Recherche simple :

  •    Sujet : mimésis
  • Aide
  • Eurêkoi Eurêkoi

Documents en rayon : 46

Voir tous les résultats les documents en rayons

Résumé : Ce dossier étudie les domaines qui se sont réapproprié le concept de "mimesis" (théâtre, récit, arts visuels). Les différents articles donnent un aperçu de l'usage de ce concept à différentes époques et éclairent les enjeux qui se cristallisent autour de cette notion dans l'espace germanique. ©Electre 2015

Résumé : La mimésis n'a cessé de subir les assauts de la critique moderniste depuis la fin du XIXe siècle. Le rejet du principe d'imitation s'est imposé au rang de dogme moderniste. Mais la mimésis ne cesse de revenir, s'invitant avec insistance au coeur des débats contemporains. Malgré un lourd passif, elle demeure, nous disent les auteurs, un incontournable lieu de pensée.

Résumé : Le philosophe interroge la compréhension de l'art et se demande pourquoi toute oeuvre d'art est systématiquement assimilée à une représentation. Selon lui, il est nécessaire de se délivrer du désir représentatif et consentir au désir d'immensité. Il étaye ses propos à partir des théories aristotéliciennes. ©Electre 2015

Résumé : La littérature dit-elle quelque chose du réel ? De Platon à G. Genette, les textes réunis ici portent sur cette question, théoriquement définie par le terme Mimèsis depuis Aristote, et touchent ainsi au statut même de la littérature. ©Electre 2020

Résumé : Qu'est-ce que la mimésis ? Les auteurs veulent démontrer que cette question ne mène nulle part. Car il s'agit d'une structure complexe dans laquelle se rejoignent toute une série de conditions comme la connaissance de l'action, les systèmes de symboles et les médias... En retraçant son histoire, ils montrent qu'elle ne se limite pas au domaine esthétique et s'étend au monde social.

Résumé : La littérature dit-elle quelque chose du réel ? De Platon à G. Genette, les textes réunis ici portent sur cette question, théoriquement définie par le terme Mimesis depuis Aristote, et touchent ainsi au statut même de la littérature.

Résumé : Introduction à la pensée de Kendall L. Walton et commentaire critique de son oeuvre à travers l'étude de la contribution du philosophe de l'art aux théories de la représentation. L'auteur propose une relecture de son livre Mimesis as make-believe à l'aune de la philosophie contemporaine et aborde ses idées en les confrontant à celles de Nelson Goodman, son adversaire de l'époque. ©Electre 2021

Résumé : Cette étude porte sur l'imitation dans ses différentes acceptations et se propose d'en étudier les variations, à travers par exemple la mimèsis, puis l'imitation de Jésus-Christ. L'idée se poursuit de la mimèsis platonicienne puis aristotélicienne jusqu'aux développements modernes chez François de Sales et Pascal.

Résumé : Issues d'un colloque, ces contributions font le point sur la question du phénomène de recyclage d'images aux XIXe et XXe siècles. Présentation de cas, réflexions théoriques et méthodologiques et inventaire des différentes opérations constituant le recyclage et ses fonctions.

Résumé : Généalogie d'un art littéraire né dans l'Antiquité, l'autofiction, incarné au fil des époques dans des oeuvres apparemment aussi dissemblables que celles de Dante, Rabelais, Rousseau, Balzac, H. Miller, W. Gombrowicz, P. Roth... Loin de l'autobiographie et du roman personnel, l'autofiction se décline comme un genre fondé sur la personnalité et sublimant l'expérience de l'auteur.

Résumé : Une monographie sur l'imaginaire des métiers d'art et les perspectives sociologiques et philosophiques qu'ils ouvrent quant au rapport aux objets. Les différentes matières, la gestuelle, le travail et la vie des oeuvres sont autant de thèmes examinés. ©Electre 2022

Résumé : Suite de l'étude sur les relations entre la création littéraire et les autres médias. Ce document analyse la notion de dispositif, une matrice interactionnelle générant chez le lecteur ou le spectateur une lecture et une compréhension spécifique. Un aperçu des techniques de la représentation liées à une époque donnée. Des parcours multiples de lecture, entre textes et images.

Résumé : Aristote attribue à la poésie la faculté de représenter la réalité par l'intermédiaire du récit : on comprend le monde en le racontant. Cette doctrine a été reçue, modifiée, pliée à de nouvelles exigences au cours des siècles. Comment les préoccupations de l'Antiquité ont-elles donc survécu à l'âge moderne ?

Résumé : Dinh Q. Lê conçoit des installations en utilisant des photographies vernaculaires et produit des images hybrides en mêlant divers registres de photographies. Il utilise une technique de tissage d’images inspirée des gestes de sa tante nattant des tapis. Tressant à son tour des images, Dinh Q. Lê associe deux registres de représentation et produit une image nouvelle, qui est une combinaison des deux premières, dont il trouble irrémédiablement la vision.

Résumé : Etudes sur les représentations mentales (connaissances, idéologies, émotions, discours narratif, etc.) des écrivains et de leurs lecteurs à travers l'analyse des représentations du monde dans les textes de fiction.

Résumé : Cette étude désarticule l'assimilation traditionnelle entre vraisemblance et illusion en montrant qu'au XVIIIe siècle, imitation parfaite et illusion parfaite ne sont pas équivalentes. L'oeuvre vraisemblable vise moins à procurer une illusion totale de vérité qu'à mettre en valeur l'artificialité de l'art. De cette façon, cette période forme le fondement de l'esthétique moderne.

Résumé : À une époque où le romantisme met en valeur le sentiment de la nature et renouvelle la représentation du paysage, comment peut-on définir le lien entre Eugène Delacroix et la nature ? Il a peint des fauves et des fleurs, mais se voulait avant tout peintre d'histoire, et ses écrits comme ses œuvres témoignent d'une certaine ambivalence. S'il prend plaisir aux promenades dans la campagne, il n'expose pas ses rares paysages. Il multiplie les croquis précis sur le motif, mais laisse une large place à l'imagination dans ses tableaux. Surtout, le passage du dessin d'après nature au tableau dépend le plus souvent du travail effectué dans l'atelier. S'il ne peint pas en ayant les animaux ou les paysages sous les yeux, c'est qu'il ne cherche pas à donner à voir une représentation fidèle de la nature. Peintre d'histoire, il effectue un véritable travail intellectuel de composition à partir de sources différentes : ses propres études et ses souvenirs, mais aussi les réminiscences des œuvres des artistes qu'il admire, comme Géricault ou Gros pour les chevaux, Rubens pour les combats de fauves… Catalogue de l'exposition qui se tiendra au musée national Eugène-Delacroix du 16 mars au 27 juin 2022, Delacroix et la nature montre le travail de Delacroix en présentant ses œuvres et celles de certains des artistes qui ont pu l'inspirer, mais aussi en les confrontant au réel grâce à des planches et des animaux naturalisés de la maison Deyrolle. Après une section introductive, l'ouvrage distingue deux points de vue : regarder la nature (études de paysages, d'arbres, de fleurs, d'animaux…) et peindre la nature (le paysage comme décor, l'animal mis en scène, les créatures fantastiques et hybrides). Sous la direction de Claire Bessède, directrice du musée national Eugène-Delacroix à Paris. Textes de Claire Bessède, Francine Campa, Stéphanie Deschamps-Tan, Thierry Laugée, Marie-Christine Mégevand et Lyne Penet.

Résumé : Une réflexion théorique et une illustration des thèses de l'auteur sur l'importance du corps dans les constructions sociales, nées lors de processus interactionnels qui font intervenir les rituels, la mimésis sociale et la performativité.

Explorer les sujets liés :