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Contenu : Chelsea. City federal building. Magnolia trees. Sea star. Heat lightning. Angels in science fiction. Wolf in rabbit clothes. South dakota. Oporto-madrid blvd. Lonely love song. Easter bunny. Marigold

Résumé : En 1995 Carlos Saura a réalisé un film intitulé Flamenco où il montrait l'évolution d'un style musical et chorégraphique. Avec Flamenco flamenco, tourné en 2010, il présente à nouveaux les grands maîtres (Paco de Lucia, Manolo Sanlucan, José Mercé...) et les nouveaux talents (Sara Baras, Miguel Poveda, Israel Galvan...), les apports depuis quinze ans dans les différents styles de musiques, chants et danses. Les séquences consacrées aux artistes s'enchaînent selon un scénario : "Nous avons utilisé avec Isidro Muñoz deux éléments narratifs originaux : un voyage au coeur de la vie du flamenco, et la lumière. On parcourt à travers la musique le cycle de la vie d’un homme : on commence avec la naissance (nana flamenca) dans la lumière puissante de l’après-midi ; l’enfance (les influences andalouse et pakistanaise des origines), dans les tons jaunes des soleils couchants ; l’adolescence dans la lumière du crépuscule et avec les palos (Note : genre de flamenco) les tons les plus vifs et solides. Et progressivement, nous entrons dans l’âge adulte (le chant sérieux), dans les bleus intenses, les indigos, les violets. La zone de la “mort” (j’entends par là un espace de sérieux, d’inviolabilité et de recueillement), est pratiquement en noir et blanc, tirant vers le vert de l’espérance qui nous guide vers une nouvelle renaissance basée sur les propositions d’avenir que les jeunes interprètes nous proposent." (C. Saura, extrait du dossier de presse)

Contenu : Il cantico de tre fanciulli : notte amica, oblio de mali. Arminio : cadro ma qual si mira. Siroe re di persia : Sorte mia tiranna (La). Tito Vespasiano : opprimete i contumaci. Olimpiade (L') : siam navi all'onde algenti. Ipermestra : ma rendi pur contento. Concerto pour mandoline en sol majeur. Il trionfo di Clelia : de folgori di Giove. Spartana generosa (La) : se un tenero affetto. Il trionfo di Clelia : dei di Roma, ah, perdonate. Tigrane : solca il mar e nel periglio. Tito Vespasiano : vo disperato a morte

Résumé : Lorsque ce deuxième épisode débute, la barbe d'Edouard a poussé et la prochaine chose à faire est encore loin dans le temps : aider Alain Juppé à gagner la primaire de la droite et du centre, prévue en novembre 2016. Fidèle du maire de Bordeaux depuis qu'il a travaillé à ses côtés à la création de l'UMP, Edouard fait partie du premier cercle. Il est l'un des porte-parole du candidat, et profite du temps qu'il passe à Paris pour multiplier les déjeuners avec des journalistes, les interventions sur les chaînes d'infos, les interviews... Il gagne en notoriété, il passe des caps, comme le dit son meilleur ami, qui est aussi le directeur de la campagne de Juppé, Gilles Boyer. Ensemble, ils ont écrit un roman policier se déroulant dans le monde politique, "Dans l'ombre", dont la publicité disait : "Le patron allait être élu. Tout avait été préparé. Et puis..." Mais à l'approche du scrutin, tous les clignotants sont au vert, Juppé est le favori. Edouard peut sérieusement espérer franchir une nouvelle étape de sa carrière et, qui sait Entrer dans un prochain gouvernement.

Contenu : Estas / feat. Sandra Rumolino. Minimal tango. Apenas un adios. Milonga el acecho. Désideratum motus. Arena negra. T et variations / feat. Tomas Gubitsch. Contragolpe. Preludio para dos suenos

Contenu : Pa gadé. Mendé. Kon a lambi. Ron Jack. love will win. Zero gravity. Ami bongo. First light. New padjanbel. Tandé

Contenu : Motete 'prudentes virgines' / Francisco Guerrero. Misa 'prudentes virgines' / Alonso Lobo. Motete 'beata dei genitrix' / Francisco Guerrero. Misa 'beata dei genitrix' / Alonso Lobo

Contenu : City zoo. Gimme gimme. Black butterfly. Take a walk. All I know. Politic man. End of the road. Broken robots. I pray. Hard time. Free as a bird

Résumé : Un mélange détonnant d'histoire, d'art et de crimes qui explore la façon dont une nouvelle génération d'auteurs latino-américains a trouvé dans le roman noir la forme idéale pour confronter leur pays aux tourments de leur passé et présent. Du Mexique à l'Argentine, de Cuba au Chili en passant par le Pérou, leurs histoires personnelles nous servent de guide pour arpenter l'histoire du continent et de faire connaître au public international l'une des formes de création littéraire les plus dynamiques et inventives. "Latin Noir" raconte comment les romanciers se sont emparés du roman policier pour évoquer les heures sombres de l'Amérique latine. Nous partons sur les traces de cette nouvelle génération d'auteurs qui, sous couvert de polar, dénoncent la dictature, la corruption, la criminalité, la globalisation en nous offrant un point de vue inédit sur les sociétés dans lesquelles ils vivent. Le film nous entraîne dans cinq villes du continent pour y rencontrer des auteurs célèbres de roman noir : Leonardo Padura à La Havane, Luis Sepulveda à Santiago, Paco Ignacio Taibo II à Mexico, Santiago Roncagliolo à Lima, Gulljermo Orsi et Claudia Pineiro à Buenos Aires. ̕travers leurs récits et leurs personnages romanesques, ils nous racontent l'histoire récente de l'Amérique du Sud et les transformations radicales qui l'ont affectée.

Résumé : Le film va à la rencontre d'entrepreneurs et de travailleurs qui ont choisi de s'investir dans des entreprises où la finalité n'est pas le seul profit, mais la réelle satisfaction de tous : gestionnaires, travailleurs et clients, en privilégiant, à la place, comme valeur, le projet de vie que chacun peut en retirer. Cette démarche relève d'une voie économique en rupture tant avec le capitalisme hégémonique qu'avec le système qui a pu exister dans l'ex-URSS, on l'appelle "troisème voie", il s'agit de l'économie sociale. Le film enquête dans plusieurs pays et dans tous les secteurs : industrie, commerce, artisanat, services, agriculture etc...Partout les maîtres mots : primauté du travail sur le capital (répartition équitable des bénéfices, et réinvestissement du surplus dans l'entreprise), démocratie participante, respect. Le film se clot sur un exemple de vrai bonheur économique : celui d'un garage dont la gestion selon ces critères de l'économie sociale satisfait à ce point les clients que pour permettre au garage de s'agrandir , ces derniers n'ont pas hésité à 'investir collectivement, à fonds perdus (mais avec toujours à leur disposition le savoir-faire et les conseils bienveillants qu'ont toujours prodigué à leur clientèle-réparatrice-amateur les employés du garage) la somme qui manquait à cet effet.

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