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Livre numérique

Dans la cité des marabouts : Djénné, Mali


  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2009
  • Notes
    • L’auteur guide pas à pas le lecteur dans une monde étranger, celui des marabouts de Djenné, au Mali, et dans l’étroite imbrication entre les pratiques « magiques » des marabouts et les fondements de la foi musulmane. Il évoque également la vie sociale de Djenné, mais aussi la lumière, les sons et les couleurs de la ville. La valeur et le charme de cette belle étude anthropologique tiennent à l’extrême souci d’honnêteté du récit et à la modestie de l’auteur, qui se place dans la position de l’apprenant, du questionneur, ce qui lui permet de guider pas à pas le lecteur dans une monde étranger et à première vue hermétique, celui des marabouts de Djenné, au Mali. Le grand intérêt de l’étude de Mommersteeg, d’un point de vue intellectuel, est de montrer l’étroite imbrication qui existe entre les pratiques « magiques » des marabouts et les fondements de la foi musulmane. Les marabouts connaissent les mots du Coran que Dieu exauce très vite, quand on s’en sert pout l’invoquer, même pour les questions de la vie quotidienne. L’inventivité religieuse avec laquelle des hommes résolvent les problèmes du quotidien, tel est ici le thème. Il y a certainement un aspect novateur dans les résultats de la recherche de Mommesteeg. Cette valeur informative n’épuise pas tout l’intérêt de In de stad van de marabouts. L’auteur parvient à évoquer avec sympathie non seulement la vie sociale de Djenné, mais aussi la lumière, les sons et les couleurs de la ville. Jury du Prix des Ambassadeurs 1999
  • Langues
    • Français
  • ISBN
    • 9782909550633
  • Droits
    • copyrighted
  • Résultat de :
  • Quatrième de couverture
    • Geert Mommersteeg guide pas à pas le lecteur dans un monde étranger, celui des marabouts de Djenné, au Mali, et dans l'étroite imbrication entre les pratiques «magiques» de ces marabouts et les fondements de la foi musulmane.

      Il évoque également la vie sociale de Djenné, mais aussi la lumière, les sons et les couleurs de la ville.

      «Le ton [de ce livre] est celui d'un récit écrit à la première personne, d'un reportage pourrait-on dire, qui nous fait déambuler d'une maison de Djenné à l'autre et particulièrement dans celles qui sont consacrées à l'enseignement coranique et où se fait la rencontre avec les spécialistes de l'enseignement, les marabouts.»

      Constant Hamès


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