• Aide
  • Eurêkoi Eurêkoi

Livre

Villes, territoires, réversibilités : actes du colloque de Cerisy-la-Salle, 4-10 septembre 2010

Résumé

La pratique urbanistique postmoderne repose sur la flexibilité et l'incertitude quant à l'avenir plutôt que sur le geste définitif du modernisme, attitude qui relevait de la croyance en un progrès inéluctable. Il s'agit désormais d'agir en sorte de ne pas obérer les capacités des générations futures à conduire leur propre déveveloppement, d'agir donc de manière réversible.


  • Contributeur(s)
  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2013
  • Notes
    • Bibliogr. p. 269-285. Notes bibliogr.Index
  • Langues
    • Français
  • Description matérielle
    • 1 vol. (299 p.) ; 23 cm
  • Collections
  • Sujet(s)
  • Epoque
  • ISBN
    • 978-2-7056-8747-2
  • Indice
  • Quatrième de couverture
    • Villes, Territoires, Réversibilités

      Un des fondements de la pensée moderne de l'action collective fut de produire de l'irréversibilité comme condition historique du progrès. On sait aujourd'hui ce qu'a permis de produire cette posture immodeste, mais aussi ce qui en a coûté, et continue d'en coûter.

      La ville du XXe siècle, sa société, ses mondes d'action collective, ont été profondément structurés, mais aussi fortement marqués par ce goût démiurgique pour l'irréversible. On fait ici l'hypothèse que le nouveau fondement de la pensée postmoderne de l'action collective est dans la promotion du principe inverse : la réversibilité comme nouvelle posture de la relation à un futur désormais largement désigné comme incertain.

      La ville réversible ? Au sein de territoires et de réseaux qui le seraient tout autant ? Les uns comme les autres par leurs acteurs, leurs systèmes d'action, leurs mondes techniques, leurs univers de production matérielle et idéelle ? De quoi peut-il bien s'agir ?


  • Origine de la notice:
    • Electre
  • Disponible - 913.2 SCH

    Niveau 2 - Géographie, urbanisme