par Kāšānī, ʿAbd al-Razzāq ibn Aḥmad Kamāl al-Dīn al- (12..-1330?)
Koutoubia
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Disponible - 297.22 QASA 1
Niveau 2 - Religions
par Kāšānī, ʿAbd al-Razzāq ibn Aḥmad Kamāl al-Dīn al- (12..-1330?)
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M. Vâlsan donne au public non arabophone l'accès à l'exégèse de Qâshânî (Kâsâni) dans ses ¤¤Commentaires ésotériques du Coran¤¤, relatifs à la sourate inaugurale appelée Celle qui ouvre, considérée comme la clef du Coran. D'autres clefs sont constituées par des monogrammes que l'on trouve en tête de certaines sourates.
Qâshânî
Les Interprétations ésotériques du Coran
Le Prophète a dit : « Aucun verset du Coran ne descendit (dans la révélation) sans qu'il comporte un " dos " (zahr) et un " ventre " (batn) ; et toute lettre (d'un verset) a une " limite " (hadd) et toute " limite " a un " mirador " (muttala') ».
Dans ses Commentaires ésotériques du Coran, Qâshânî, (ob. 730/1329), un des grands auteurs de l'école d'Ibn 'Arabî déclare : « Je compris que le " dos " est l'explication exotérique (at-tafsîr) et le " ventre " est l'interprétation ésotérique (at-ta'wîl) la " limite " est ce où cessent les compréhensions du sens verbal, et le " mirador " le point contemplatif où l'on monte pour jouir du spectacle du Roi Très-Savant.
La sourate inaugurale du Coran est appelée al-Fâtihah « Celle qui ouvre ». À ce titre, elle est considérée comme « la Clef du Coran » par excellence et s'avère indispensable à toute participation au Discours divin. Elle n'est toutefois pas la seule ; d'autres « Clefs » mystérieuses opèrent dans le Texte sacré, notamment celles constituées par les monogrammes énigmatiques que l'on trouve en tête de certaines sourates. Michel Vâlsan rend accessible ici à des non arabophones l'une des rares exégèses spirituelles relatives à ces passages importants de la Révélation islamique.
Disponible - 297.22 QASA 1
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