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Dépersonnalisations au cinéma : du traumatisme à la création

Résumé

La dépersonnalisation peut être une réaction psychique ou un levier de création. La mémoire sensorielle de situations traumatiques peut livrer les moyens de se sortir de situations telles que le deuil, l'inceste ou encore le viol. L'art cinématographique de A. Hitchcock, T. Vinterberg ou Kim Ki-duk est ici approché comme un miroir perceptif capable de ne pas se confondre avec son objet. ©Electre 2018


  • Éditeur(s)
  • Date
    • DL 2018
  • Notes
    • Bibliogr. p. 231-242
  • Langues
    • Français
  • Description matérielle
    • 1 vol. (242 p.) : ill. en coul. ; 19 cm
  • Collections
  • Sujet(s)
  • ISBN
    • 978-2-909140-37-7
  • Indice
    • 791.01 Cinéma, réflexion esthétique, philosophique, sociologique, politique et critique
  • Quatrième de couverture
    • L'affect de dépersonnalisation n'est pas uniquement une réaction psychique à un environnement défaillant. Il peut aussi être le levier de la création. L'analyse de Virginie Foloppe oscille constamment entre ces deux formes de dépersonnalisation. L'une relève donc de la création, qu'elle aboutisse ou non à une oeuvre d'art, quand l'autre s'achève dans une destruction perceptible à travers la destinée tragique d'êtres privés de tout élan vital, après qu'ils aient été confrontés à des traumatismes ; deuil, envie, inceste, viol. L'art cinématographique crée une psyché flottante à même de réfléchir la mémoire sensorielle de situations traumatiques à la violence insoutenable et de nous livrer les moyens d'en sortir. Hitchcock, Vinterberg, et Kim Ki-duk, chacun avec un style singulier, composent des miroirs perceptifs capables de ne pas se confondre avec leur objet, mais de réfléchir l'autre voie de la dépersonnalisation.


  • Origine de la notice:
    • FR-751131015 ;
    • Electre
  • Disponible - 791.01 FOL

    Niveau 3 - Cinéma