés éducatives par Hervé Terral, professeur de sociologie, université Toulouse-Jean Jaurès / LISSTLa cour de récréation des manuels d’apprentissage de la lecture (1880-1980) par Pierre Boutan, maître de conférences honoraire en sciences du langage, faculté d’éducation / université de Montpellier / DIPRALANGLa cour de récréation dans les pratiques Freinet par Ségolène Le Mouillour, maître de conférences en sciences de l’éducation, université catholique de l’Ouest / PESSOALa cour de récréation, lieu d’expression politique par Céline Piot, docteure en histoire, ESPE d’Aquitaine / CEMMCLa cour de récréation au Québec et les politiques publiques par Jean Bernatchez, professeur en sciences politiques, université du Québec / APPSOLes cours d’écoles pré-primaires en Inde du Sud par Émilie Ponceaud-Goreau, doctorante en géographie, université de Bordeaux III / PASSAGESL’apprentissage de la civilité dans les cours des collèges et des pensionnats du XVIe au XVIIIe siècle par Guy Astoul, professeur agrégé honoraire d’histoire, FRAMESPALa mixité dans la cour de récréation, un long cheminement par Anne Verdet, maître de conférences en sociologie, université d’Orléans / CEPOCLa cour de récréation et le genre dans la littérature de la Belle Époque par Fabien Knittel, maître de conférences en histoire contemporaine, université de Franche-Comté / LSHPar quoi la récréation est-elle menacée ? Représentations d’adultes, pratiques enfantines par Julie Delalande, professeure en sciences de l’éducation, université de Caen Normandie / CERSEPar quoi la récréation est-elle menacée ? Représentations d’adultes, pratiques enfantines par Yan Bour, docteur en anthropologie, université Nice Sophia Antipolis / LAPCOSLa cour de récréation dans le cinéma français. De l’espace partagé au lieu de pouvoir par Michel Cadé, professeur émérite, université de Perpignan Via Domitia, président de la Cinémathèque Euro-régionale – Institut Jean-VigoLa cour de récréation à l’écran. Une école de liberté ? par Yohann Chanoir, docteur en anthropologie, université Nice Sophia Antipolis / LAPCOSConclusions. De la cour aux cours de récréation par Antoine Prost, professeur émérite d’histoire, université de Paris I / Centre d’histoire sociale du XXe siècle

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