Recherche simple :

  •    Tous les mots : trois
  • Aide
  • Eurêkoi Eurêkoi

Documents en ligne : 16296

Voir tous les résultats les documents en ligne

Résumé : La 4ème de couv. indique : Le présent ouvrage est le dernier d'une série de trois volumes - Vocabulaire du chinois contemporain, 1, 2 et 3 - correspondant respectivement aux niveaux 1-4, 5 et 6 du HSK tels qu'ils ont été définis dans les nouveaux syllabus publiés en 2010 par le Hanban et les Confucius Institute Headquarters. Il vise à la connaissance des 2 500 nouveaux mots du HSK 6. La lexicographie et la morphologie occupent une place plus importante dans ce volume car, au niveau avancé, les lecteurs doivent acquérir ce type de connaissances afin de pouvoir accroître rapidement et de façon importante leur vocabulaire. Ainsi les exercices ne se limitent pas aux 2 500 mots, on y trouve un petit nombre de termes qui ne font pas partie de la liste HSK 6. L'ensemble correspond grosso modo au niveau C2 du Cadre européen de référence pour les langues (CERL). Les corrigés des exercices figurent en fin d'ouvrage. Comme pour les autres volumes, les enregistrements permettent un entraînement à la compréhension auditive et à l'expression orale.

Contenu : But not for me. Dream of Monk. Little suede shoes. Girl talk. Evidence. Some other time. Loro. A wish

Contenu : January 1st 2022. Eyelar (shutters). Delilah (pull me out of this). Kammy (like I do). Berwyn (all that I got is you). Bleu (better with time). Nathan (still breathing). Danielle (smile on my face). Kelly (end of a nightmare). Mustafa (time to move you). Clara (the night is dark). Winnie (end of me). September 9th 2022

Résumé : C'est à André Comte-Sponville qu'est revenue la tâche de montrer l'importance de la notion de bonheur dans la pensée occidentale (CD 1). François Jullien était pour sa part chargé d'introduire à une autre tradition de pensée, celle de la Chine, où la question du bonheur n'est précisément pas devenu un motif de pensée déterminant (CD 2). Un dialogue entre eux clôt ce colloque (CD 3)

Résumé : Dominique Loreau filme trois installations éphémères, végétales de l’artiste belge Bob Verschueren depuis leur processus de création « au gré du temps » jusqu’à leur disparition progressive. Elles sont réalisées dans trois lieux différents : l’entrepôt d’une usine désaffectée, une longue plage de la mer du Nord, le préau d’une école maternelle ; par l’alternance des séquences, elles paraissent entrelacées nous permettant alors de voyager sans cesse de l’une à l’autre. Le film débute par un plan d’herbes folles qui ont envahi un vieux bâtiment : on entend le cri aigu des mouettes, le bruit assourdissant d’une machine. Puis, la caméra suit le travail réfléchi, lent de Bob Verschueren ; elle en montre aussi la destruction irréversible par la main de l’homme ou par la force de la nature : les roseaux plantés circulairement dans le sable, peu à peu, subissent l’assaut répété des vagues de la marée montante ; les feuilles, inexorablement pourrissent avant que la pelleteuse n’en déblaye le terrain. Les drôles de trognons de pommes que l’artiste avait alignés dans le sens du dallage se recroquevillent. Parallèlement au « work in process » de Bob Verschueren, personnel et « décalé », la réalisatrice montre le monde extérieur, l’environnement quotidien si présent : les enfants qui croquent à pleines dents dans les pommes, le flux et le reflux de la mer grise, les baigneurs qui jouent sur la plage…Cadrées avec recherche, les images de « Au gré du temps » sont infiniment poétiques et sensuelles : les ébats d’une rouge coccinelle sur une feuille, un pétale de fleurs accroché à une toile d’araignée, la flaque d’eau reflétant le ciel, les traces de pas dans la boue ou le sable, les nuances colorées des végétaux sous la pluie. D. Loreau privilégie les plans fixes ; aucun commentaire ne les accompagne mais un travail sur le son très élaboré en souligne l’étrangeté. S’inspirant de la démarche de Bob Verschueren, Dominique Loreau exalte son art et en quelque sorte le dépasse. Plus qu'un documentaire sur le Land Art, elle réalise là un véritable essai cinématographique sur le temps. Des objets banals, elle en capte la beauté fugitive qui, par la magie du cinéma, devient éternelle. Son film procède d’un regard singulier sur l’univers : il devient lui-même œuvre d’art, rêverie contemplative, quête philosophique.

Résumé : "Mars 1993, législatives. Nous filmons le troisième épisode de notre saga marseillaise, après Marseille de père en fils (1989) et La Campagne de Provence (1992). Le moins local des trois car le rejet massif de la gauche trouve ici sa traduction sans que les spécificités marseillaises ne troublent le jeu national : la mise à mort ayant eu lieu avant, on travaillait déjà sur les obsèques et le deuil. Cette nature de campagne impliquait un dispositif filmique particulier, deux types de mise en scène. La première, du côté de la production du discours : une déambulation physique et politique avec les acteurs sur l’usure des partis, le discrédit des hommes politiques et les interminables conséquences de la chute du communisme. L’étonnant est que les analyses, presque masochistes, semblent communes d’un bord à l’autre de l’échiquier politique. La seconde, du côté de la réception du discours : des scènes de campagne où les protagonistes sont aux prises avec leurs électeurs potentiels, le contact est rude. Marseille en mars : les hommes politiques vont mal et tout le monde le leur dit. " (J -L. C.)

Résumé : Écrivain italien né à Pise en 1943, Antonio Tabucchi a fait du Portugal son pays d'adoption. Il se considère avant tout comme Portugais. Il enseigne en Italie, vit en France et au Portugal, et écrit dans les trois langues. En ce sens, il symbolise la figure de l'écrivain européen. Le portrait qui lui est consacré s'ouvre sur les répétitions radiophoniques du "Livre de l'Intranquillité" de Fernando Pessoa, dont il a assuré l'adaptation et la traduction française. Filmé à Lisbonne, Paris, Florence, Sienne ou dans sa maison familiale près de Pise, Tabucchi souligne l'importance capitale de l'œuvre de l'écrivain portugais dans sa formation et dans son propre parcours. Il évoque les lieux et les objets auxquels il est attaché, montre ses cahiers de notes dans lesquels il cherche à rendre compte de son siècle, témoignant par exemple de la situation des Tsiganes yougoslaves exilés en Italie. Le film interroge également ceux qui partagent l'univers de l'écrivain, étudiants, artistes ou amis "qui comptent plus que la littérature", notamment Silvio Soldini, cinéaste, Davide Benati, peintre, Bana, chanteur-compositeur.

Résumé : On ignore à peu près tout de Marianna Alcaforado, l'auteur de ces lettres.On sait seulement qu'elle était jeune et belle, de bonne noblesse portugaise et qu'elle vivait au couvent de Beja, non point tant sans doute par vocation profonde que pour suivre l'usage des filles de son rang, qu'on mettait en religion avant de les marier ou pour assurer leur avenir. C'est là qu'elle fut remarquée - les couvents de l'époque étaient de véritables salons, fort gais et fort libres - séduite, puis abandonnée par M.de Chamilly, gentilhomme français qui devait devenir Maréchal de France et qui pour lors, en cette année 1668, faisait la guerre en Portugal pour le compte de S. M. Louis XIV. On sait encore - c'est Marianna qui nous l'apprend - que M. de Chamilly ayant saisi le prétexte d'un navire en partance pour rentrer en France en la laissant à son triste sort, la délaissée se refusa à toute nouvelle passion et vécut au fond de son cloître, dans le désespoir et le regret de l'infidèle.Elle ne devait mourir qu'à quatre-vingt-trois ans.

Résumé : Le film dresse, en 2009, en même temps que l'état des lieux du travail, le sombre tableau d'une civilisation mondiale, la nôtre, entrée en phase de décadence accélérée, comme a le courage de le dire un des "grands témoins" du film. Il est construit en trois parties: 1. La destruction (66 min), celle des salariés, que les objectifs toujours plus élevés de productivité qui leur sont imposés poussent jusqu'au bout, et parfois au-delà, de leurs limites, entraînant maladies et souffrances physiques et psychiques, voire plus ; 2. L'aliénation (64 min), la manipulation des salariés pour les amener jusqu'au dépassement de soi, avant de s'en séparer pour pouvoir pressurer de la même manière leurs remplaçants, est devenue une méthode perverse de management si courante qu'elle passe inaperçue tant auprès de ses victimes salariées que des managers qui la pratiquent comme allant de soi ; 3. La dépossession (63 min), sur fond de capitalisme financier triomphant, comme régénéré par la crise, l'inconcevable abus de pouvoir des grands actionnaires sur la marche du monde et, partant, sur le travail et les travailleurs.

Résumé : Portrait de Félix Fénéon (1861-1944), éditeur, journaliste et critique d'art. Éminence grise du Paris des arts et des lettres, il contribua à façonner le goût et à fixer les valeurs des générations qui ont précédé la Première Guerre mondiale. À sa mort, il laissait une prestigieuse collection de tableaux dont la vente devait permettre à sa veuve d'instituer comme légataire l'Université de Paris, à charge pour cette dernière de créer, sous le nom de Fondation Fénéon, des Prix qui seraient annuellement décernés à deux lauréats : un jeune écrivain et un jeune peintre ou sculpteur. François Nourissier, Jean Echenoz, Béatrice Leca et Henri Cueco, ayant reçu ce prix discret mais prestigieux, évoquent la personnalité de Fénéon et sa singulière perspicacité dans la découverte de nouveaux talents. Directeur d’une dizaine de revues, dont la "Revue blanche" et la "Revue indépendante", Fénéon publie Rimbaud, Laforgue, Gide, Claudel et Mallarmé. Critique d’art, il encourage et aide Seurat, Signac ou Matisse. Écrivain, il rédige pour les faits divers des grands quotidiens des "Nouvelles en trois lignes", où sont décrites avec une précision et une concision extrêmes, la violence et la cocasserie de son époque.

Explorer les sujets liés :