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Résumé : Une étude des fondements historiques et religieux de l'idéal de pureté, thème partagé par les juifs et les chrétiens d'Espagne à la fin du Moyen Age. L'analyse de sources latines, hébraïques et vernaculaires met en lumière la manière dont ce concept perdure et évolue, aboutissant à une déformation de sa signification et à un usage discriminatoire envers les non-chrétiens du royaume. ©Electre 2020

Résumé : S'appuyant sur les sources latines, italiennes ou romanes, l'auteur analyse le célèbre cycle de fresques connu sous le nom de Il buon governo peint par Lorenzetti dans la salle du conseil du palazzo publico à Sienne. C'est ainsi le portrait de la société italienne du XIVe siècle qui est retracé en mettant l'accent sur l'art de gouverner.

Résumé : Présente les différentes écritures méditerranéennes, européennes et africaines, puis analyse et compare des signes d'écriture de type géométrique et fournit un historique des lettres latines en remontant à plusieurs millénaires avant Jésus-Christ. A contre-courant de l'explication courante, l'auteure se demande si ce n'est pas de l'écriture libyco-berbère qu'est né l'alphabet phénicien ancien.

Résumé : La satire, peut-être plus que d'autres formes littéraires, profite considérablement de la renaissance de la culture et des lettres gréco-latines qui marque le XVIe siècle. Lucilius, Perse, Horace, Juvénal et Lucien de Samosate deviennent les principaux modèles à suivre des humanistes. La satire est sans aucun doute la forme d'expression par excellence du syncrétisme de la Renaissance.

Résumé : Dictionnaire bilingue portant sur le parler des Ntifa dont l'aire linguistique se situe au Maroc sur le contrefort du Haut-Atlas, au nord de la source de l'oued Sous. Ce dialecte, l'un des plus connus parmi les parlers berbères, se prête particulièrement aux comparaisons avec les autres dialectes berbères. Une attention particulière a été portée aux emprunts à l'arabe et aux langues latines.

Résumé : La première partie étudie la diffusion de l'"Iliade" et de l'"Odyssée" en Europe en identifiant et en analysant les éditions, les traductions latines et les commentaires qui sont parus de 1473 à la fin du XVIe siècle. La seconde se concentre sur la réception d'Homère en France où G. Budé et J. Dorat, influencés par son esthétisme et sa philosophie, ont inspiré des générations d'écrivains.

Résumé : Etude sur l'intégralité des 74 contes de ¤¤La vie des Pères¤¤, collection de plus de 30.000 vers dévots rédigés de 1230 aux années 1250 en milieu cistercien puis dominicain. Ils sont analysés au regard de leurs sources latines permettant de cerner les contours génériques du conte religieux au XIIIe siècle, puis mis en parallèle avec d'autres textes au-delà des genres et des époques.

Résumé : DVD 1 : Aux sources de notre langue (26 mn) . Ce premier volet invite à un voyage aux sources celtiques, germaniques et latines de notre culture régionale. DVD 2 : L'émergence de l'écrit (26 mn) . Ce deuxième volet invite à suivre l'émergence de la langue régionale écrite. DVD 3 : Ecrire le présent, dire l'avenir (52 mn) . Ce troisième volet couvre la période contemporaine marquée par les vicissitudes de la langue face à l'histoire.

Résumé : En vingt leçons, ce manuel propose un parcours à travers la langue, la littérature et la civilisation latines, qui intéressera tant les littéraires que les historiens ou les philosophes. Il s'adresse aux grands débutants, désireux de commencer l'apprentissage de la langue latine dans le supérieur, à l'université comme en classes préparatoires aux grandes écoles. Des textes authentiques et de nombreux exercices permettent la mise en pratique des connaissances acquises lors des leçons. Pour certains exercices, un corrigé ou des indices sont fournis afin de permettre le travail autonome de l'étudiant. Enfin, les diverses leçons sont l'occasion d'aborder l'histoire de Rome et de la latinité à travers les siècles, depuis la fondation de Rome jusqu'à la période médiévale.

Résumé : Pourquoi arrive-t-il que, dans les inscriptions latines d’époque républicaine, le mot populus soit employé pour désigner l’Aerarium ? C’est de cette question qu’est né ce livre consacré au Trésor Public romain entre le Ve siècle av. n. è. et l’époque césarienne. L’enquête porte, d’une part, sur les rouages d’un service administratif indispensable au fonctionnement de la première puissance méditerranéenne. Les relations de la cité romaine avec les publicains, les mouvements de fonds publics, les procédures institutionnelles relatives à la prise de décision financière et à sa mise en œuvre, les activités concrètes des questeurs urbains et de leurs appariteurs montrent la singularité d’une administration républicaine dont l’historiographie a souvent eu tendance à minorer l’importance. D’autre part, l’étude conduit à s’interroger sur le rôle, qu’au cours des siècles, l’idée de dépense publique légitime a joué dans la progressive structuration de la res publica, l’élaboration de la notion de biens communs et la définition de la place que le peuple devait occuper dans la cité.

Résumé : Les sociétés médiévales accordent une grande importance à la culture de l'obéissance, au respect de la tradition et au principe hiérarchique. Mais elles sont aussi régulièrement secouées par toutes sortes de rébellions, de dissidences ou de révoltes, voire par de véritables révolutions. Ces différentes figures de la contestation ont constitué un domaine de recherche majeur dans les années 1960-1970, porté par les vents de l'époque, avant d'être délaissés ou traités de façon plus parcellaire. À l'heure où les nouvelles recherches sur l'hérésie revisitent les rapports entre désobéissance et rébellion, où l'histoire intellectuelle réexamine la destinée de figures contestataires et où les grandes révoltes paysannes, urbaines ou nobiliaires suscitent un net regain d'intérêt, il convenait de rouvrir le dossier, sans nécessairement évoquer l'anniversaire de la Jacquerie paysanne de 1358, ni l'actualité brûlante du mouvement des « gilets jaunes ». C'est ce qu'a entrepris le XLIXe Congrès de la Société des historiens médiévistes de l'Enseignement supérieur public, réuni à Rennes en 2018. Les études rassemblées dans ce volume explorent ainsi tour à tour la manière dont les sociétés latines, byzantines ou musulmanes du Moyen Âge ont dit et défini les contestations, les motifs variés qui animaient dissidents ou révoltés, et les formes que prit la remise en cause de l'ordre établi, avant de s'interroger sur la fin des contestations et leurs effets par-delà leur dénouement souvent tragique et leur mémoire dissonante.

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