Le Militaire, l'écolier, le gymnaste
- Éditeur(s)
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Date
- 2021-08-09T00:00:00Z
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Notes
- A mon grand-père Henri CORETTE, appelé sous les drapeaux le 16-10-1913, mais affecté au service auxiliaire pour "inaptitude au combat". Engagé volontaire en 1914 pour partir au front avec ses camarades et ne "pas être un embusqué". Six fois blessé, gazé, mais six fois rengagé. Batailles d'Ypres, de Notre-Dame de Lorette, du Chemin-des-Dames, du Fort-de-Vaux. Sauvé miraculeusement du massacre. Croix de guerre le 16-03-1916. Chapelier dans le civil. Un exemple typique de l'éducation patriotique dans le culte de la revanche.
- L'Ecole n'a pas accueilli sans réserves ni réticences l'enseignement de la gymnastique. Il s'est imposé à partir des efforts de Duruy sous l'Empire libéral et surtout des pionniers de la République autour de Jules Ferry. Il a eu parfois du mal à trouver sa définition puisqu'il devait être à la fois culture rationnelle du corps, apprentissage de la méthode et de la rigueur, initiation à l'hygiène et formation prémilitaire tout imprégnée d'esprit patriotique et revanchard. C'est cette partie complexe et difficilement gagnée que Pierre Arnaud décrit en montrant ce que furent les débuts de l'éducation physique dans les écoles et lycées lyonnais.
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Langues
- Français
- Sujet(s)
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ISBN
- 978-2-7297-1022-4 ;
- 978-2-7297-0397-4
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Droits
- info:eu-repo/semantics/openAccess .
- https://www.openedition.org/12554
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