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Contenu : Issu du Centre de documentation juive contemporaine, créé en 1943, le Mémorial de la Shoah inauguré en janvier 2005, est à la fois un musée, un lieu de mémoire, un centre de ressources et un outil pédagogique pour l'enseignement de l'histoire de la Shoah.

Résumé : ̕Iasi, quatrième ville de Roumanie, du 28 juin au 6 juillet 1941, près de quinze mille Juifs furent assassinés lors d'un effroyable pogrom. ̕Iasi, il n'y avait ni chambre à gaz, ni four crématoire, mais tout le reste était là : la terreur, les humiliations, les wagons plombés, la famine, les exécutions publiques, la haine. Les ordres venaient d'en haut, et ils ont été appliqués avec enthousiasme. Pendant plus de soixante ans, les gouvernements communistes successifs ont tout fait pour que ce pogrom sombre dans l'oubli. Il fallut attendre 2004 pour que l'Etat roumain admette pour la première fois sa responsabilité directe. Des excuses officielles du gouvernement furent enfin présentées à la communauté juive... De ce massacre, il ne reste rien, pas le moindre bout de film, juste quelques photographies, la plupart prises par des soldats allemands qui les envoyèrent à leur famille en guise de souvenir de Roumanie. Et une poignée de témoins, qui étaient enfant en 1941. Les derniers survivants racontent.

Contenu : Regroupe divers textes intégraux, références bibliographiques et ressources Internet sur le génocide nazi et sa négation.

Résumé : A Belzec, village situé au Sud-Est de la Pologne, fut construit par les nazis le premier des trois camps d'extermination (les autres étant Treblinka et Sobibor). Les Juifs exterminés venaient de Cracovie, Lublin, Lvov, d' Allemagne, d'Autriche et de Tchécoslovaquie. Ce camp fonctionna de mars à décembre 1942 puis devant l'avancée des Russes, il fut entièrement détruit par les Allemands. Toutes traces furent volontairement effacées. Les témoignages (faits en 1946) par les deux seuls survivants "arbeitsjuden" qui ont travaillé dans le camp et aujourd'hui décédés, Rudolf Reder et Haïm Hirszman, alternent avec ceux des actuels habitants de Belzec. Près du camp de Belzec, une petite fille juive fut recueillie par une villageoise qui la cacha pendant vingt mois dans une cavité recouverte par des bûches de bois.

Contenu : Moje Rece = Mes mains. Ani Maamin = J'attend le Messie. Wo das Lager steht = Là ou il se dresse le camp. Moyshe'lech shloime'lech. Tancz Dziewczyno! = Danse, jeune fille. Es brent = Ca brûle. Song von der kuhle = Chanson du ventre creux. Erev from Kippur = Le soir de Kippour. Spalona Matka = La mère brûlée. Die exekution. Zog nit keinmol = Ne dis jamais : c'est mon dernier chemin. Kartoschsky = Des patates !. Shtiler-shtiler = Silence, silence !. Judischer Todessang = Requiem juif. Dos yiddishe kind = L'enfant juif. Ukrzyzowany = Le crucifié 1944. Die Lebende Steine. Nizkor = Souvenons nous. Was uns auch begegnet hier = Ce que nous avons trouvé ici

Résumé : Jacques Zylbermine est un survivant. En août 1943, à 14 ans, il est arrêté avec ses parents et ses trois soeurs. Déporté à Auschwitz III, il devient le matricule 157279. Deux ans plus tard, libéré par l'armée américaine, il est le seul survivant de sa famille. Agé de 86 ans, il continue à témoigner auprès des jeunes dans les collèges et lycées. Le film le suit dans son voyage de mémoire, à Drancy, Auschwitz et Buchenwald.

Résumé : Témoignages de quatorze survivants juifs, arrêtés en france puis déportés dans le camp d'Auschwitz (1942-1944). Ils racontent l'enfer au quotidien, la peur, l'instinct de survie et le courage, l'épreuve du retour. Chaque témoignage débute par un bref commentaire en voix-off esquissant la vie de chacun avant sa déportation, accompagné de quelques photographies d'archives. L'association "Témoignages pour Mémoire" a recueilli ces récits entre 1991 et 1995. Ils sont complétés par le film d'Henri Borlant : "Des Survivants racontent" où ces derniers évoquent leur libération, à la fin de la guerre, par les différents alliés.

Résumé : Sous forme d'enquête, avec des images d'archives et des entretiens, ce film pose la question de la responsabilité morale et politique devant le génocide des Juifs par l'Allemagne nazie. Dès 1942, les hauts-fonctionnaires du 3ème Reich avaient annoncé clairement leur programme "d'évacuation" et d'extermination des Juifs. Les populations civiles, notamment en Pologne, se doutaient de l'existence des camps. Parmi les prisonniers qui parvinrent à s'évader, certains établirent un rapport très précis sur l'extermination. Comment, les Alliés, les pays neutres tels que la Suède, le Vatican ne savaient-ils pas ? Même, les Juifs de Palestine savaient...Comme le note l'écrivain Aharon Appelfeld qui a vécu l'Holocauste, cette question de responsabilité morale ne s'est pas uniquement posée aux acteurs extérieurs mais aussi aux Juifs eux-mêmes. Mais, notre société très normalisée ne peut que difficilement appréhender ce passé monstrueux.

Résumé : En 1961, Frédéric Rossif réalise un film sur le ghetto de Varsovie à partir d'images tournées par les Allemands pour le compte du IIIe Reich. Quarante-quatre témoins acceptent alors de parler devant la caméra : ce sont les rares rescapés qui purent se cacher en franchissant le mur. Ils parlent au présent de cette tragédie passée. Après l'invasion de la Pologne par les Allemands, en 1939, il est imposé aux Juifs le port de l'étoile jaune. Puis, on les enferme dans un quartier spécifique, le ghetto. Le film en montre l'organisation, la terreur et la misère subies au quotidien ; il évoque l'insurrection qui éclate en 1943, la politique d'extermination des nazis. Ceux-ci ne laisseront du ghetto que ruines et cendres. Plus qu'un documentaire, c'est une ode sombre et bouleversante sur la Shoah.

Contenu : Le site du Musée-Mémorial d'Auschwitz-Birkenau informe de façon exemplaire non seulement sur l'histoire du lieu, mais aussi sur les activités très nombreuses du mémorial (visites, actions pédagogiques,...)

Résumé : Serge Klarsfeld, historien et avocat, explique au micro de Claude Bochurberg pendant près de huit heures, son engagement intellectuel et philosophique. Un engagement qui lui a donné la force de travail et de conviction pour établir l'histoire de l'Holocauste, sur des bases scientifiques indiscutables et pour rechercher et faire juger de nombreux criminels nazis ainsi que leurs collaborateurs et notamment Klaus Barbie.

Résumé : Un lieu calme et tranquille dans les faubourgs de Riga, capitale de la Lettonie, se révèle peu à peu, sous l'oeil insistant de la caméra, comme le centre oublié du destin tragique des milliers de Juifs de Riga massacrés par les Nazis.

Résumé : "Album(s) d’Auschwitz raconte les histoires croisées de deux albums de photographies. Celui de Lili Jacob, une jeune fille juive rescapée, qui découvre l’album au camp de Dora en 1945. Ces photographies décrivent l’arrivée à Auschwitz, le 26 mai 1944, d'un convoi de juifs hongrois. Elles révèlent les quelques heures précédant le meurtre dans les chambres à gaz de la plupart d’entre eux. Lili Jacob faisait partie de ce convoi. Et celui de Karl Höcker, officier SS, retrouvé en 2007, composé de photographies prises au cours de ce même mois de mai 1944, et qui restituent, non loin du camp, les joyeux moments de détente de Höcker et d'autres officiers SS responsables du camp d’Auschwitz. Les photographies de ces deux albums ont été toutes prises par des SS. Mais la ressemblance s’arrête là. Plus de 65 ans après les faits, ce film donne à voir simultanément, dans l’impensable quotidien d’Auschwitz, ceux qui furent les victimes et ceux qui furent les bourreaux." (film-documentaire.fr)

Résumé : Le 29 et 30 septembre 1941, l’armée allemande avec l'aide de la police ukrainienne exécute 33 771 Juifs dans le ravin de Babi Yar, près de Kiev. À travers des images d’archives inédites, le film reconstitue le contexte historique de l'un des plus grands massacres de la Shoah par balles.

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