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Le Train dans le brouillard n'attendra pas minuit


  • Éditeur(s)
  • Date
    • 2018
  • Notes
    • Entrer Dans le mouvement des lignes ; Dans le fracas, la tourbe Des mots La poésie est souvent fille de l'admiration. Dans ce recueil, la poésie se découvre comme contestation. Avec la distance que permet la langue poétique, Marie-Hélène Lafage prend à témoin « les colporteurs du temps» qui empêchent la parole vraie de résonner dans « les avenues bruyantes de l'ère médiatique, chargés de leur orgueil, de leurs remèdes, miracles seuls capables de mettre fin aux maux du siècle ». La poésie se fait action - désir de transformation issu de la patience endurée devant l'abus des mots, alors que « l'on n'entendait plus partout qu'un vaste rire public entrecoupé de grandes lamentations ; la France était en représentation continuelle ». Ce recueil s'offre comme un espace poétique de liberté. Il déclame l'espérance à l'oeuvre dans la cité, dont chaque poème imprime le motif sur la page, en même temps qu'il invite à partir sur la trace de son origine. Je suis parti J'avais Le pays pour moi seul L'aube était si blanche, Le matin Écrivait un psaume. Issue d'une formation en khâgne puis en Institut d'Urbanisme,  Marie-Hélène Lafage  est urbaniste en banlieue. Vice-présidente de l'association  Les Altercathos, elle est co-fondatrice du café culturel  Le Simone  à Lyon.
  • Langues
    • Français
  • ISBN
    • 9782372980692
  • Droits
    • copyrighted
  • Résultat de :
  • Quatrième de couverture
    • Le Train dans le brouillard n'attendra pas minuit

      Entrer
      Dans le mouvement des lignes ;
      Dans le fracas, la tourbe
      Des mots

      La poésie est souvent fille de l'admiration. Dans ce recueil, la poésie se découvre comme contestation. Avec la distance que permet la langue poétique, Marie-Hélène Lafage prend à témoin «les colporteurs du temps» qui empêchent la parole vraie de résonner dans « les avenues bruyantes de l'ère médiatique, chargés de leur orgueil, de leurs remèdes, miracles seuls capables de mettre fin aux maux du siècle ». La poésie se fait action - désir de transformation issu de la patience endurée devant l'abus des mots, alors que « l'on n'entendait plus partout qu'un vaste rire public entrecoupé de grandes lamentations ; la France était en représentation continuelle ». Ce recueil s'offre comme un espace poétique de liberté. Il déclame l'espérance à l'oeuvre dans la cité, dont chaque poème imprime le motif sur la page, en même temps qu'il invite à partir sur la trace de son origine.

      Je suis parti
      J'avais
      Le pays pour moi seul
      L'aube était si blanche,
      Le matin
      Écrivait un psaume.


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