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Ostéopathie et thérapie manuelle du tissu neuro-méningé

Résumé

Ces techniques s'adressent à tous les thérapeutes manuels (ostéopathes, chiropracteurs, kinésithérapeutes, médecins) qui utilisent certaines mobilisations neurales dans leur arsenal thérapeutique sans le savoir. L'auteur présente les bases et les travaux de cette nouvelle technique inspirée par l'école de thérapie manipulative australienne.


  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2007
  • Langues
    • Français
  • Description matérielle
    • 25 x 17 cm
  • Sujet(s)
  • ISBN
    • 2-84023-478-5
  • Indice
  • Quatrième de couverture
    • Les tests et les techniques neuroméningées sont une approche nouvelle et offrent aux thérapeutes des solutions pratiques pour les pathologies de l'appareil locomoteur tout en conservant les principes fondamentaux de la philosophie ostéopathique.

      Dans le paysage de la thérapie manuelle et de la démarche diagnostic, ces tests et mobilisations neurodynamiques sont indispensables à la connaissance des thérapeutes et du monde médical.

      Les mobilisations articulaires mais aussi les techniques myotensives sont parfois à l'origine d'une augmentation ou d'une diminution de la symptomatologie neuro-méningée. L'intérêt de cette démarche entre dans l'élaboration d'un diagnostic anatomique précis des compressions nerveuses.

      Ce sont des techniques qui s'adressent à tous les thérapeutes manuels (ostéopathes, chiropracteurs, kinésithérapeutes, médecins). Le thérapeute manuel utilise certaines mobilisations neurales dans son arsenal thérapeutique sans le savoir.. Il est important de tenir compte du système nerveux lors de nos mobilisations et de nos manipulations. Le nerf a des propriétés très différentes des autres tissus surtout au niveau biomécanique et on ne peut pas ignorer ce tissu neuro-méningé qui relie l'ensemble du corps comme une toile d'araignée.

      Nous sommes à la frontière de l'ostéopathie, de la physiothérapie, de la rééducation et de la chiropractie.

      L'auteur nous présente les bases et les travaux de cette nouvelle technique inspirée par l'école de Thérapie Manipulative Australienne.

      La manipulation des nerfs et les techniques de mobilisations sont proposées de manière scientifique et cartésienne et s'inscrit dans une volonté de validation scientifique de la technique et de ses effets (les tests sont décrits avec des études bibliographiques pour leur fiabilité).

      L'auteur décrit les lésions et les dysfonctions de mobilité du système neuro-méningé et vous permet de découvrir les principes, les indications, et les contre-indications de ce traitement.

      Les modalités de cette nouvelle thérapie sont détaillées à travers des exemples pratiques sur les pathologies du rachis (canal lombaire étroit, névralgies sciatiques, névralgies cervico-brachiales ou d'Arnold).


  • Tables des matières
      • Ostéopathie et thérapie manuelle du tissu neuro-méningé

      • Pascal Pommerol

      • Sauramps médical

      • I - Rappel anatomique 25
      • 1. Système nerveux central 25
      • 1.1. Anatomie des méninges25
      • 1.1.1. La dure-mère25
      • 1.1.2. L'arachnoïde28
      • 1.1.3. La pie-mère28
      • 1.1.4. L'espace épidural29
      • 1.2. Anatomie de la moelle épinière : le contenu29
      • 1.2.1. Systématisation de la moelle épinière30
      • 1.2.2. Descriptif du canal vertébral : le contenant30
      • 1.2.3. Rapport avec les méninges31
      • 2. Anatomie du système sympathique 31
      • 2.1. Le système sympathique31
      • 2.1.1. Description des ganglions sympathiques31
      • 2.1.2. Vascularisation et physiopathologie des ganglions sympathiques34
      • 2.2. Le système para-sympathique34
      • 2.3. Conclusion35
      • 3. Le système nerveux périphérique 36
      • 3.1. Anatomie du nerf périphérique36
      • 3.1.1. La fibre nerveuse37
      • 3.1.2. Le tissu intra-neural39
      • 3.2. Notion de vascularisation nerveuse40
      • 3.3. Physiologie du transport axonal du nerf42
      • 3.4. Systématisation de l'innervation44
      • 3.5. Rapport anatomique entre les racines nerveuses, le nerf rachidien et le rachis44
      • 3.5.1. Anatomie des racines nerveuses et du nerf rachidien44
      • 3.5.2. Le ganglion spinal50
      • 3.5.3. Anatomie des foramens latéraux54
      • 3.5.4. Rapport contenant contenu56
      • Bibliographie58
      • II - Biomécanique 61
      • 1. Biomécanique de la moelle épinière et du canal rachidien lors de la flexion extension 61
      • 1.1. Dynamique rachidienne61
      • 1.2. Dynamique médullaire62
      • 1.3. Dynamique rachidienne et médullaire63
      • 1.3.1. Points de fixation64
      • 1.3.2. Tension supportée par la moelle lors de la flexion64
      • 1.3.3. Contrainte de la moelle lors du mouvement de flexion extension65
      • 1.3.4. Synthèse (Louis, 1987)66
      • 2. Biomécanique lors de l'inclinaison et lors de la rotation 69
      • 2.1. Lors de l'inclinaison69
      • 2.2. Lors des rotations70
      • 3. Biomécanique des racines nerveuses 70
      • 3.1. Biomécanique du contenu70
      • 3.1.1. Au niveau des racines cervicales70
      • 3.1.2. Au niveau des racines thoraciques71
      • 3.1.3. Au niveau des racines lombaires71
      • 3.1.4. Notion de mobilité du ganglion spinal76
      • 3.2. Biomécanique du contenant76
      • 3.2.1. Comment peut-on agrandir le trou de conjugaison ?76
      • 3.2.2. Trou de conjugaison et ganglion sympathique79
      • 3.3. Conséquences pratiques79
      • 4. Biomécanique du nerf périphérique 83
      • 4.1. Historique83
      • 4.2. Le nerf doit être capable de glisser par rapport aux structures environnantes83
      • 4.3. Le nerf doit s'adapter à ces situations extrêmes84
      • 4.4. Capacité d'allongement du nerf88
      • 4.4.1. Le mouvement endo-neural88
      • 4.4.2. Mobilité extra-neurale : Les troncs nerveux et les tissus environnants89
      • 4.5. La tension du nerf est-elle très importante ?90
      • 4.6. Les forces appliquées sur le nerf sont-elles harmonieuses ?91
      • 4.7. Le nerf demeure un matériau visco-élastique93
      • 4.8. Le nerf périphérique est plus résistant à la traction que la racine nerveuse93
      • 4.9. Conséquences pathologiques94
      • 4.9.1. Notion de fibrose extra-neurale et intra-neurale94
      • 4.9.2. Notion de diamètre en pathologie94
      • 4.10. Conséquences pratiques95
      • Bibliographie97
      • III - Le système nerveux végétatif 101
      • 1. Le système sympathique 101
      • 1.1. Généralités101
      • 1.2. Cas particuliers102
      • 1.3. Des exemples102
      • 2. Le système parasympathique 103
      • 2.1. Généralités103
      • 2.2. Cas particulier : le malaise vagal103
      • 2.2.1. Définition103
      • 2.2.2. Clinique104
      • 2.2.3. La résolution de la crise104
      • 2.2.4. Le pronostic105
      • 3. Synthétique des effets du système nerveux végétatif 105
      • 4. Implications thérapeutiques 123
      • 4.1. Des atteintes neurologiques périphériques106
      • 4.2. Dans le traitement106
      • 5. Conclusion 107
      • Bibliographie109
      • IV - Pathologie 111
      • 1. Description des lésions nerveuses 111
      • 1.1. Classification111
      • 1.2. Dégénérescence wallérienne112
      • 1.3. Les fibroses113
      • 1.3.1. La fibrose est de deux types : extra-neurale ou intra-neurale113
      • 1.3.2. Classification des fibroses intra-nerveuses113
      • 1.3.3. Classification des fibroses extra-neurales114
      • 1.4. Etiologie114
      • 2. Cas du syndrome canalaire 115
      • 2.1. Définition (A. Borgeat et Ulrich W., 2002)115
      • 2.2. Physiopathologie115
      • 2.2.1. Rôle de la compression directe116
      • 2.2.2. Rôle vasculaire116
      • 2.2.3. Rôle de l'étirement118
      • 2.2.4. Facteurs prédisposants119
      • 2.2.5. Mécanisme lésionnel120
      • 2.2.6. Double crush syndrome120
      • 2.2.7. "Pathologie du multiple accrochage"125
      • 2.3. Anatomopathologie des lésions neurales125
      • 2.3.1. Points de tension125
      • 2.3.2. Points de compression125
      • 2.3.3. Lésion intra-neurale ou extra-neurale126
      • 2.4. Conclusion : Stade compressif et entravant126
      • 2.4.1. Stade compressif ou conflit de type compressif126
      • 2.4.1. Stade "entravant" ou conflit entravé127
      • Bibliographie130
      • V - Approche des douleurs neuropathiques 133
      • 1. Classification des douleurs 133
      • 1.1. Douleur nociceptive133
      • 1.2. Douleur neuropathique (neurogène)133
      • 1.3. Douleurs d'étiologie mixte ou non spécifique134
      • 2. Aspect de la douleur neurogène ou neuropathique 134
      • 2.1. Topographie de la douleur134
      • 2.2. Caractéristiques de la douleur neurogène134
      • 2.3. Douleurs suite aux troubles de la sensibilité135
      • 2.4. Douleurs d'origine durale ou méningée136
      • 2.5. Douleurs suite aux contractures musculaires136
      • 2.6. Douleurs accompagnant les troubles sympathiques et trophiques136
      • 2.7. Douleurs suite au processus de cicatrisation du nerf138
      • 2.8. Facteurs cognitifs et émotionnels139
      • 2.9. Evaluation comportementale139
      • 2.10. Le rôle de la mémoire douloureuse139
      • 3. Différence entre douleur nociceptive et douleur neuropathique 139
      • 4. Conséquences pratiques 140
      • 4.1. A propos de la douleur nociceptive140
      • 4.2. A propos de la douleur neurogène141
      • Bibliographie143
      • VI - Concept de classement des patients et de réévaluation 145
      • 1. Classement des patients 145
      • 1.1. Pourquoi réaliser un classement des patients145
      • 1.2. Définition des catégories de patients146
      • 1.2.1. Les patients dans un contexte grave146
      • 1.2.2. Les patients dans un contexte bénin148
      • 1.2.3. Remarques148
      • 1.3. Démarche thérapeutique selon le contexte149
      • 1.3.1. Les règles à respecter149
      • 2. La réévaluation 150
      • 2.1. Lors de l'examen151
      • 2.2. Lors du traitement151
      • 2.3. Remarques151
      • 2.4. Conclusion153
      • VII - La centralisation des douleurs : principe d'examen et de traitement dans les radiculalgies simples 155
      • 1. Origine de la centralisation 155
      • 2. Définition 157
      • 2.1. Centralisation dans les syndromes canalaires foraminaux et médullaires157
      • 2.2. Direction confirmée158
      • 3. L'expérience de la technique mac kenzie 159
      • 4. Adaptation du principe de cranialisation aux techniques neuro-méningées 160
      • 4.1. Comment l'utiliser161
      • 4.2. Est-ce que l'examen de centralisation est celui décrit par mac kenzie ?161
      • 4.3. La centralisation a-t-elle des limites ?161
      • 5. Conclusion 162
      • Bibliographie162
      • VIII - L'examen 165
      • 1. L'interrogatoire ou examen subjectif 165
      • 1.1. Informations administratives165
      • 1.2. Histoire de la maladie165
      • 1.3. Description de la douleur165
      • 1.3.1. Sites douloureux168
      • 1.3.2. Mode d'apparition168
      • 1.3.3. Caractéristique de la douleur168
      • 1.3.4. Comportement de la douleur168
      • 1.4. Contexte de la maladie169
      • 2. La synthèse de l'interrogatoire ou planification de l'examen subjectif 169
      • 3. L'examen objectif ou examen clinique 170
      • 3.1. Observation170
      • 3.2. Examen neurologique classique170
      • 3.2.1. Signes moteurs170
      • 3.2.2. Signes trophiques173
      • 3.2.3. Signes sensitifs173
      • 3.2.4. Signes neurovégétatifs176
      • 3.2.5. Conclusion176
      • 3.3. Examen palpatoire177
      • 3.3.1. Il existe plusieurs manières de palper les nerfs177
      • 3.3.2. L'examen palpatoire permet d'examiner la mobilité longitudinale et transversale du nerf181
      • 3.3.3. L'examen palpatoire permet de poser un diagnostic lésionnel181
      • 3.4. Tests neurodynamiques ou tests de mise en tension182
      • 3.4.1. Description182
      • 3.4.2. Généralités sur les Tests de "mise en tension"183
      • 4. Synthèse du bilan - Notion de diagnostic 186
      • 4.1. Synthèse186
      • 4.2. Diagnostic lésionnel186
      • Bibliographie187
      • IX - PKB (Prone Knee Bend) ou test de tension du nerf fémoral 191
      • 1. Histoire-définition 191
      • 1.1. Signe de thomsen (Buckup 2000)192
      • 1.2. Test de lasègue inversé ou signe de léri (Buckup 2000)192
      • 2. Biomécanique 193
      • 3. Technique 194
      • 1er Temps195
      • 2e Temps195
      • 3e Temps196
      • 4e Temps196
      • 5e Temps196
      • 6e Temps197
      • 4. Variantes 198
      • 4.1. Avec extension de hanche198
      • 4.2. Avec une abduction199
      • 4.3. Test du nerf saphène200
      • 5. Normalité - Fiabilité 201
      • 6. Indications 201
      • 7. Remarques 202
      • 8. Intérêt dans le traitement 202
      • Bibliographie203
      • X - Elévation de jambe tendue (EJT) 205
      • 1. Histoire-définition 205
      • 1.1. Lasègue debout207
      • 1.2. Lasègue controlatéral207
      • 1.3. Contre lasègue, appelé encore flapping-test ou signe du tripode207
      • 1.3.1. Définition du test207
      • 2. Biomécanique 208
      • 2.1. Notion d'angulation208
      • 2.2. Historique des recherches209
      • 3. Technique 213
      • 1er stade : Flexion-adduction213
      • 2e stade : EJT214
      • 3e stade : Palpation214
      • 4e stade : Flexion dorsale de cheville215
      • 5e stade : Adduction de hanche216
      • 6e stade : Rotation médiale de hanche216
      • 7e stade : Flexion cervicale217
      • 4. Variantes 218
      • 4.1. En bilatéral : DEJT218
      • 4.2. Inversion/EJT = Nerf fibulaire superficiel (nerf péronier superficiel)219
      • 4.3. Avec dorsiflexion et supination du pied : test du nerf sural221
      • 4.4. Test du nerf fibulaire profond (peronier profond)221
      • 4.5. Avec ou sans valsalva (apnée inspiratoire glotte fermée)221
      • 4.6. Avec une mise en tension des membres supérieurs221
      • 5. Fiabilité - Normalité 221
      • 5.1. Reproductibilité221
      • 5.2. Normalité222
      • 5.3. Traduction d'une lésion anatomopathologique225
      • 5.3.1. Fiabilité du diagnostic de compression radiculaire225
      • 5.3.2. Fiabilité du diagnostic de compression radiculaire d'origine discale226
      • 5.3.3. Notion d'EJT et d'inflammation au niveau de la hernie228
      • 5.3.4. Notion de chronologie entre le test positif et la douleur228
      • 5.3.5. Relations entre signe d'EJT et taille de la hernie228
      • 5.3.6. Relations entre signe d'EJT et douleurs d'origine durale229
      • 5.3.7. Fiabilité du diagnostic de compression radiculaire par canal lombaire étroit229
      • 5.3.8. Valeur pronostic de l'EJT230
      • 5.3.9. Utilisation du test d'EJT pour augmenter les douleurs d'origine neurale du membre supérieur230
      • 5.3.10. Conclusion230
      • 5.4. Elévation de la jambe tendue controlatérale230
      • 6. Indication 232
      • 7. Remarques 232
      • 7.1. Manoeuvre du tripode233
      • 8. Intérêt dans le traitement 233
      • Bibliographie234
      • XI - Présentation des tests du membre supérieur 239
      • 1. Dénomination des tests du membre supérieur 240
      • 1.1. Les douleurs des doigts sont-elles obligatoirement d'origine neurale ?243
      • 1.2. La descente du moignon de l'épaule est le mouvement de base de tous les tests du membre supérieur244
      • Bibliographie244
      • XII - Test neural du membre supérieur 1 245
      • 1. Histoire - Définition 245
      • 2. Biomécanique 246
      • 2.1. L'inspiration246
      • 2.2. Les mouvements de la tête246
      • 2.3. L'abduction247
      • 2.4. La rotation latérale248
      • 2.5. L'extension du coude249
      • 2.6. Avancée du moignon d'épaule (étude de julius 2004)250
      • 2.7. La supination251
      • 2.8. L'extension du poignet252
      • 2.9. L'inclinaison ulnaire du poignet253
      • 2.10. L'extension des doigts et du pouce253
      • 3. Technique 253
      • 4. Variantes 256
      • 5. Fiabilité - Normalité - Reproductibilité 257
      • 6. Indication 260
      • 7. Remarques 260
      • 8. Intérêt dans le traitement 260
      • Bibliographie261
      • XIII - Test de tension du membre supérieur 2 265
      • 1. Histoire - Définition 265
      • 2. Biomécanique 266
      • 3. Technique 266
      • 3.1. Description266
      • 3.2. Différences entre UNLT2 et UNLT1268
      • 4. Variantes 269
      • 5. Fiabilité - Normalité 270
      • 5.1. Reproductibilité270
      • 5.2. Normalité270
      • 6. Indication 271
      • 7. Remarques 271
      • 8. Intérêt dans le traitement 271
      • Bibliographie272
      • XIV - ULNT3 (Nerf Radial) 273
      • 1. Histoire - Définition 273
      • 2. Biomécanique 274
      • 2.1. Effet de l'inclinaison cervicale275
      • 2.2. Effet du test sur les racines nerveuses275
      • 3. Technique 275
      • 4. Variantes 281
      • 5. Fiabilité - Normalité 283
      • 5.1. Fiabilité pour le nerf radial285
      • 5.2. Fiabilité sur les racines du plexus brachial285
      • 6. Indication 285
      • 7. Remarques 286
      • 8. Intérêt dans le traitement 286
      • Bibliographie286
      • XV - ULNT4 287
      • 1. Histoire - Définition 287
      • 2. Biomécanique 288
      • 3. Technique 291
      • 4. Variantes 294
      • 5. Fiabilité - Normalité 295
      • 6. Indications 298
      • 7. Remarques 298
      • 8. Intérêt dans le traitement 299
      • Bibliographie299
      • XVI - Flexion passive de nuque 301
      • 1. Histoire - Définition 301
      • 2. Biomécanique 302
      • 3. Technique 302
      • 1er temps303
      • 2e temps303
      • 4. Variantes 304
      • 5. Fiabilité - Normalité 304
      • 5.1. Dans un syndrome méningé304
      • 5.2. Approche personnelle306
      • 6. Indications 306
      • 7. Remarques 307
      • 8. Intérêt dans le traitement 307
      • Bibliographie307
      • XVII - Test du Slump 309
      • 1. Histoire - Définition 309
      • 2. Biomécanique 309
      • 2.1. Étude du mouvement309
      • 2.2. Limites du mouvement312
      • 3. Technique 313
      • 4. Variantes 317
      • 4.1. Slump assis en long sitting317
      • 4.1.1. Description317
      • 4.1.2. Remarques318
      • 4.2. Slump coucher dorsal319
      • 4.2.1. Description319
      • 4.3. Slump en déclibitus latéral321
      • 5. Fiabilité - Normalité 322
      • 5.1. Normalité322
      • 5.2. Reproductibilité324
      • 5.3. Fiabilité324
      • 6. Indication 326
      • 7. Remarques 326
      • 8. Intérêt dans le traitement 326
      • Bibliographie328
      • XVIII - Indications et contre-indications de la technique neuro-meningée 331
      • 1. Indications 331
      • 1.1. Les neurapraxies331
      • 1.2. Séquelles d'affections neurologiques stabilisées331
      • 1.3. Phase post-chirurgicale331
      • 1.3.1. Suites opératoires des opérations de hernies discales, de canal lombaire étroit331
      • 1.3.2. Quelques études ont examiné l'impact de la chirurgie du sein sur le tissu neural334
      • 1.4. Douleurs chroniques335
      • 1.4.1. Syndrome douloureux du bras non spécifique (en anglais "non spécifique arm pain NSAP")336
      • 1.4.2. Syndrome d'hyper utilisation (overuse's syndrome)337
      • 1.4.3. Douleurs chez le sportif337
      • 1.5. Algoneurodystrophie "syndrome douloureux régional complexe" (SDRC)338
      • 1.6. Syndrome post-traumatique du rachis cervical339
      • 1.7. Syndromes canalaires340
      • 1.7.1. Syndrome du canal carpien340
      • 1.7.2. Syndrome du défilé thoraco-brachial342
      • 1.8. Autres indications343
      • 2. Contre-indications non systématiques 343
      • 3. Contre-indications systématiques 344
      • 4. Synthèse des traitements par études cliniques comparatives 344
      • Bibliographie347
      • XIX - Traitement 353
      • 1. Les points généraux 353
      • 2. Le traitement comporte trois points précis 355
      • 2.1. Traitement de l'interface356
      • 2.2. Mobilisations directes356
      • 2.2.1. Contexte grave357
      • 2.2.2. Contexte bénin357
      • 2.2.3. Différences entre contexte grave et contexte bénin358
      • 2.2.4. Exemple358
      • 2.2.5. Description - Contexte grave360
      • 2.2.6. Description - Contexte bénin360
      • 2.2.7. Synthèse des avantages et des inconvénients362
      • 2.3. Traitement postural à domicile, traitement épidémiologique363
      • Bibliographie365
      • XX - Exemples de traitement 367
      • 1. Cas du canal lombaire étroit arthrosique 367
      • 1.1. Diagnostic367
      • 1.2. Principe367
      • 1.3. Protocole368
      • 1.3.1. Mobilisation en flexion lombaire368
      • 1.3.2. On adjoint ensuite des mobilisations des nerfs/interface et vice versa369
      • 1.3.3. Mobilisation en direction crâniale de la queue de cheval (mobilisation de l'interface/nerf)369
      • 1.3.4. Mobilisation en caudal de la queue de cheval370
      • 1.3.5. Slump en "longsitting"371
      • 1.3.6. Slump assis371
      • 1.3.7. En fin de progression372
      • 1.4. Pendant toutes les séances372
      • 1.5. Traitement à domicile372
      • 2. Traitement de la myélopathie cervico-arthrosique 373
      • 2.1. Bilan diagnostic373
      • 2.2. Principe374
      • 2.3. Protocole374
      • 2.3.1. Mobilisation de l'interface en traction-pompage cervicale douce374
      • 2.3.2. Mobilisation du tissu nerveux/interface374
      • 2.3.3. Techniques neurodynamiques pour les membres supérieurs376
      • 2.3.4. Slump classique dans une position de légère flexion cervicale dès le départ378
      • 2.3.5. Slump en assis (long-sittingsur une position de flexion cervicale379
      • 2.3.6. Mobilisation en flexion cervicale380
      • 2.4. Remarques380
      • 2.5. L'évaluation du traitement380
      • 2.6. Pendant toute la séance380
      • 3. Traitement d'une névralgie cervico-brachiale 381
      • 3.1. Bilan diagnostic381
      • 3.2. Principes383
      • 3.3. Protocole383
      • 3.3.1. Mobilisation des interfaces383
      • 3.3.2. Mobilisation directe385
      • 3.3.3. Traitement postural, conseil, exercice à domicile387
      • 3.4. Remarques388
      • 4. Traitement d'une névralgie L5 chez une patiente de 25 ans 388
      • 4.1. Bilan diagnostic388
      • 4.1.1. Au niveau lombaire388
      • 4.1.2. A l'interrogatoire388
      • 4.1.3. A l'examen388
      • 4.1.4. A la mobilisation neurale388
      • 4.2. Principe389
      • 4.3. Protocole389
      • 4.3.1. Mobilisation de l'interface389
      • 4.3.2. Mobilisation directe391
      • 4.3.3. Traitement à domicile392
      • 4.4. Remarque393
      • 5. Traitement d'une cruralgie L3 droite 393
      • 5.1. Bilan diagnostic393
      • 5.2. Principe394
      • 5.3. Protocole394
      • 5.3.1. Mobilisation de l'interface394
      • 5.3.2. Mobilisation directe du nerf fémoral394
      • 5.4. Traitement à domicile396
      • 6. Traitement postopératoire de hernie discale L5-S1 397
      • 6.1. Bilan diagnostic397
      • 6.2. Principe397
      • 6.3. Protocole en 11 étapes397
      • 7. Diagnostic et traitement d'un syndrome des scalènes 401
      • 7.1. Rappel d'anatomie401
      • 7.2. Clinique402
      • 7.3. Bilan diagnostic404
      • 7.4. Principe408
      • 7.5. Traitement409
      • 7.5.1. Travail respiratoire409
      • 7.5.2. Technique de l'interface409
      • 7.5.3. Techniques de mobilisations neurales410
      • 7.5.4. Exercice à la maison411
      • 8. Diagnostic et traitement d'une névralgie d'arnold dans un contexte bénin 412
      • 8.1. Rappel anatomique412
      • 8.2. Clinique413
      • 8.3. Bilan diagnostic414
      • 8.4. Principes416
      • 8.5. Protocole416
      • 8.5.1. Traitement des interfaces416
      • 8.5.2. Technique de mobilisation neurale421
      • 8.5.3. Exercices à la maison422
      • Bibliographie422

  • Origine de la notice:
    • Electre
  • Disponible - 615.42 POM

    Niveau 3 - Médecine