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Musique

Brothers of string

Auteur(s), compositeur(s), interprète(s) : Duplessy & The Violins Of The World

Pistes

Texas bolero

The good the bad and the ugly

Go od morning guangzhou

Chinese dumplings

Paulinda

Brothers in arms

Kung fu

Japanese in paris

Chiken del

Horizon blues

Gibraltar

Gurvan much

Oriental little paris


  • Éditeur(s)
  • Date
    • C 2023
  • Notes
    • 3 clés Télérama
    • Ils chevauchent leurs vièles comme des cow-boys et chantent avec des voix de vieux chamanes recuits au soleil des steppes : bienvenue dans la joyeuse équipée Mathias Duplessy, guitariste iconoclaste qui poursuit ses transhumances expérimentales avec ses trois archets préférés : Guo Gan, au erhu chinois, Aliocha, au nyckelharpa suédois, et l'inénarrable Epi, au morin khuur mongole, décidément de toutes les cordées déjantées -- il galope aussi avec Les Violons barbares. Après avoir marché dans les pas de Marco Polo sur une route de la soie très mystique (Crazy Horse), les quatre virtuoses composent la bande-son morriconienne d'un western nouilles chinoises qui aurait été tourné aux confins du désert de Gobi. Accommodé ici à la sauce mongole, le thème du film Le Bon, la Brute et le Truand résume l'esprit vif et facétieux de la bande, qui reprend également le Brothers in Arms de Dire Straits. D'ouest en est, ils brassent large, entre valse nippone et boléro texan saupoudré de violonades sinoïsantes, mélangeant ailleurs galop manouche et fanfaronnades diphoniques (Chinese Dumplings). Leurs cris de gauchos mexicains que l'on jurerait rompus au kung-fu parachèvent cette fantaisie épique savoureuse. - Télérama - Anne Berthod - 21/01/2020
  • Résumé
    • Après le succès de son dernier album, Crazy Horse (20 millions de vues sur Facebook, des tournées internationales...), Mathias Duplessy et ses acolytes reviennent avec "Brothers Of Strings", un album toujours plus audacieux et créatif, composé de voyages imaginaires .. Ici , un boléro lancinant aux épices d'Asie (Texas Boléro), là , une valse lente aux effluves Japonaise (A Japanese in Paris), un jazz manouche chinois (Chinese Dumplings) ou un hommage à Bruce Lee (Kung-Fu)... Cet opus est complètement euphorisant, un véritable feu d'artifice de couleurs et d'énergie. La Guitare de Mathias vogue avec grâce et aisance dans tous les registres, enrobe et soutient les trois vielles qui s'entremêlent et se détache toujours harmonieusement. Le Vielle mongole d'Epi a souvent des accents de Gibson saturée, rock ou blues, tandis que le Erhu sensuel de Guo Gan s'aventure avec délice dans des improvisations "Grapeliennes" ou orientales. Le Nyckelharpa d'Aliocha, toujours d'une grande élégance tant au niveau des ornements que de la dynamique nous impressionne dans la reprise "Brothers In Arms" de Dire Straits, un des joyaux de l'album. L'autre reprise de l'album est une version déjantée du "Bon, la Brute et le Truand" de Morricone. On est plongé dans une chevauchée entre Western et Mongolie où la voix hallucinante d'Epi (qui couvre quasiment 4 octaves) nous fait littéralement décoller. En écoutant l'album "Brothers of Strings" nous sommes comme dans un film différent à chaque morceau et une envie se fait vite ressentir, celle de les voir sur scène...
  • Langues
    • Indéterminée
  • Description matérielle
    • 1 disque compact
    • 50 minute(s)
  • Sujet(s)
  • Genre
  • Numéros commerciaux
    • 843748 Abraxas
  • Indice
  • Origine de la notice:
    • RDM
  • Consultable à la Bpi