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Résumé : Un ouvrage en six chapitres consacré aux artistes qui pratiquent l'art du détournement, s'appropriant les chefs-d'oeuvre et les icônes de la pop culture pour les revisiter et créer leur propre univers à partir de rapprochements insolites. ©Electre 2017. "Théorisé par les situationnistes dans les années 1950, le détournement, c'est la créativité sous le signe du clin d'œil, voire du flirt avec l'absurde, mais aussi du soupçon permanent. Désormais, à l'ère du 2.0, chacun peut s'approprier les images cultes et en jouer. Cet art de la subversion s'invite dans la vie quotidienne et ne cesse d'investir de nouveaux territoires comme de nouveaux supports. Entre fétichisme nostalgique et dézingage ironique, les chefs-d'œuvre du passé et les icônes pop sont revisités. À travers 6 chapitres thématiques et 17 portraits, ce livre explore l'univers de ces créatifs qui ont l'art des rapprochements insolites, de la manipulation, de la métaphore. Ils bouleversent les codes et désacralisent les icônes de l'histoire de l'art ou de la pop culture, manipulent les mots, hackent l'espace public, chahutent avec le réel, font naître une rêverie de nos objets ordinaires…" [Source : 4e de couv.]

Résumé : L'artiste associe ses 61 projets artistiques à des titres parus dans la collection Série noire des éditions Gallimard. ©Electre 2023

Résumé : Jean-Luc Godard tisse ses films de phrases autant que d'images, répondant à la cécité de ses contemporains par d'inclassables citations où le passé semble "cité à comparaître". L'auteur entend interroger les diverses façons dont le cinéaste fait de l'histoire avec les images : comment fait-il pour "confondre" l'histoire, ainsi qu'il aime le dire ? ©Electre 2015

Résumé : Cette étude présente une analyse de l'appropriation, en tant que conduite et en tant que concept. L'ouvrage revient sur les fondements de ce concept avec les travaux de Marx et Lefebvre, puis offre une réflexion sur la conduite et l'invention appropriative. ©Electre 2014

Résumé : Afin de décrire et de comprendre le processus de création du compositeur, une analyse de ses écrits théoriques à travers laquelle les musicologues proposent comme clé de lecture la notion d'emprunt à la fois mélodique, harmonique ou rythmique aux oeuvres du passé. ©Electre 2018

Résumé : Croisant histoire, anthropologie et esthétique, l'auteure aborde la question de la mémoire des oeuvres en danse. Elle décrit les conditions politiques et artistiques de leur survie à travers trois cas de figures emblématiques : le répertoire du ballet de l'Opéra de Paris et ceux des chorégraphes Merce Cunningham et Dominique Bagouet. ©Electre 2017

Résumé : Croisant histoire, anthropologie et esthétique, l'auteure aborde la question de la mémoire des oeuvres en danse. Dans ce volume, l'accent est mis sur la discontinuité et l'oubli dans la transmission des oeuvres lorsque les chorégraphes décident de faire table rase ou, au contraire, quand ils se réapproprient des danses du passé et des artistes appartenant à l'histoire. ©Electre 2019

Résumé : Early 20th century: collage, montage and readymade at the birth of modern culture -- The post-war: cut, copy and quotation in the age of mass media -- Late 20th century: splicing, sampling and the street in the age of appropriation -- The digital age: hacking, remix and the archive in the age of post-production.. Sommaire : EARLY 20TH CENTURY: Collage, Montage and Readymade at the Birth of Modern Culture : In Defiance of Painting: Cubism, Futurism, and the Invention of Collage, Christine Poggi / Merz and Mashup, Isabel Schulz / A Few Words on Photomontage, Hannah Höch / Mechanics and Expression: Franz Roh and the New Vision—A Historical Sketch, Inka Graeve Ingelmann / Luigi Russolo and the Intonarumori, Rob Stone / Apropos of “Readymades”, Marcel Duchamp / The Strangeness of Cornell’s Rose Hobart, Dawn Ades - THE POST-WAR: Cut, Copy and Quotation in the Age of Mass Media : This is Tomorrow: The Thing Itself, Bruce Grenville / Andy Warhol’s Brutal Assemblage, Nicholas Chambers / You are the Disc Jockey, Helen Hsu with David White / Society of the Spectacle, Guy Debord / Jacques Villeglé’s Decollage: Modernity Torn Apart, Patrik Andersson / Jean-Luc Godard's Pierrot le Fou: Cinema as Collage against Painting, Angela Dalle Vacche / Cutting Room Scraps: The Films of Arthur Lipsett, Amelia Does / Joyce Wieland’s Corrective Films, Bruce Grenville / The Mondial Festival Presents, Peter Lang / Achille and Pier Giacomo Castiglioni and the Ready-made Object, Bruce Grenville / The Richness of the Parts: The Gehry Residence, Fiona Ragheb / The Invention of the Supercut, Stephanie Rebick / Vidding: The Art of Flow, Francesca Coppa / Scratch the Super Ape: An Embodiment of Dub’s Mashup Culture, David Katz. - LATE 20TH CENTURY: Quotation, Sampling and the Street in the Age of Appropriation : The Discourse of Others: Feminists and Postmodernism, Craig Owens / A Message from Barbara Kruger: Empathy Can Change the World, Miwon Kwon / My Files of Movie Stills, John Baldessari / General Idea’s Poodles, Ian Thom / Drag Ball Culture: Vogueing and Realness, Tim Lawrence / Tristram Shandy: Laurence Sterne and John Baldessari, Kathy Slade / Street and Self: The Roots of Graffiti, Richard Goldstein / From Many, Into One, Paul D. Miller aka DJ Spooky That Subliminal Kid / A Sensible Proposition: Tom Dixon and Creative Salvage, Gareth Williams and Nick Wright / Maison Martin Margiela: Mashup as a Strategy for Resisting Time, Kaat Debo / My Life in the Bush of Ghosts, Christopher Scoates / Scratching, Popping and Ringing: Christian Marclay’s Sound Collages, Stephanie Rebick / Totem and Taboo in the Origins of Experimental Ink Art in China, Diana Freundl / Material Re-ordering in the Sculptures of Liz Magor, Doris Salcedo and Rachel Whiteread, Daina Augaitis / Prototypes for New Understandings, Daina Augaitis / My Boyfriend Came Back from the War, Olia Lialina / Postproduction: Culture as Screenplay: How Art Reprograms the World, Nicolas Bourriaud / Bigness or the Problem of Large, Rem Koolhaas / Great Artists Steal, They Don’t Do Homages, Lisa Coulthard- THE DIGITAL AGE: Hacking, Remix and the Archive in the Age of Post-Production : The Answer is Yes, Shelley Jackson / Stan Douglas: Narrative and Recombinance, Bruce Grenville / MVRDV’s Glass Farm: Building as Photograph, Bruce Grenville / Be Water: Hito Steyerl’s Liquidity Inc., Melanie O’Brian / Cory Arcangel’s Readymades, Stephanie Rebick / The Mysterious Gesture: Elizabeth Price’s Interdisciplinary Mashup, Stephanie Rebick / Loops of Perception: Sampling, Memory, and the Semantic Web, Stephanie Rebick / Machinimas: A Selection, Isabelle Arvers / H5: Culture Jamming and the Logos of Consumption, Bruce Grenville / redwhiteblue: anothermountainman, Tina Yee-wan Pang / Anonymous Unarchive, Amber Frid-Jimenez / Art vs Design & Design vs Art, Todd Falkowsky / 1000 Words: Ellen Gallagher, Suzanne P. Hudson with Ellen Gallagher / Isa Genzken Says “Fuck the Bauhaus!”, Michael Darling / Ujino: Bachelor Machines, Bruce Grenville / Recovered and Re-arranged: Geoffrey Farmer, Daina Augaitis / Past Forward: The Presence of Art History in the Work of Elizabeth Zvonar, Diana Freundl / Valérie Blass: My Life, Kim Nguyen / Haegue Yang, Daina Augaitis / Oliver Laric’s Versions, Stephanie Rebick / A New Digital Materiality, Stephanie Rebick / BIG: Yes is More, Bruce Grenville / Found MUJI: Super Normal Design, Bruce Grenville.

Résumé : L’appropriation est un phénomène à double face : négatif, quand il est un moyen de s’accaparer des biens, des territoires, des pouvoirs, mais positif, quand il est un processus de recyclage qui réactualise ce qui a été oublié. Dans les années 1960, les artistes s’approprient des objets usuels qu’ils transforment, révélant la puissance inventive du quotidien. Dans le domaine architectural et urbain, durant la deuxième moitié du XXe siècle, l’appropriation s’est développée contre des conceptions fonctionnalistes et autoritaires de l’espace, générant des projets collectifs qui refusaient de dissocier l’habitat de l’habiter. Au tournant du siècle, le déficit persistant de logements, la globalisation, les flux migratoires, l’urgence écologique suscitent de nouvelles pratiques appropriatives de l’espace et du temps qui sont regardées comme des pôles de résistance, ou des embryons de villes futures. D’informelle et adventice, l’appropriation devient un ressort de l’économie de la postproduction. Le recyclage relance l’activité urbaine et architecturale, qui emprunte à l’art ses procédés. L’appropriation ne connaitrait pas un tel succès si les artistes n’avaient eux-mêmes explorer et exploiter tous ses possibles, que le web démultiplie ensuite. L’internet va servir d’accélérateur aux appropriations tous azimuts et obliger les lois sur la propriété intellectuelle à s’amender (Source : page de couv. intérieure)

Résumé : Peinture : obsolescence déprogrammée – Licences libres poursuit l'exploration des relations complexes entre les pratiques picturales contemporaines et leur environnement numérique en s'attachant à un aspect particulier de ces échanges, autour de l'idée de licence et des stratégies d'appropriation poussées à leur paroxysme par l'accès illimité aux ressources numériques, après le premier volet Peinture : obsolescence déprogrammée – La peinture dans l'environnement numérique qui constituait un état des lieux ouvert et une introduction à ces interactions. L'exposition, Licences libres, poursuit l'exploration des interactions entre les pratiques picturales actuelles et leur environnement numérique, après un premier état des lieux présenté au musée d'art moderne et contemporain des Sables d'Olonne du 17 octobre 2021 au 16 janvier 2022. Réunies par une logique d'appropriation des images, les œuvres présentées au Musée de l'Hospice Saint-Roch d'Issoudun, contemporaines de l'avènement du World Wide Web, ne se contentent pas d'extraire leurs sources du flux numérique, mais questionnent et radicalisent le procédé lui-même. Dans notre société comparée à un « Supermarché des images », les logiciels sous licence disputent aux logiciels libres et aux archives ouvertes les parts d'un marché dans lequel la circulation des images et des données représente un enjeu stratégique majeur, tant financier que politique. Favorisant les régimes de surveillance et de voyeurisme, l'économie visuelle numérique se fonde sur une infinité d'images immédiatement disponibles, qui mêle les clichés anonymes exposant publiquement l'intimité librement diffusés aux images automatisées (caméras de surveillance, satellites, drones, intelligences artificielles, etc.). Dans ce contexte, l'idée de licence n'engage pas le seul point de vue juridique, définissant le droit de disposer et de manipuler les images, mais en appelle également à leur pouvoir de transgression et de subversion.

Résumé : Etude sur la pertinence de l'admission du nouveau concept en droit d'auteur : l'oeuvre transformatrice. Le moyen de concilier les droits de l'auteur originel et ceux de l'auteur de l'oeuvre transformatrice découle du mécanisme de l'exception au droit d'auteur. ©Electre 2018

Résumé : Painting seemed to be the most powerful weapon available to us,” Ida Tursic & Wilfried Mille explain their subversive choice of a well-traveled medium. “It offers infinite possibilities all while simultaneously being the simplest to implement in the beginning of this new century that is saturated with images and new technologies.” Freely mixing things, Tursic & Mille’s paintings give us pin-ups of both sexes, cute pets, artist heroes, and Cézanne’s favorite landscape, all shook up by colorful abstractions that often invade the other subjects. They sample elements from all reaches of our visual culture today, provoking our good taste, and challenging our sense of beauty. The book focuses on the artists’ work since 2012, including canvases and large-scale wooden cutouts that literally move painting into the exhibition space—a strategy of direct interaction and confrontation with the viewer culminating in their immersive installation for the Prix Marcel Duchamp in 2019.

Résumé : Troisième volet d'une réflexion sur la dialectique entre le rire et les violences de l'histoire, l'auteure met en lumière les procédés du rire qui évoquent, luttent et résistent aux violences. S'intéressant à la parodie, à la satire, à l'ironie et à l'humour noir, elle parcourt de nombreuses oeuvres contemporaines pour explorer le rire dans l'objet évoquant la violence. ©Electre 2022

Résumé : La 4ème de couv. indique : " Architecture, peinture, sculpture... Qu'avons-nous conservé de l'ensemble de la création européenne depuis l'Antiquité ? Pourquoi certaines oeuvres font-elles partie du patrimoine et d'autres non ? S'appuyant sur l'évolution des arts, des musées et du collectionnisme, Jean-Pierre Caillet interroge les legs du passé, mais aussi ses rejets : il révèle une histoire de la valorisation artistique des origines à nos jours. Il questionne également la part du mythe, l'intention cachée dans les représentations du passé. De la mise en scène des temps forts de l'histoire à la commémoration de ses grands acteurs, en passant par le choix des sujets bibliques ou mythologiques, quelle vision du passé construisons-nous ? Et quelle histoire souhaitons-nous que nos enfants se racontent à leur tour à notre propos lorsque nous exaltons le présent dans la création contemporaine ? Enfin, l'auteur interroge l'écho des oeuvres dans le cours du temps. A chaque époque, des artistes ont trouvé dans des réalisations anciennes le matériau de nouvelles créations. Imitation, réappropriation ou subversion, que gardons- nous, que transformons-nous, qu'oublions-nous ? Cet ouvrage dévoile ainsi le jeu de la mémoire sur la production artistique pendant vingt-cinq siècles et éclaire ce qui définit avec le temps la création européenne"

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