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Livre

Quand les voyageuses découvraient l'esclavage

Résumé

Une histoire des mentalités féminines vis-à-vis de l'esclavage à travers les récits d'une cinquantaine de voyageuses européennes ou américaines qui, aux XVIIIe et XIXe siècles, ont été confrontées à cette réalité en Orient, en Afrique, en Amérique ou en Russie. Des aristocrates auxquelles l'esclavage semble naturel aux abolitionnistes, elles le nient, s'en accommodent ou le condamnent.


  • Éditeur(s)
  • Date
    • DL 2009
  • Notes
    • Bibliogr. p. 235-247. Index
  • Langues
    • Français
  • Description matérielle
    • 1 vol. (263 p.-[8] p. de pl.) : ill., couv. ill. ; 24 cm
  • Sujet(s)
  • Epoque
  • ISBN
    • 978-2-228-90414-8
  • Indice
  • Quatrième de couverture
    • Aux XVIIIe et XIXe siècles, des voyageuses de diverses nationalités ont été confrontées aux réalités de l'esclavage en Orient, en Afrique, en Amérique et même en Russie. Leurs récits le nient ou s'en accommodent, l'approuvent ou le condamnent.

      Aux yeux d'aristocrates telles que Lady Montagu, l'esclavage oriental des harems semble une condition naturelle pour une partie de l'humanité. Sur les plantations des Caraïbes et du sud des États-Unis, d'autres observatrices se partagent entre l'angoisse, la révolte et la découverte fascinée des Tropiques, où un tel asservissement peut être perçu comme un supplément d'exotisme.

      En Afrique, Maria Falconbridge est le témoin privilégié de la fondation dès 1790 d'une communauté d'esclaves libérés à Freetown. Sur ce même continent vers 1860, des épouses d'explorateurs assistent à la capture de Noirs et sont parfois impliquées dans des faits de guerre contre les négriers. S'ajoutent à cette fresque les voyageuses qui dans les colonies et aux États-Unis vont commenter l'après-abolition dans toute son ambiguïté.


  • Origine de la notice:
    • FR-751131015 ;
    • Electre
  • Disponible - 930.45 LAP

    Niveau 2 - Histoire