Il fut un temps pas si lointain où s’intéresser à l’histoire politique et à l’histoire sociale de l’art vous faisait courir le risque d’être extradé, comme si les œuvres devaient par magie échapper à toute contingence pour assumer définitivement leur rôle de fétiche. De même, confronter les médias populaires aux œuvres majeures ou les entremêler (comme dans la réalité) semblait déplacé. Or, il s’agissait tout simplement d’écrire une histoire aussi complète que possible.Le débat qui suit mont...