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Livre

Aide-mémoire des années sombres

Résumé

La première partie de cet ouvrage s'attache à décrire les "barriots", évadés de France, engagés dans les FFL ou dans la Ire Armée et l'armée d'armistice, et s'achève sur les conditions dans lesquelles les Allemands quittèrent Biarritz et Bayonne le 22 août 1944. La seconde partie est constituée d'un lexique et d'une étude des réseaux de renseignement et d'évasion basques.


  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2006
  • Notes
    • Lexique
  • Langues
    • Français
  • Description matérielle
    • 176 p. ; 21 x 15 cm
  • Sujet(s)
  • Lieu
  • ISBN
    • 2-84394-819-3
  • Indice
    • 944.67 Histoire de la Gascogne, du Béarn et du Pays basque
  • Quatrième de couverture
    • L'auteur, président des Évadés de France, officier parachutiste durant la dernière guerre, a voulu, dans cet ouvrage, perpétuer le souvenir des Biarrots qui se battirent pour la liberté. Il rend hommage à ceux qui combattirent les armes à la main au sein des Armées de la Libération : FFL du 18 juin, volontaires de l'Armée d'Armistice qui fuirent l'Occupation pour s'engager dans ce qui sera le creuset de la 1re Armée, les Évadés de France. Pour tous, des noms, des adresses, des métiers, des dates d'engagement. Ils furent 234 dans une ville de 23 000 habitants. Si chaque ville de France avait été aussi généreuse, c'est une armée de Libération de 450 000 métropolitains qui aurait été mise sur pied, alors qu'elle n'en comptait que quelques dizaines de milliers.

      Les Biarrots combattants de l'Ombre ne furent pas en reste.

      Les archives de la Résistance du château de Vincennes ont permis à Jean Crouzet de brosser un panorama des réseaux de renseignement et d'évasion qui fonctionnèrent dans la région. Ici encore, les listes officielles des agents et des responsables régionaux dont on ignore trop souvent les noms et l'action : Pierre Fort des réseaux Castille et Notre-Dame Castille, Gabriel Condom du réseau anglais Shelburn-Vaudevire, Georges Delord du mouvement Libé-Nord.

      L'auteur rappelle également le nom, les dates et les motifs d'arrestation des 23 Biarrots emprisonnés (dont 4 moururent des mains nazies), et des 132 déportés dont 69 ne revinrent pas des camps. Un travail de bénédictin qui se veut une référence pour tous les Biarrots et les habitants de la Côte basque qui jouèrent leur vie contre l'occupant.


  • Origine de la notice:
    • Electre
  • Disponible - 944.67 CRO

    Niveau 2 - Histoire