L’article rend compte de l’expérience de l’auteur au Festival Cinélatino de Toulouse, du développement jusqu’à l’achèvement de son premier long-métrage Casa de antiguidades, tout en le reliant au processus cinématographique qu’il a créé au fil des ans dans son collectif Kino-Olho à l’intérieur du Brésil. Ce langage, que l’auteur appelle ‘cinéma caipira’, est sa signature vers une discussion sur l’exception, où les défauts et les erreurs de la société brésilienne sont à la source d’une nouvelle forme de cinéma.