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Livre

Un belvédère en Yvelines : Andrésy, Chanteloup-les-Vignes, Maurecourt

Résumé

Patrimoine et histoire de ses trois communes entre Seine et forêt, lieux de villégiature, mais aussi d'exploitation de carrières de gypse et de meulière.


  • Contributeur(s)
  • Éditeur(s)
  • Date
    • impr. 2008
  • Notes
    • Glossaire
  • Langues
    • Français
  • Description matérielle
    • 1 vol. (144 p.) : ill. en noir et en coul., cartes, couv. ill. en coul. ; 30 cm
  • Collections
  • Sujet(s)
  • Lieu
  • ISBN
    • 978-2-7572-0236-4
  • Indice
  • Quatrième de couverture
    • Ce livre consacré au patrimoine de trois communes des Yvelines, Andrésy, Chanteloup-les-Vignes et Maurecourt, pourrait commencer comme un conte de fées. Il était une fois un site extraordinaire, béni des dieux : un fleuve et une rivière dont les « noces vaporeuses » engendraient abondance et beauté, un coteau généreusement ensoleillé où foisonnaient les grappes de raisin, une forêt aux hautes frondaisons recelant la richesse de la meulière et du gypse jusque dans ses entrailles. Bien sûr, ce lieu si richement doté avait son château, ses châteaux même, dont un seul a survécu, caché dans un repli du plateau. Survint une princesse, très éprise d'un botaniste qui l'aida à créer un jardin merveilleux dans une île, en face de sa maison de campagne. Attirés par la beauté du lieu et la richesse de ces jardins, gentils hommes et bourgeois voulurent eux aussi une parcelle de l'Éden et multiplièrent balcons et belvédères pour profiter de la sublimité du paysage, tout en buvant un vin généreux et doux. L'histoire du lieu peut s'exprimer aussi en termes bibliques : pendant ce temps, une fois le Paradis perdu, manants et manouvriers travaillaient dur pour dompter la terre et les éléments et produire ce nectar qui abreuvait toute la région. Ils connurent éléments déchaînés, déluges et débordements du fleuve mais apprirent grâce à un gentil Prométhée à dompter la nature. Des barrages endiguèrent les colères du fleuve, des ponts permirent de le franchir, des trains raccourcirent les distances. Et à nouveau, un vent de Paradis souffla : on venait de la capitale voisine pour se cacher dans les verts buissons et jouer au Robinson. Il y eut un soir, il y eut un matin et les hommes crûrent et se multiplièrent, toujours plus nombreux à venir profiter de ce bout de Paradis préservé malgré quelques menaces.

      Comme les fées, bonnes ou mauvaises, existent vraiment, précisons que de multiples traces de cette charmante histoire ont subsisté jusqu'à nos jours. C'est ce patrimoine d'hier, d'aujourd'hui et de demain que nous vous invitons à découvrir à travers ces belles images.


  • Origine de la notice:
    • FR-751131015 ;
    • Electre
  • Disponible - 704.41 INV

    Niveau 3 - Arts