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1857, la littérature en procès : Gustave Flaubert, Charles Baudelaire et Eugène Sue face à la censure

Résumé

L'auteur analyse comment, sous le gouvernement autoritaire de Louis-Napoléon Bonaparte, un ambitieux procureur nommé Ernest Pinard contribue à la censure de plusieurs auteurs français, dont C. Baudelaire, E. Sue et G. Flaubert. ©Electre 2021


  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2021
  • Langues
    • Français
  • Description matérielle
    • 1 vol. (250 p.) ; 23 x 16 cm
  • Collections
  • ISBN
    • 979-10-370-0619-6
  • Indice
  • Quatrième de couverture
    • 1857. La littérature en procès

      Gustave Flaubert, Charles Baudelaire et Eugène Sue face à la censure

      Il y a un peu plus d'un siècle et demi, en 1857, la censure visait trois auteurs célèbres : Flaubert, Baudelaire et Sue, poursuivis par un même homme : Ernest Pinard, appuyé par un système de censure alors à son apogée. Les circonstances sont probablement inédites dans les annales de l'histoire de la littérature, mais servent toujours de témoignage dès lors qu'Anastasie tente de brandir ses ciseaux. Le responsable de la frénésie moralisatrice de 1857 n'était ni le premier, ni le dernier de son espèce. Jeune procureur aux convictions fluctuantes, mais assez habile pour se hisser à la hauteur de ses ambitions, Ernest Pinard gravit les échelons de la magistrature à la faveur du régime autoritaire et bourgeois de Louis-Napoléon Bonaparte, selon lui parangon du gouvernement idéal.

      Qui sont, en 1857, les auteurs victimes du zèle d'Ernest Pinard, et que s'est-il joué précisément dans les procès de Charles Baudelaire, Gustave Flaubert et Eugène Sue ?


  • Origine de la notice:
    • Electre
  • Disponible - 840(091)"18" PIE

    Niveau 3 - Langues et littératures